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La « nomophobie », ou la peur panique de se retrouver sans téléphone portable

La « nomophobie », ou la peur panique de se retrouver sans téléphone portable
Pendant un déjeuner avec une amie, Russell Clayton, doctorant à l’université du Missouri, a la surprise de voir sa convive le laisser précipitamment parce qu’elle a oublié son téléphone portable. Interloqué, il a l’idée de se pencher sur le sentiment de manque, voire de peur, qui habite certaines personnes lorsqu’elles sont séparées de ces petits objets devenus visiblement indispensables. Le téléphone portable est devenu « une extension de nous-même », à la manière du sonar de certains animaux, si bien qu’on peut parler d’ »iSelf », de « soi connecté ».Privé de son mobile, la personne souffrant de « nomophobie » a l’impression d’avoir perdu une part d’elle-même, et cela « peut avoir un impact négatif sur ses performances mentales ». Psychologiquement diminué Pour ses expériences, Clayton a fait appel à des étudiants. Cette angoisse avait déjà été identifiée en 2013 dans un sondage de la société anglaise d’enquêtes en ligne YouGov, qui travaillait sur le sujet depuis cinq ans :

Téléphone portable et cancer du cerveau : le risque confirmé Des chercheurs de l'université de Bordeaux ont montré un risque de tumeur cérébrale accru pour les gros utilisateurs. Un argument de plus en faveur d'une utilisation prudente. Le risque de gliome, un type de cancer du cerveau particulièrement agressif, serait doublé chez les utilisateurs intensifs de téléphone portable. Voilà une information qui risque fort de raviver l'interminable débat sur l'impact du téléphone portable sur la santé. L'étude publiée par le Dr Gaëlle Coureau et ses collègues de l'université de Bordeaux dans une revue de référence, Occupational & Environmental Medicine, montre en effet que l'utilisation intensive d'un téléphone portable est plus souvent retrouvée parmi des malades ayant eu un cancer du cerveau, type gliome, ou, de façon statistiquement moins nette, un méningiome. On distingue les deux types de tumeur car le gliome est habituellement plus redoutable. Les cancers du système nerveux central sont heureusement rares.

Internet Addiction and Online Addiction By John M. Grohol, Psy.D. May 27, 1999, Last updated: March 4, 2016 A resource for objective, useful informationabout Internet addiction, a theorized disorder.Is the Internet Addiction Test valid? What is Internet Addiction Disorder (IAD)? Researchers still can't tell you exactly what Internet Addiction Disorder is, also know by the term "Pathological Internet Use" (PIU). The original research into this disorder began with exploratory surveys, which cannot establish causal relationships between specific behaviors and their cause. Do some people have problems with spending too much time online? What most people online who think they are addicted are probably suffering from is the desire to not want to deal with other problems in their lives. What some very few people who spend time online without any other problems present may suffer from is compulsive over-use. Case studies, the alternative to surveys used for many conclusions drawn about online overuse, are just as problematic.

La présence des enfants sur les réseaux sociaux inquiète l'UE Les jeunes européens sont massivement présents sur les réseaux sociaux. C'est ce que révèle une enquête paneuropéenne menée auprès de 25 000 jeunes pour la Commission européenne. Plus de trois quarts (77 %) de la classe d'âge 13 - 16 ans et plus d'un tiers (38 %) des 9 - 12 ans ont un profil sur un site communautaire. Or, nombre d'entre eux n'ont pas paramétré leur compte de façon à le passer en privé. Selon les données collectées lors de cette étude, 25 % des jeunes français âgés de 9 à 12 ans et 82 % des 13 - 16 ans sont inscrits sur un réseau social. Plus grave. "Ces enfants s'exposent ainsi à des actes malveillants, et se rendent vulnérables face aux harceleurs et aux séducteurs. En 2009, la Commission européenne avait convaincu dix-sept sociétés de signer un accord visant à améliorer la sécurité et la vie privée des mineurs inscrits sur les sites de réseautage social.

Addiction, concentration, performances… ce que l’on sait (ou pas) des effets du smartphone La recherche est encore balbutiante sur les effets de l’hyperconnexion aux smartphones, un phénomène récent à l’échelle de l’histoire de l’humanité. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Céline Mordant Il y a dix ans, le 9 janvier 2007, le patron d’Apple, Steve Jobs, présentait le premier iPhone. Depuis, le « téléphone intelligent » s’est imposé dans notre quotidien, dans nos poches, nos mains. On l’éteint rarement, on ne le quitte plus… Aurait-il refaçonné notre façon de penser ? Que disent les neurosciences des effets de cette hyperconnexion sur notre cerveau ? Dans le flot des études et publications parfois contradictoires qui dressent soit une inquiétante liste des dégâts, soit une ode très optimiste aux facultés d’adaptation de l’être humain, difficile de s’y retrouver. Peut-on devenir dépendant à son smartphone ? La plupart d’entre nous ont le sentiment de maîtriser entièrement son rapport à son smartphone. Le téléphone portable rend-il plus performant ? Pas vraiment.

Les téléphones portables responsables de cancers du cerveau et du sein, infertilité, altération de l'ADN, autisme... Dans cette vidéo assez édifiante de l'émission Truthseeker, nous avons la confirmation de ce que l'on soupçonnait déjà : les téléphones portables causent de nombreux cancers et tuent. Malgré cela, non seulement le ministère de la santé ne fait rien mais ils ont approuvé la mise en place récente du réseau 4G. Pire encore, certains fabricants s'attaquent maintenant au marché des cinq à huit ans. Disney Channel a également annoncé que le lancement de leur nouveau dessin animé se ferait via son application pour Smartphone et tablettes Icône de liens externes . Ce n'est d'ailleurs pas un hasard, dans la mesure où Disney dispose de sa propre ligne de téléphone mobile pour les enfants en bas âge. La vidéo montre par exemple une pub hallucinante de l'industrie du tabac qui vante les mérites de ces produits pour la gorge. (Source(s): gromun / blog notes /​ YouTube /​ Blueman / RT / Fawkes News

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La e-dépendance et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. L’évolution des outils informatiques s’accompagne par la suite d’une véritable explosion de demande consultation. Lire ou relire plus tard

Portable à haute dose : le danger se confirme - Le Parisien À consommer avec modération. Faudra-t-il bientôt apposer sur les téléphones portables cet avertissement à l'attention des accros du mobile ? Une étude réalisée par une équipe de chercheurs français, publiée dans la revue scientifique « Occupational and Environmental Medicine », associe utilisation intensive du téléphone portable et risque accru de contracter une tumeur au cerveau. Après avoir mené une enquête épidémiologique auprès de personnes atteintes de méningiomes et gliomes (des tumeurs cancéreuses) en Gironde, dans le Calvados, la Manche et l'Hérault, les chercheurs ont établi un lien entre l'apparition de gliomes et l'utilisation massive, et pendant plusieurs années, du téléphone portable chez certains sujets. Même l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) reconnaît que « des interrogations sur la possibilité d'effets à long terme ne peuvent être écartées, particulièrement dans le cas d'utilisateurs intensifs ». Utilisez un kit mains libres.

Trouble d’utilisation d’Internet et addiction à Facebook Est-ce que l’utilisation de Facebook affecte le cerveau et la façon de penser ? Une nouvelle infographie proposée par Best Masters In Psychology : Facebook psychology : Is addiction affecting our minds a capitalisé des données chiffrées de différentes études sur la captation de l’attention, la concentration ou les modifications du cerveau produites par une utilisation intensive (temps passé) de Facebook et plus largement de l’Internet. Trouble d’utilisation d’Internet (UID) officiellement reconnu par les psychiatres américains Si l’on souligne habituellement les bénéfices du numérique pour les individus et les organisations, l’infographie indique que l’addiction à l’Internet est reconnue comme telle officiellement par l’Association Américaine de Psychiatrie (American Psychiatric Association, APA) avec le trouble d’utilisation d’Internet, Internet Use Disorder (IUD) défini ainsi par l’association en partant de 9 dispositions de l’Internaute « affecté » : A. B. C. D. E. F. G. H. I.

L'Agence sanitaire alerte sur les danger des portables sur les enfants Les ondes électromagnétiques émises par les téléphones portables, les tablettes tactiles ou les jouets connectés peuvent avoir des effets sur les fonctions cognitives - mémoire, attention, coordination - des enfants, indique vendredi un rapport de l’Agence sanitaire (Anses). Les experts, qui recommandent de limiter l’exposition des jeunes populations, ont également recensé des effets négatifs sur le bien-être (fatigue, troubles du sommeil, stress, anxiété), qu’ils attribuent non pas aux ondes elles-mêmes, mais à une utilisation intensive du téléphone portable. Dans son état des lieux des connaissances, l’Agence nationale de sécurité sanitaire indique en revanche que «les données actuelles issues de la littérature internationale ne permettent pas de conclure à l’existence ou non d’effets chez l’enfant sur le comportement, les fonctions auditives, le développement, le système reproducteur ou immunitaire, ni d’effets cancérogènes». «Santé mentale affectée» Les enfants plus sensibles

L'addiction à Internet: une nouvelle maladie? Au moment où tous les individus sont connectés une question toute simple se pose. Où se trouve la frontière entre un usage répété et une addiction? Cette question n'est pas si facile. Le terme d'addiction est passé dans le langage usuel. Mais qu'est-ce qu'une addiction à Internet? L'addiction se distingue de l'usage intensif par une préoccupation intellectuelle constante, une pensée focalisée sur l'idée, devenue un besoin , d'utiliser Internet. LIRE AUSSI: Dépendance à Internet: peut-on vraiment se désintoxiquer de la Toile? Parmi les autres stigmates d'une addiction, figure la tentative de masquer ou de minimiser le temps consacré. L'addiction à Internet s'inscrit dans un double contexte Il existe des phases d'addiction temporaire de quelques semaines à quelques mois. L'objet de l'addiction est une source de plaisir. Les sujets deviennent alors des "esclaves de la quantité". L'addiction à Internet réduit la connectivité cérébrale Dans ces circuits l'activité est diminuée. Contactez-nous

L'addiction à internet, un mal moderne La dépendance à internet touche de plus en plus de monde. C'est ce que révèle une étude allemande. Mais cette dépendance est-elle, comme certains l'entendent, une maladie mentale ? Une étude commandée par le ministère de la Santé allemand, parue le 26 septembre, révèle que plus d'un demi-million d'Allemands seraient dépendants à internet. L'addiction à internet, qui provoque l'isolement et le repli social, n'est pas forcément considérée comme une maladie au sens commun du terme, bien qu'elle se soigne. Accro à internet ou aux activités sur internet ? Contrairement à une addiction à la drogue ou à l'alcool, la dépendance à internet est à double tranchant : elle peut concerner le média en lui-même comme les activités que l'on peut y pratiquer (jeux en ligne, jeux d'argent, pornographie, achats etc). C'est d'ailleurs l'une des raisons qui fait que la population dépendante à internet ne constitue pas un groupe homogène. Les réseaux sociaux, simple phénomène de société ?

Addiction au numérique : peut on vivre déconnecté ?

Bonsoir
Merci pour cet article, qui met en lumière non plus des comportements addictifs "isolés" mais l'émergence d'une société toute entière qui tend à s'inscrire dans la cyberdépendance.
Karine by karine_grouped_psy Feb 15

Bonsoir,
c'est impressionnant ce terme pour cette nouvelle dépendance, qui est de plus en plus courante et qui peut se trouver chez tout le monde.
encore merci pour cet article
Marion by sellier_groupea_psy Feb 15

Bonsoir,
Oui, intéressant et original cet article sur une nouvelle forme de phobie, qui commence à être scientifiquement reconnue.
Merci pour ce partage. by jurand_groupea_psy Feb 15

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