Cachez ce clitoris… Elles font la une des magazines féminins. Elles font glousser, fantasmer, mais cela s’arrête là. En France, les études sur le clitoris et le point G seraient au point mort sans la ténacité de quelques-uns. 2008. Odile Buisson raconte dans un ouvrage passionnant, “Qui a peur du point G ?” (1) Qui a peur du point G ? “Les médecins ont déserté ce terrain parce que cela ne fait pas sérieux” Le figaro.fr/madame. - Dans votre livre, vous rappelez qu’il a fallu attendre 1998 pour connaître précisément l’anatomie du clitoris grâce à une équipe australienne. Quelles étaient leurs réactions ? O. Comment expliquer que la France soit si frileuse sur le sujet, alors que l’Italie ou les États-Unis ont, eux, encouragé les recherches sur la médecine sexuelle ? “Il faut rendre la parole aux femmes !” Pourtant, l’injonction de jouir à tout prix est partout. P. Y aura-t-il un jour un Viagra féminin pour atteindre l’orgasme ? P. Êtes-vous confiants pour l’avenir ? P.
Love After Rape: Being the Partner of a Sexual Assault Survivor (Trigger Warning) Learning His Girlfriend’s Secret When his girlfriend, Marina*, told him that she had been raped in high school, Tim’s* first reaction was that he didn’t know how to respond. Shock quickly became anger at what the rapist had done to her. After listening to her story, Tim wanted to be supportive but wasn’t quite sure how. Why Sexual Acts Sometimes Felt Like Sexual Assault for Her Knowing what happened to her, Tim finally understood why Marina was uncomfortable during sex. Marina would often shiver uncontrollably – pulling her knees together to close herself off from him or clench the blankets and cry silently if he tried to kiss her lower than her ribs. She was not shaking with pleasure. She was shaking with fear. She couldn’t be soothed. Tim didn’t want to accidentally re-traumatize her. The line between sex and sexual violence is often blurred regardless of the good intention of the partner. How He Learned to Help Her Feel Comfortable in Bed Where They Are Now
La fin est proche, alors aime-moi encore «Quand vient la mort, il n'y a plus rien à faire, absolument plus rien. Au-delà de la mort il n'y a que la mort.» Au Japon, comme dans beaucoup de cultures agraires basées sur l'observation de la nature, lorsqu'on coupe une branche, l'arbre fleurit plus vigoureusement. Lorsqu'on brûle la terre, elle devient plus fertile. De là vient l'idée que la vie nous est donnée comme pour livrer bataille, l'emporter sur la mort. Pour rester en vie, il faudrait avant tout garder la «deadline» en tête, raconte Jacques Derrida (2). Ainsi donc la fin n'est pas la fin. «Apocalypse» ne signifie pas la fin du monde, mais la levée d’un voile, une prise de conscience, explique Thierry Ruby, directeur d'un «Cabinet de curiosités» érotiques et macabres. Vive la mort qui s'offre à nous comme le plus stimulant des horizons d'attente: elle ouvre sur le vide, ce grand champ de liberté, cette immense perspective d'épanouissement. "Un nouveau monde" : exposition du 23 mai au 5 juillet 2012, Cabinet des curieux.
Challenging Casanova L’échangisme : un contrat de confiance «On début, on faisait l'amour à chaque rencontre». Ca pourrait être l'histoire de n'importe quel couple. Stanislas et Marie se sont mis en ménage puis, suivant cette sorte de fatalité liée au travail, aux biberons, aux matins de mauvaise humeur et aux soirs où l'on rentre épuisé du bureau… ils ont fini, au bout de sept ans, par aller voir ailleurs. Quand vous ne vous sentez plus désirable et que l'autre ne vous fait plus envie, l'infidélité (réelle ou imaginaire) apparaît toujours comme la solution miracle: il y a le frisson de l'interdit et puis ce petit jeu du chat et de la souris qui permet de raviver des sentiments qu'on croyait morts… On aime plus quand on se sent en danger, certainement, et que la personne convoitée se dérobe ou menace d'en choisir un(e) autre. Marie livre à son tour sa version des faits: «J'ai eu l'intuition plusieurs soirs que Stan allait voir ailleurs. Mais cela ne dure qu'un temps. Marie, déçue, aurait bien voulu faire quelque chose. Une année passe.
Les préliminaires : une preuve d'amour Dr Gérard Leleu Moments délectables pour les uns, passages obligés pour les autres… Quelle est l'utilité des préliminaires sexuels ? Quels sont les secrets des bons amants ? Doctissimo : A quoi servent les préliminaires ? Dr Gérard Leleu : D'un point de vue purement biologique et physiologique, les préliminaires servent à amener la femme à un niveau de désir suffisant pour que la lubrification vaginale facilite la pénétration. Doctissimo : L'importance des préliminaires est-elle toujours appréhendée par les partenaires masculins ? Dr Gérard Leleu : Pas toujours, mais les femmes en ont marre de l'amour coq, de l'amour moineau qui se focalise sur la pénétration. Doctissimo : Pourquoi de telles différences ? Dr Gérard Leleu : La perception des préliminaires mais plus généralement de l'érotisme est intimement liée à la culture et la religion. Doctissimo : Quels sont les secrets de bons préliminaires ? Dr Gérard Leleu : Il est très difficile de répondre rapidement à votre question. David Bême
Nos amours sont-elles génétiques ? Il existe une théorie douteuse, voire foireuse, selon laquelle nous tomberions amoureux non pas d'une personne mais de ses capacités biologiques à la survie. En d'autres termes: l'"amour" ne serait qu'une attirance d'origine génétique pour les meilleures femmes (reproductrices) et pour les plus puissants mâles (protecteurs). Sommes-nous programmés à choisir nos partenaires suivant des critères dont nous sommes inconscients? Voilà pourquoi, de nos jours, certains chercheurs en psychologie s'obstinent à vouloir prouver que les hommes sont universellement attirés par les femmes aux tailles de sablier. Sur le site café-sciences.org, Laurent Michel, ingénieur et féru de sciences, se moque : «Les individus aux longues jambes vous semblent plus séduisants? Plus les études sont bidon plus Laurent Michel se réjouit : décidément, il y a des idées difficiles à déraciner, y compris chez les hommes de science… Et tant pis si leurs raisonnements sont absurdes.
Comment bien faire l’amour à une femme ? Le moment du passage à l’acte avec une femme que l’on fréquente est toujours un peu délicat. Le sujet de la relation sexuelle n’a pas nécessairement été abordé, et soyons francs, la pression semble être de notre côté : on veut assurer, et ne pas avoir honte de notre prestation. Et bien messieurs, voilà déjà une première erreur ! Si nous aborderons quelques points de détail sachez que pour bien faire l’amour à une femme, il n’est nullement question de performance ou de durée. Comprendre la psychologie de la sexualité La plus grande différence qui existe entre l’Homme et la Femme quand on aborde la question de la sexualité, c’est incontestablement la vision que nous en avons. Il en résulte une remise en question de l’instant présent. Je l’ai prise dans toutes les positions pendant près d’une heure, j’ai vraiment assuré ! La vision masculine de la sexualité est d’ailleurs limitée. Les femmes quant à elles, adoptent un positionnement totalement différent.
Sexe et torture: l'invention du "sublime" Il y a dans l'horreur une forme de beauté étrange qui fascine… autant que le sexe. A Toulouse, une galerie d'art expose des scènes d'enfer sorties tout droit du cerveau détraqué d'Antoine Bernhart, fils maudit de Sade et de ces écrivains "frénétiques" qui inventèrent le roman noir. Antoine Bernhart peint des scènes de sadisme extrême dans des décors de boîtes à musique: les personnages, comme des poupées, jouent les victimes et les bourreaux en se pliant dans toutes les positions qu'autorise la mécanique des corps… Dans ce petit théâtre du sévice, les victimes ligotées ouvrent la bouche sur de longs cris de terreur tandis que des hommes les pénètrent à l'aide de lames tranchantes, de crocs sanglants, d'hameçons et de pénis comme chauffés au fer rouge… Il y a des femmes qui se font dépecer à vif ou larder à coups de planche à clous. Il peint des visions de cauchemar qui sont chacune un cri primal, avec la force de nos pulsions les plus fulgurantes.
4 mythes à combattre pour une sexualité masculine épanouie La sexualité est, a toujours été, et sera vraisemblablement pendant encore longtemps, un domaine chargé de croyances, de préconçus, d'idées reçues. L'homme et la femme en ont une vision souvent différente, découlant principalement des rôles historiques qui leur sont accordés. Le "mâle" y voit un moyen de domination, de satisfaction personnelle et de mise en avant de sa virilité. Le sacro-saint pénis est alors perçu comme l'outil ultime du plaisir féminin, et LE symbole le plus criant de la puissance établie. Bien évidement, il existe de nombreuses autres nuances et nous connaissons tous des contre-exemples qui pourrait contredire cette vision des rapports homme/femme. Mythe n°1 : "La taille est essentielle pour procurer du plaisir" De par nature, l'homme se fait une fausse idée de son organe reproducteur. Dans les faits, cette croyance est complètement erronée, infondée, je dirais même stupide. Mythe n°2 : "Il faut être performant à tout prix" Close Alamy Les bénéfices du sexe sur la santé