Baromètre du CREDOC juin 2016. Conduites addictives - INSERM. Dix chiffres-clés sur le Numérique! Parce que Tourisme, Numérique et Culture sont aujourd’hui indissociables.
Aujourd’hui, et grâce aux usages numériques, on a pu numériser les chefs d’oeuvres de Palmyre avant qu’ils ne soient détruits. Les reconstruira-t-on un jour sur leur site? En attendant la fin de la guerre et le retour des visiteurs, pourra-t-on voir tous ces chefs-d’oeuvre « en ligne » et en trois dimensions ? Sans aller jusqu’à cet exemple extrême, le quotidien du tourisme culturel est, de plus en plus, l’affaire d’Internet ou des réseaux sociaux. 1- Avant la visite est devenu le moment le plus important, celui où l’on va choisir sa destination. 2- Pendant la visite, mille et une applications attendent les visiteurs pour commenter/expliquer/jouer/deviner/noter votre visite ou créer un carnet de souvenirs.Ou encore guider ces visiteurs vers d’autres sites, culturels ou non, ou vers un délicieux restaurant avant leur shopping ou la découverte d’un Circuit, Itinéraire de nouvelles visites aux alentours..
[Infographie] Addiction aux smartphones : les chiffres et les risques. Échelle d'addiction à Facebook - Test-addicto. ADDICTIONS COMPORTEMENTALES / Smartphone : où commence l’addiction ? - Addict Aide - Le village des addictions. Lorsqu’il a créé ces trois jours sans smartphone en 2001, l’écrivain Phil Marso comptait surtout faire réfléchir les Français sur la place du portable à l’époque dans la société.
Seize ans plus tard, avec la popularisation des smartphones, la question est toujours d’actualité. D’autant plus que certains ont développé, sinon une véritable addiction, au moins une sorte de dépendance à ces concentrés de technologie, comme l’explique Michel Reynaud, professeur en psychiatrie et addictologie et président du Fonds actions addictions, interrogé par Europe 1. Addiction ou pas addiction ? Dans le milieu scientifique, la qualification « d’addiction » est encore controversée pour définir l’utilisation frénétique de son smartphone, contrairement aux addictions au sexe ou aux jeux d’argent qui sont désormais considérées comme des pathologies.
Par ailleurs personne consulte personnellement un médecin pour une utilisation trop intensive de son smartphone. ADDICTIONS COMPORTEMENTALES / Bébés et écrans: des preuves d’un risque accru de surpoids - Addict Aide - Le village des addictions. Avec près de 12% des jeunes enfants en surpoids ou obèses dans les pays développés, et 6% dans les pays en développement en 2010, la proportion d’obésité infantile a atteint un seuil épidémique au niveau mondial.
Mais ni les facteurs génétiques, ni l’environnement intra-utérin du fœtus, ni l’alimentation ne suffisent à eux seuls à expliquer l’explosion rapide d’un tel phénomène. Depuis quelques années, des chercheurs s’intéressent à l’impact d’un manque d’activité physique chez les très jeunes enfants. Une équipe de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a exploré ces liens. Les résultats viennent d’être publiés dans la revue International Journal of Obesity. «L’exposition précoce aux écrans est obèsogène» À deux ans, 12% des enfants de l’étude ne regardaient pas la télévision, tandis qu’un tiers était exposé aux écrans plus d’une heure par jour. Addict Aide - Le village des addictions. Adolescents : plus d’écrans et une initiation aux drogues plus tardive. Selon le nouveau rapport de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies, publié mercredi 7 décembre, les deux phénomènes pourraient être liés.
Les adolescents passent près de cinq heures par jour à 11 ans et plus de huit heures par jour à 15 ans devant les écrans. Si « l’omniprésence actuelle des écrans » auprès des 11-25 ans ne fait pas office de surprise, le nouveau rapport de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) publié mercredi 7 décembre, intitulé « Jeunes et addictions », apporte de nouveaux éléments et hypothèses intéressants.
Ce fort usage d’Internet « ne semble pas avoir eu d’impact sur la pratique d’une activité sportive, peut-on lire dans le document. En revanche, le pourcentage de jeunes déclarant ne quasiment jamais lire est passé de 53 % en 2003 à 61 % en 2015. » Ne pas « pathologiser » la pratique des écrans.