NORMAN SPINRAD'S HOME PAGE. Updated November 2007 Click here to email the movie Mathieu Carriere, Jacques Dorfmann, and I are co-producing a film adaptation of my short novel VAMPIRE JUNKIES, starring Mathieu Carriere as Count Dracula.
Jerome Lefdup has made a short presentation video. The novella itself is available from Fictionwise, see link further below. Click here for presentation video Ediciones B México esta publicando MEXICA en espanol-- en México un lanzamiento especial Descubre una visión única de la conquista del Imperio Azteca, Moctezuma, Cortés y los Conquistadores--el regreso de Quetzalcoatl y la caída del imperio Mexica marcan le muerte del Quinto Sol, una nueva era esta por comenzar. Presiona aqui por MEXICA pagina de Ediciones B En ingles--pardon my English It would exhaust my meager Spanish to tell this.
DEUS X Now Available from Fine Tooth Press Fine Tooth Press has published a new trade paperback edition of DEUS X Now available from Amazon Click here to download RIDING THE TORCH from Renaissance ebooks. Norman Spinrad : "La guerre sainte a déjà commencé" Norman Spinrad (DR) Quelques jours après la mort de Michel Germaneau, le dernier roman de l’Américain Norman Spinrad est d’une actualité cinglante : « Oussama » accuse autant les islamistes que l’Occident dans le chaos actuel. Interview du grand auteur américain. Pour de nombreux auteurs de science-fiction, le choc des civilisations, concept formulé par Samuel Huntington à la fin des années 90, a toujours été une chose présente, acquise.
C’est bien pour ça que leurs livres sont provocants. C’est aussi le cas de Norman Spinrad. Avec « Les Solariens » (1969), « Rock Machine » (1987), « Les Années fléaux » (1990), « Bleue comme une orange » (1999), ou encore avec les superbes « Jack Baron et l’éternité » (1969), « Rêves de fer » (1972) ou « Le printemps russe » (1991), l’Américain a provoqué bien des débats. Norman Spinrad. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Norman Spinrad Norman Spinrad en 2006 Œuvres principales Norman Spinrad en 2013 Biographie[modifier | modifier le code] Norman Spinrad est né en 1940 dans le Bronx de New York où il passe son enfance. Pendant sa dernière année d'études, il suit des cours d'écriture de nouvelles et soumet ses premières histoires à différents magazines. Il travaille ensuite comme éditeur, tout en continuant à publier régulièrement des nouvelles.
De décembre 1967 à octobre 1968, il pré-publie en 6 épisodes son roman Jack Barron et l'éternité dans la revue britannique News Worlds de Michael Moorcock. En 1972, Spinrad publie Rêve de fer. Ces deux romans majeurs sont représentatifs de l'esprit polémique de Spinrad. De 1980 à 1982, il est président de la Science Fiction and Fantasy Writers of America (il sera à nouveau nommé président de cette association en 2001-2002). En 2012, il publie Le Temps du rêve chez Fayard[8]. Œuvres[modifier | modifier le code] SPINRAD Norman. Scandale en Angleterre : la revue New World est interdite, suite à la publication dans ses pages d’un roman de S.
-F. dont la crudité choque les bonnes consciences. Ce roman c’est "Jack Barron et l’éternité", le dernier ouvrage de Norman SPINRAD. Jusqu’ici SPINRAD n’avait commis que des romans de S. -F. assez classiques. "Jack Barron... " est un tournant dans sa carrière, et désormais, tous ces livres seront des dénonciations de la société américaine. Exilé en France, où il vit depuis 1988, SPINRAD a quitté son pays mais ne cesse de le contempler de loin, avec l’amertume d’un amoureux déçu : ce pays qui pour lui est une oeuvre de science-fiction en direct, parce qu’il est le seul état transnational, et donc l’avenir en marche du reste de la planète, ce pays s’est perdu en chemin.
La cassure est nette : elle est intervenue avec la guerre du Vietnam et l’affaire du Watergate. A découvrir pour son style très réaliste, et sa violence moderne. - "Les Solariens" ["The Solarians", 1966] Les miroirs de l'esprit de Norman Spinrad. Les miroirs de l’esprit est un livre politiquement incorrect puisqu’il y est question d’une secte ou d’une Eglise [mais, après tout une Eglise n’est-elle pas une secte qui a réussi ?]
, le transformationalisme, fondée par John B. Steinhardt, ancien auteur de SF, qui propose à ses adeptes de "chevaucher le changement" afin de retrouver des repères dans notre société. La pique à Ron Hubbard et à la l’Eglise de Scientologie est évidente, mais au-delà, nous entrons dans une thématique familière à Spinrad : il s’agit de dénoncer un pouvoir aliénant. Jack Weller est un réalisateur de télévision, cantonné aux émissions enfantines de seconde zone, qui du jour au lendemain, voit sa vie bouleversée par le départ de sa femme, subjuguée par le transformationalisme.
Pour la retrouver, il entre à son tour dans la secte et perd ses amis, son travail, ses projets d’avenir...