Jeune recherche en bande dessinée : introduction (1/2) | Le carnet de Comicalités
Pendant les mois de décembre 2014 et janvier 2015, j'ai réalisé une enquête qualitative auprès d'une vingtaine de récents et futurs docteurs ayant soutenu leur thèse ces cinq dernières années, ou actuellement en cours de thèse. Leur point commun est d'avoir contribué à la recherche scientifique sur la bande dessinée, dans des disciplines variées : littérature, histoire, sociologie, langues étrangères, SIC... Les entretiens issus de cette enquête seront publiés prochainement sur Phylacterium et serviront de matière à une série d'articles sur la « jeune recherche universitaire sur la bande dessinée », publiée ici-même sur Le Carnet de Comicalités. En guise d'introduction, je vous livre, en deux parties, les réflexions qui m'ont amené à réaliser cette étude. La bande dessinée à l'université française, un état des lieux Livret hors commerce publié en 1965 par Opera Mundi (agence fondée par Paul Winkler, entre autre éditeur du Journal de Mickey). © Opera Mundi De quelques initiatives récentes
Jeune recherche en bande dessinée : introduction (2/2) | Le carnet de Comicalités
Pendant les mois de décembre 2014 et janvier 2015, j'ai réalisé une enquête qualitative auprès d'une vingtaine de récents et futurs docteurs ayant soutenu leur thèse ces cinq dernières années, ou actuellement en cours de thèse. Leur point commun est d'avoir contribué à la recherche scientifique sur la bande dessinée, dans des disciplines variées : littérature, histoire, sociologie, langues étrangères, Sciences de l'Information et de la Communication... Les entretiens issus de cette enquête seront publiés prochainement sur Phylacterium et serviront de matière à une série d'articles sur la « jeune recherche universitaire sur la bande dessinée », publiée ici-même sur Le Carnet de Comicalités. J'évoquais dans le précédent article les signes d'une structuration des études sur la bande dessnée en France. 1970-1979 : 5 thèses1980-1989 : 11 thèses1990-1999 : 16 thèses2000-2009 : 18 thèses2010-2014 : 18 thèses Thèses et monde de la bande dessinée : quelles rencontres ? Imprimer ce billet
Conférence sur le portrait | La vie sociale des images
Le 4 février prochain, dans le cadre de l'exposition-installation de Denis Rouvre Des Français. Identités, territoires de l'intime, je présenterai une conférence sur le thème Le portrait photographique, entre identité et image. Elle se déroulera à 19 h au LIFE de Saint-Nazaire, Base des sous-marins - Alvéole 14 Boulevard de la Légion d'honneur, Saint-Nazaire Imprimer ce billet
Les origines des clowns agressifs dans la culture populaire | Déjà Vu
La France a eu peur. Enfin, un peu et pas très longtemps... Durant quelques semaines et dans plusieurs localités, des individus déguisés en clowns ont effrayé les passants. Les signalements de clowns inquiétants ou agressifs se sont multipliés rapidement au point que la police nationale a publié le 24 octobre dernier un billet d'actualité sur le Phénomène des « clowns maléfiques ». Flairant le bon sujet, certains médias n'ont pas hésité à tenter de créer des faux clowns menaçants pour un reportage télé, tandis que d'autres demandaient à des universitaires leur avis sur ce phénomène. Du côté des blogs culturels ou universitaires, on retrouve ces mêmes interprétations psychologiques ou sociologiques [1, 2], et les références à « l'imaginaire classique de la littérature et des films d'horreur » sur lequel reposerait le phénomène des clowns agressifs semblent plus évasives encore. L'exposition Böse Clowns (Evil Clowns) au Hartware MedienKunstVerein (HMKV) de Dortmund, Allemagne Méthode
Culture Visuelle | Agrégateur de carnets de recherches
Cultura Inquieta - Movimiento traducido en simétricos dibujos a carboncillo
En la serie "Emptied Gestures", la artista Heather Hansen utiliza el movimiento de su propio cuerpo para crear grandes pinturas de carboncillo. Al igual que la pintura con los dedos a mayor escala, esta serie combina el arte visual y la danza, como forma de "plasmar el movimiento directamente sobre el papel". Creemos que es única e impresionante la forma en que la artista compromete, literalmente, todo su ser a esta forma de expresión.
Petite histoire d’un lapsus iconographique | Territoire des images
Synopsis réalisé avec l’aimable participation d’Alban Lécuyer Les personnages. L’architecte, le photographe, le bailleur social, le promoteur, les habitants. Etat initial. Fin 2011, le bailleur social Nantes Habitat engage la requalification de l’immeuble Watteau, une barre HLM de 14 étages construite dans les années 50. L’ambition est d’agrandir les logements pour favoriser la mixité sociale, d’améliorer la fonctionnalité du bâtiment, et de redorer l’image d’un quartier périphérique dont cet immeuble – par ses dimensions hors-normes – est devenu un emblème et un point de repère géographique. Péripéties. Nous suivrons ici plus particulièrement l’histoire du photographe, et de ses photographies Acte 1 2012. Dans le cadre de l’accompagnement des locataires en amont de la requalification, le photographe s’attache à extrapoler visuellement les représentations architecturales produites par les acteurs institutionnels afin d’interroger la place des habitants dans le processus de réhabilitation.
Orgie d’images
Dans le cadre du festival Images, présenté actuellement dans la ville de Vevey en Suisse, une installation suscite de nombreuses réactions. Il s’agit de l’œuvre d’Erik Kessels, intitulée 24hrs in Photos, qui a pris place dans l’église Sainte Claire. Ce spectaculaire tas de photographies, qui ensevelit une bonne partie de la nef de l’église, est composé de quelque 350 000 clichés représentant la somme des images déposées en une journée sur le site Flickr de partage en ligne de photos. Une structure sous-jacente assure que cet amas ressemble bien à une montagne. Sur les bords, les clichés se répandent par terre si bien qu’il est difficile de s’approcher de l’installation sans marcher dessus. Ainsi s’infiltre dans l’esprit du visiteur l’assimilation de cet amoncellement à un tas de déchets. Ils ne s’en privent pas. Rien de tel chez les enfants, si j’en juge par la visite à laquelle j’ai pu assister d’une classe de primaire.