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La « nomophobie », ou la peur panique de se retrouver sans téléphone portable

La « nomophobie », ou la peur panique de se retrouver sans téléphone portable
Pendant un déjeuner avec une amie, Russell Clayton, doctorant à l’université du Missouri, a la surprise de voir sa convive le laisser précipitamment parce qu’elle a oublié son téléphone portable. Interloqué, il a l’idée de se pencher sur le sentiment de manque, voire de peur, qui habite certaines personnes lorsqu’elles sont séparées de ces petits objets devenus visiblement indispensables. Le téléphone portable est devenu « une extension de nous-même », à la manière du sonar de certains animaux, si bien qu’on peut parler d’ »iSelf », de « soi connecté ».Privé de son mobile, la personne souffrant de « nomophobie » a l’impression d’avoir perdu une part d’elle-même, et cela « peut avoir un impact négatif sur ses performances mentales ». Psychologiquement diminué Pour ses expériences, Clayton a fait appel à des étudiants. Cette angoisse avait déjà été identifiée en 2013 dans un sondage de la société anglaise d’enquêtes en ligne YouGov, qui travaillait sur le sujet depuis cinq ans :

Internet Addiction and Online Addiction By John M. Grohol, Psy.D. May 27, 1999, Last updated: March 4, 2016 A resource for objective, useful informationabout Internet addiction, a theorized disorder.Is the Internet Addiction Test valid? What is Internet Addiction Disorder (IAD)? Researchers still can't tell you exactly what Internet Addiction Disorder is, also know by the term "Pathological Internet Use" (PIU). The original research into this disorder began with exploratory surveys, which cannot establish causal relationships between specific behaviors and their cause. Do some people have problems with spending too much time online? What most people online who think they are addicted are probably suffering from is the desire to not want to deal with other problems in their lives. What some very few people who spend time online without any other problems present may suffer from is compulsive over-use. Case studies, the alternative to surveys used for many conclusions drawn about online overuse, are just as problematic.

Addiction, concentration, performances… ce que l’on sait (ou pas) des effets du smartphone La recherche est encore balbutiante sur les effets de l’hyperconnexion aux smartphones, un phénomène récent à l’échelle de l’histoire de l’humanité. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Céline Mordant Il y a dix ans, le 9 janvier 2007, le patron d’Apple, Steve Jobs, présentait le premier iPhone. Depuis, le « téléphone intelligent » s’est imposé dans notre quotidien, dans nos poches, nos mains. On l’éteint rarement, on ne le quitte plus… Aurait-il refaçonné notre façon de penser ? Que disent les neurosciences des effets de cette hyperconnexion sur notre cerveau ? Dans le flot des études et publications parfois contradictoires qui dressent soit une inquiétante liste des dégâts, soit une ode très optimiste aux facultés d’adaptation de l’être humain, difficile de s’y retrouver. Peut-on devenir dépendant à son smartphone ? La plupart d’entre nous ont le sentiment de maîtriser entièrement son rapport à son smartphone. Le téléphone portable rend-il plus performant ? Pas vraiment.

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La e-dépendance et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. L’évolution des outils informatiques s’accompagne par la suite d’une véritable explosion de demande consultation. Lire ou relire plus tard

Trouble d’utilisation d’Internet et addiction à Facebook Est-ce que l’utilisation de Facebook affecte le cerveau et la façon de penser ? Une nouvelle infographie proposée par Best Masters In Psychology : Facebook psychology : Is addiction affecting our minds a capitalisé des données chiffrées de différentes études sur la captation de l’attention, la concentration ou les modifications du cerveau produites par une utilisation intensive (temps passé) de Facebook et plus largement de l’Internet. Trouble d’utilisation d’Internet (UID) officiellement reconnu par les psychiatres américains Si l’on souligne habituellement les bénéfices du numérique pour les individus et les organisations, l’infographie indique que l’addiction à l’Internet est reconnue comme telle officiellement par l’Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association, APA) avec le trouble d’utilisation d’Internet, Internet Use Disorder (IUD) défini ainsi par l’association en partant de 9 dispositions de l’Internaute « affecté » : A. B. C. D. E. F. G. H. I.

L'addiction à Internet: une nouvelle maladie? Au moment où tous les individus sont connectés une question toute simple se pose. Où se trouve la frontière entre un usage répété et une addiction? Cette question n'est pas si facile. Le terme d'addiction est passé dans le langage usuel. Mais qu'est-ce qu'une addiction à Internet? L'addiction se distingue de l'usage intensif par une préoccupation intellectuelle constante, une pensée focalisée sur l'idée, devenue un besoin , d'utiliser Internet. LIRE AUSSI: Dépendance à Internet: peut-on vraiment se désintoxiquer de la Toile? Parmi les autres stigmates d'une addiction, figure la tentative de masquer ou de minimiser le temps consacré. L'addiction à Internet s'inscrit dans un double contexte Il existe des phases d'addiction temporaire de quelques semaines à quelques mois. L'objet de l'addiction est une source de plaisir. Les sujets deviennent alors des "esclaves de la quantité". L'addiction à Internet réduit la connectivité cérébrale Dans ces circuits l'activité est diminuée. Contactez-nous

L'addiction à internet, un mal moderne La dépendance à internet touche de plus en plus de monde. C'est ce que révèle une étude allemande. Mais cette dépendance est-elle, comme certains l'entendent, une maladie mentale ? Une étude commandée par le ministère de la Santé allemand, parue le 26 septembre, révèle que plus d'un demi-million d'Allemands seraient dépendants à internet. L'addiction à internet, qui provoque l'isolement et le repli social, n'est pas forcément considérée comme une maladie au sens commun du terme, bien qu'elle se soigne. Accro à internet ou aux activités sur internet ? Contrairement à une addiction à la drogue ou à l'alcool, la dépendance à internet est à double tranchant : elle peut concerner le média en lui-même comme les activités que l'on peut y pratiquer (jeux en ligne, jeux d'argent, pornographie, achats etc). C'est d'ailleurs l'une des raisons qui fait que la population dépendante à internet ne constitue pas un groupe homogène. Les réseaux sociaux, simple phénomène de société ?

Addiction au numérique : peut on vivre déconnecté ? 1 - Le numérique est le nouvel opium du peuple : la cyberdépendance - Les NTIC, et alors? Aujourd'hui, avec l'arrivée de nouvelles technologies d'abord, puis avec la marginalisation de ces technologies comme l'informatique, on constate l'apparition d'une nouvelle forme de troubles psychologiques, la cyberdépendance ou cyberaddiction. C'est le fait de ne pas pouvoir s'empêcher de se connecter à Internet dans le but d'éprouver du plaisir ou de soulager une tension intérieure comme le stress. C'est lors du colloque de l'American Psychologic Association, à Toronto, en 1996, que ce terme a été utilisé pour la première fois par la psychologue américaine Kimberly Young. Elle affirme qu'il s'agit d'une nouvelle maladie psychologique. Cette cyberdépendance est la cause de multiples problèmes pour les individus : des mariages sont brisés, des jeunes négligent ou abandonnent leurs études, des gens perdent leur emploi, certains commettent même des gestes illégaux ( cybercrimes ) ou sont ruinés suite à des achats compulsifs ou des dépenses dans des sites à caractère pornographique.

“Digital Detox” : à quoi ressemble la vie sans Internet ? Trois mois de déconnexion volontaire pour défendre un usage raisonnable d'Internet, histoire de refaire le plein de bonnes ondes : Canal+ diffuse ce mercredi soir “Digital Detox”, un documentaire de Pierre-Olivier Labbé sur l'abstinence numérique. Il a dû racheter un radio-réveil. Un vieux boîtier avec des chiffres verts qui clignotent. Avant, Pierre-Olivier Labbé utilisait l’alarme de son téléphone, mais il a décidé d’éteindre son appareil la nuit (c’est où le bouton déjà ?). Ce fut l’une de ses premières résolutions prises cet hiver, au terme d’une expérience autrement plus radicale : trois mois de déconnexion totale d’Internet, c’est-à-dire un retour délibéré à la préhistoire – bye bye Twitter, Facebook, Gmail, etc. – que ce reporter de Capa raconte dans un film pop et paradoxalement branché diffusé ce mercredi 25 février 2015 sur Canal+. Pierre-Olivier Labbé n’est pas le premier à se priver volontairement d’Internet. Un carnet de bord personnel

Dépendance à Internet La dépendance à Internet (aussi nommée cyberdépendance, cyberaddiction, usage problématique d'Internet ou UPI, trouble de dépendance à Internet et TDI) est un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d'utiliser Internet. L'expression addiction à Internet fut employée pour la première fois par la psychologue américaine Kimberly Young, lors d'un colloque de l'American Psychological Association (APA) à Toronto en 1996. C'est Otto Fenichel (1949), qui a soulevé le premier la question des toxicomanies sans drogues. Causes et symptômes allégués Selon le psychiatre américain, Ivan K. La cyberdépendance se définit par la totalité des problèmes liés à l'utilisation de l'outil informatique qui auront un effet négatif et destructeur sur l'utilisateur. On parle de dépendance à Internet quand les symptômes apparaissent : Symptômes psychologiques allégués [3] Symptômes physiques allégués [4] Tests de dépendance Voici le Test d'Orman [5] 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Traitement

Cogito, ergo sum "ADDICT GAMER" Etudes et conceptions de la robotique ont toujours été un phénomène révolutionnaire en son temps tout comme la naissance de l'IA. Cherchant toujours plus à se surpasser technologiquement parlant pour engendrer l'hybride mécanique qui sera aussi proche de l'humain jusqu'à pouvoir penser de lui-même, cet ère fut aussi un vecteur déclencheur avant-gardiste pour certains auteurs qui au travers de leurs médias n'ont pas hésité à imaginer, simuler et créer tout un tas de directives comme la démontré Asimov pour faire donner naissance à des conflits Homme-Machine.Naturellement bridé à de l'acier avec un semblant d'automate, il n'en fallait pas moins pour que la naissance d'Internet, ce puissant système d'interconnexion entre réseaux informatique, d'abord relier par câble, satellite puis désormais Wi-fi et Blutooth, élargissent ce concept avec toute la communauté qu'ils ont assimilés. Un jour sans fin Conscience psychique et subconscience référentiel L'ange déchu du Weird

Les élèves, victimes d'addiction numérique 'action est à l'initiative des directeurs des collèges et lycées de Cognac, Jarnac et Segonzac, et plus particulièrement de la Commission éducation santé citoyenne. Elle suit un constat accablant et de plus en plus courant : « Nous sommes confrontés à des règlements de compte entre les élèves, des bagarres, suite à des discussions sur les réseaux sociaux, en particulier Facebook », explique Véronique Delions, proviseure-adjointe du lycée Jean-Monnet. C'est pourquoi Nicolas Vauzelle, formateur académique du numérique, est venu hier à la rencontre des parents au lycée pour évoquer les règles d'utilisation et prévenir des risques encourus sur Internet. Les parents absents Car hier, il s'agissait de la deuxième partie de cette enquête lancée le 19 avril. Hier, aucun parent d'élèves ne s'était déplacé pour entendre la synthèse. C'est donc devant les proviseurs et principaux des établissements que Nicolas Vauzelle a tenu son discours. Interdit aux moins de 13 ans Faire preuve de singularité

Bonsoir
Merci pour cet article, qui met en lumière non plus des comportements addictifs "isolés" mais l'émergence d'une société toute entière qui tend à s'inscrire dans la cyberdépendance.
Karine by karine_grouped_psy Feb 15

Bonsoir,
c'est impressionnant ce terme pour cette nouvelle dépendance, qui est de plus en plus courante et qui peut se trouver chez tout le monde.
encore merci pour cet article
Marion by sellier_groupea_psy Feb 15

Bonsoir,
Oui, intéressant et original cet article sur une nouvelle forme de phobie, qui commence à être scientifiquement reconnue.
Merci pour ce partage. by jurand_groupea_psy Feb 15

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