Croisière : la France est le neuvième marché mondial - L'Echo Touristique 21,3 millions de passagers ont pris la mer dans le monde en 2013, d’après le bilan publié par CLIA. C’est 2% de plus qu’en 2012. La croissance internationale du marché de la croisière est restée faible en 2013, tout comme l’année précédente. Au global, d’après le bilan communiqué par CLIA (Association internationale des compagnies de croisières), 21,3 millions de clients ont embarqué sur un bateau maritime l’an dernier, contre 20,9 millions en 2012. C’est une progression de seulement 2%, identique à celle constatée l’année d’avant. Sur 10 ans, la croissance globale du secteur est en revanche spectaculaire : +77% en nombre de passagers, qui n’avaient été que 12 millions à prendre la mer en 2003. La Chine en huitième position Dans ce panorama, la France se place au neuvième rang des marchés émetteurs, avec 520 000 passagers.
232 000 croisiéristes ont embarqué dans un port français en 2013 - L'Echo Touristique Le nombre de passagers maritimes ayant débuté leur croisière en France a bondi de 21% l’an dernier, d’après le rapport de CLIA Europe sur la contribution économique du secteur. Au total, 2,4 millions de pax ont visité le territoire français en 2013. Le nombre de croisiéristes maritimes embarqués en France a connu une forte augmentation en 2013. Le nombre total de passagers accueillis dans les ports français (incluant les embarquements, les débarquements et les escales) a en revanche progressé de manière plus modeste : +3,9%, pour un total de 2,41 millions de visiteurs. Marseille reste le port français leader Sans surprise, c’est Marseille qui reste de loin le leader des ports français de croisière. 191 000 passagers y ont débuté leur voyage, et un total de près de 1,12 million de passagers sont passés par la cité phocéenne au cours de l’année, en embarquement, en débarquement ou en escale. 1,08 milliard d'euros de retombées économiques directes en France
520 000 Français sont partis en croisière maritime en 2013 Le nombre de passagers français a augmenté de 8% l’an dernier, selon l’association internationale des compagnies de croisière. Pour la deuxième année consécutive, le marché français de la croisière n’a pas connu de croissance à deux chiffres en 2013, bien que restant sur une dynamique très positive. Selon le bilan encore provisoire de l'Association internationale des compagnies de croisière (CLIA), 520 000 Français ont pris la mer en 2013, contre 481 000 l’année précédente, soit une progression de 8%. Pour rappel, les volumes avaient augmenté de 9% en 2012, et de 12 à 14% par an entre 2008 et 2011. De tels chiffres placent la France à la neuvième place du classement des plus importants marchés de la croisière au niveau international. +5% environ de croisiéristes dans le monde en 2013 Au global, la CLIA table sur un total de 21,3 millions de croisiéristes dans le monde en 2013, le chiffre définitif n’étant présenté qu’en mars prochain.
La croisière vogue vers le gaz naturel - L'Echo Touristique C'est quoi l'idée ? L'industrie de la croisière est souvent pointée du doigt : dégradation des sources d'eau et de la flore marine, rejets polluants dans l'air et dans l'eau, production massive de déchets... Plusieurs rapports scientifiques, ou d'ONG, ont mis en avant le laxisme des lois internationales sur l'impact social et environnemental du secteur. Mais les nouveaux navires des compagnies, pour des raisons écologiques et économiques, sont de moins en moins polluants. Des progrès réalisés grâce aux technologies développées par les constructeurs. Qui le fait ? La plupart des compagnies de croisières ont mis en place des programmes de rénovation de leurs navires, intégrant des améliorations en termes de rejets de déchets, d'eaux usées et de gaz polluants. Un projet qui prend vie Les nouveaux navires de STX, alimentés au GNL, permettent de réduire LES ÉMISSIONS DE CO2 DE 20%. Mais il serait possible d'aller plus loin.
Le palmarès 2014 des ports de croisières français - L'Echo Touristique Nombre de passagers, part du trafic en "tête de ligne", nombre d’escales : pour la première fois, L’Echo touristique a compilé les statistiques relatives au trafic croisières dans l’ensemble des ports français de métropole et d’outremer. En voici le Top 50. Marseille s’impose plus que jamais comme le phare de la croisière en France. Mais derrière lui, des dizaines d’autres ports font de cette activité un axe de développement touristique, et les meilleurs élèves ne sont pas forcément ceux que l’on imagine. Pour la première fois, L’Echo touristique a recueilli l’ensemble des données statistiques portant sur le trafic croisières dans les ports français, en métropole comme dans les territoires ultramarins : nombre total de passagers, proportions du trafic de transit et du trafic de "tête de ligne", nombre d’escales, évolutions par rapport à 2013… Seuls ont été retenus ici les ports ayant dénombré plus de 4 000 passagers en 2014. Les passagers en transit sont comptabilisés une fois.
Croisière : Le marché se tasse en Europe A l’occasion du Seatrade, la grande messe annuelle de l’industrie de la croisière qui s’est déroulée récemment à Miami, l’Association internationale des compagnies de croisière (CLIA) a annoncé les chiffres de fréquentation en Europe pour 2012. Certes, la CLIA a raison de mettre en avant un nouveau record car, avec 6.139 million de passagers, il n’y a jamais eu autant d’Européens à passer leurs vacances sur un paquebot. D’où la satisfaction affichée de Manfredi Lefebvre d’Ovidio, président de CLIA Europe : « 2012 a été une bonne année pour l’industrie européenne de la croisière, particulièrement au vu des défis de l’année. La multiplication par deux du nombre de croisiéristes européens sur les 8 dernières années reflète la qualité, l’innovation et la grande variété de l’offre que nous proposons à nos passagers ». Une croissance réduite à 1% seulement Mais au-delà du record, les chiffres montrent une autre réalité. La Grande-Bretagne stagne, l’Allemagne et l’Europe du nord résistent bien
Bretagne : présentation touristique Présentation physique et humaine - Population 908 449 habitants (évaluation INSEE 2006) - Superficie 6 775 km² - Caractéristiques géographiques. L'Ille-et-Vilaine, c'est : au nord une façade maritime et 71 kms de Côte d'Emeraude, du Mont-St-Michel à St-Briac. C'est aussi un ensemble de plateaux dont l'altitude varie de 50 à 120 m, sur lesquels on retrouve notamment Rennes, capitale de la Bretagne et la forêt de Brocéliande. Les principaux sites touristiques - Saint-Malo (estimation : OT: 2 millions de visiteurs annuels), Pointe du Grouin (1 million), Rennes, Cancale, Dinard On peut citer ensuite les trois sites et équipements dont la fréquentation est supérieure à 100 000 visiteurs : le domaine de Trémelin à Iffendic (140 000), le château et parc zoologique de la Bourbansais à Pleugueneuc (137 700 entrées), l'espace des Sciences à Rennes avec 104 493 entrées.
Insee Bretagne - En résumé - Bretagne Mise à jour octobre 2014 Les données sur la part du tertiaire dans l'emploi du tableau Emploi - Chômage ont été modifiées le 5 décembre 2014. Située au cour de l'Arc Atlantique européen, la Bretagne regroupe quatre départements et compte 2 700 km de côtes. Deux aires urbaines principales, Rennes et Brest, concentrent une part importante de la population, de l'emploi, en particulier de l'emploi qualifié, et de l'enseignement supérieur. Un maillage homogène de villes moyennes complète la structuration du territoire. À l'exception de la capitale régionale, les principales villes bretonnes sont situées près du littoral. Près de 25 000 nouveaux habitants chaque année, essentiellement grâce à un fort apport migratoire Au 1er janvier 2013, la population bretonne s'élève à 3 259 700 habitants, soit 165 200 de plus qu'en 2006 et près de 25 000 nouveaux habitants chaque année. Variation du nombre d'habitants entre 2006 et 2011 haut de page Les difficultés sociales s'aggravent également.
Destination France : 85 millions de touristes internationaux par an - Chambre de Commerce et d'Industrie du Morbihan Mis en ligne le 5 janvier 2015 La consommation touristique en France s’élève à 157 milliards d’euros, une somme équivalente à 7,4 % du PIB en 2013. La destination France reste la plus sollicitée au monde, avec 84,7 millions d’arrivées de touristes internationaux. Le taux de départ en voyage des Français est de 75,1 % en 2013. Sources de l'étude : DGE (Direction Générale des Entreprises), Ministère de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique, sous-direction de la Prospective, des Etudes et de l'Evaluation économiques (P3E) - Décembre 2014, 328 p. Etude publiée et téléchargeable sur le site de la DGE Partager sur : Afficher toute la rubrique