L’innovation monétaire (1/5) : Monnaie, vous avez dit monnaie
A l’occasion de la publication prochaine de De l’innovation monétaire aux monnaies de l’innovation dans la collection Fabrique des possibles chez Fyp éditions, Jean-Michel Cornu, responsable scientifique de la Fondation internet nouvelle génération (Fing), nous propose d’entamer avec lui un vaste tour d’horizon pour comprendre le rôle de l’innovation monétaire. Dans cette première partie, il revient sur le rôle que joue la monnaie dans nos sociétés. L’innovation est devenue le moteur de notre société, mais de quelle innovation parlons-nous ? Il y a bien sûr l’innovation technologique qui comprend sa petite sœur moins connue : l’innovation architecturale (ainsi, c’est l’architecture de l’internet qui en apporte avant tout sa valeur). Cette première génération d’innovation a toujours cours, mais elle a été complétée par une deuxième génération : l’innovation de service qui voit son explosion avec le web puis le web 2. Image : Money par Nick Ares. 1. 2. 3. Jean-Michel Cornu ___________ 1.
Comment influencer les citoyens sans en avoir l’air…
Écrit par un économiste féru de psychologie et un juriste proche de Barack Obama, le livre fait un tabac aux États-Unis : Nudge, ou comment aider les citoyens à prendre de meilleures décisions en les influençant par un simple petit coup de coude (la traduction littérale du mot nudge en français). Le Premier ministre britannique, David Cameron, convaincu par les analyses et propositions contenues dans l’ouvrage, a créé au sein de ses services une équipe spéciale dédiée au nudge. Sa vogue atteint désormais la France : le Centre d’analyse stratégique a publié au mois de mars une note d’information affirmant l’intérêt de cette approche, notamment pour favoriser les comportements écologiquement responsables. La méthode prônée par Richard Thaler considéré comme un pilier de l’économie comportementale, et Cass Sunstein, administrateur du principal organe de régulation américain et grand adepte de l’analyse coût-bénéfice, est d’abord séduisante par son apparente simplicité. © Telos.
Monnaies virtuelles: une révolution fiscale?
Selon le fondateur du parti pirate suédois, l'émergence des monnaies chiffrées et décentralisées sur Internet va forcer les gouvernement à réformer totalement leur modèle social. Article initialement publié sur OWNI.eu. Nul doute que les monnaies cryptées vont continuer à se développer. Les nouveaux usages qu’elles permettent emportent haut la main la lutte contre les banques dont nous avons hérité les systèmes de transaction sur rendez-vous, au cas par cas. Il se peut que Bitcoin ne devienne pas le standard ultime des monnaies chiffrées, mais ce n’est pas important. Il y a une certaine extase au moment de transférer quelques centimes de bitcoins à quelqu’un situé à l’autre bout de la planète. Pour l’instant, les cas d’usage des monnaies chiffrées sont limités par l’effet de réseau. Repenser la fiscalité dans un monde de monnaies virtuelles chiffrées Avec les monnaies chiffrées, le gouvernement ne peut pas inspecter la richesse des individus, ni leurs revenus ou leurs dépenses.
La voie de l'épée
le blog elan-defense
Monnaie complémentaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une monnaie complémentaire communautaire (MCC) est une forme de monnaie, qui comprend les monnaies locales et monnaies sectorielles, qui se veut complémentaire aux monnaies officielles. Une monnaie complémentaire communautaire favorise les systèmes de don et d'échanges locaux avec moins d'endettement. Histoire[modifier | modifier le code] Les monnaies complémentaires existent depuis longtemps, et plusieurs monnaies complémentaires différentes ont pu être en circulation dans une même région à certaines époques[1]. Plus récemment, à la suite de la crise de 1929, des monnaies locales avaient permis en Autriche, à Wörgl notamment de maintenir un taux d'emploi permettant à de nombreuses familles de vivre sans faire appel au Mark, mais la banque autrichienne a interdit cette monnaie, ce qui a maintenu au chômage 30 à 35 % de la population autrichienne et selon certains économistes aidé Adolf Hitler à prendre le pouvoir[LietaerAube 2].
Qui seront les « hussards » de la rénovation ? - Management
Pour Dominique Bidou, Président du Centre d’information et de documentation sur le bruit, ancien directeur au ministère de l’environnement et président d’honneur de l’association HQE , les aides financières à la rénovation sont indispensables mais l’argent ne suffit pas. Il faut aussi un puissant investissement humain pour accompagner les propriétaires. Des « Hussards », comme ceux qui ont permis à la République de s’imposer. Les dossiers qui sont retenus dans les grands programmes d’intervention ne sont pas les plus importants. Du moins, ce ne sont pas les plus urgents, les plus graves, les plus utiles qui s’imposent. Ce sont les dossiers qui sont prêts. Le grand programme aujourd’hui, à la suite du Grenelle de l’environnement, est la réhabilitation des bâtiments. Le chantier, en outre, n’est pas commode à appréhender. Incitations à travers les aides financières Insuffisance de la motivation financière La seule motivation financière est bien insuffisante.
300-monnaies-compl
Pour commencer, nous vous suggérons de découvrir, pour celles et ceux qui ne connaissent pas, ce qu'est une monnaie complémentaire et quel en est l'intérêt. Dans ce paysage, nous vous invitons ensuite à découvrir plus spécifiquement: Le mouvement des Monnaies Locales Complémentaires (MLC) à quoi ça sert Quelques exemples d'expériences en cours en vidéo et quelques sites de référence sur les MLC. « le manifeste du réseau des monnaies locales complémentaires » - Ce manifeste est le produit d'un travail collectif réalisé par les acteurs de MLC en France. Monnaies complémentaires qui s'adressent en général à des réseaux de personnes individuelles et dont la dimension première est de créer du lien social au travers de l'échange. Nous présentons 3 formes de ces monnaies : Le SEL – Système d'Échange Local Le J.E.U. - Le Jardin d'Échange Universellement l'Accorderie Les systèmes Barter (réseau de troc inter-entreprises) Le WIR en Suisse Le RES en Belgique Les monnaies numériques
La mort de Ben Laden, et des rédactions cloisonnées
La mort de Ben Laden a d'abord été annoncée sur Twitter. Puis par Obama alors que les Une des quotidiens étaient déjà faites. Deux raisons qui montrent, une fois encore, le besoin de synergie entre rédactions web et papier. Frédéric Filloux (Monday Note) et Felix Salmon de Reuters reviennent cette semaine sur la couverture de la mort de Ben Laden. Ils notent deux choses : L’info vient de TwitterLa plupart des journaux n’avaient pas l’info le lendemain Voici le fil des publications : Nous sommes le 1er mai 2011. Au moment où les Américains entament leur raid sur le fief du leader d’Al Qaida, il se trouve un individu, Sohaib Athar, consultant, pour envoyer des messages sur Twitter via son téléphone portable. Le traitement journalistique ensuite : 10h24 – Keith Urban, que personne ne connaissait jusqu’ici, annonce sur Twitter la mort d’Oussama Ben Laden, quelques heures après l’intervention des Navy Seals. Résultat : Crédits Photo : FlickR by-nc-sa Pixel Form