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Twitter avec des élèves de première secondaire

Twitter avec des élèves de première secondaire
D’octobre à décembre, j’ai utilisé Twitter dans mes cours de français (dans un contexte pédagogique) avec deux groupes d’élèves de première secondaire [12-13 ans] (Programme d’éducation internationale) à l’école secondaire De Rochebelle (Québec, Québec). Ce billet était prévu depuis longtemps, mais les mises à jour de mon blogue ne sont pas une priorité en ce moment. Voici mes observations, mes réflexions et mes commentaires divisés en catégories et accompagnés d’exemples de tweets. Ce n’est pas aussi sérieux que les travaux de Danah Boyd, mais cela devrait tout de même vous intéresser. *Pour une raison que j’ignore, les documents partagés via Scribd ne semblent pas s’afficher dans Safari. 1. L’expérimentation de Twitter fut réalisée pendant un projet technologique rendu possible grâce au Programme d’apprentissage numérique d’Apple. 1 – tenir un microjournal de bord sur l’avancement de son travail; 2 – poser une question à ses collègues ou répondre à une question; 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Twitter Reading List Centre for Learning & Performance Technologies The Social Academy Getting Started Getting started with Twitter Accessing and using Twitter The Basics Building Community Communicating with others Sharing links and resources Keeping up to date Problem solving Serendipitous learning Presentations, Events, Classes & Training Using the backchannel at an event Incorporating the backchannel in a presentation Live presentation streaming Lectures, classes & workshops Feedback and quizzes Micro-Learning Micro-learning Daily micro-learning Synchronous learning Other activities Collaborative writing Brainstorming Scavenger hunts Serious games Running a book club

Devoir sur Twitter: un succès qui fait boule de neige | Daphnée Dion-Viens «L'engouement pour ce projet a été viral», affirme Mme Côté, qui enseigne à l'école secondaire Saint-Pierre et des Sentiers à Charlesbourg. Au cours des dernières semaines, les 55 élèves qui ont participé au projet ont publié un tweet sur un thème bien précis. La première semaine, ils ont dû rendre hommage à quelqu'un ou à quelque chose en 140 caractères. En fignolant leur petite phrase, ils sont appelés à développer leur style littéraire. Les élèves ont joué le jeu et même plus, s'imposant eux-mêmes des contraintes supplémentaires, raconte l'enseignante.

Twitter comme outil pédagogique | Isabelle Pion | Sherbrooke C'est la deuxième fois que l'enseignante pilote le projet en classe, qui suscite la motivation des élèves. Plusieurs raisons lui ont donné envie de répéter l'expérience. Auparavant, raconte-t-elle, des élèves abandonnaient la lecture en cours de route. « Ils étaient motivés au début, mais ils ne se rendaient pas à la fin », raconte-t-elle. Et pourtant, lorsqu'elle a lancé le projet, Geneviève Arvisais connaissait Twitter, pour en avoir entendu parler, sans plus. « Je cherchais un côté pédagogique », souligne-t-elle. Pour lancer l'initiative, elle a dû obtenir la permission de l'école, puisque les réseaux sociaux ne sont pas admis en classe. « Vu que c'est dans le cadre d'un projet scolaire, j'ai pu y donner accès». Comme la plupart des élèves ont des téléphones intelligents ou des iPod, ils ont pu se servir de leur appareil pour les travaux en classe. «On lisait un livre et on nous posait des questions. Quels sont les médias sociaux que les jeunes utilisent?

Marion Chatel-Chaix Pourquoi utiliser les médias sociaux au CÉGEP? Hier, j'ai fait une présentation et discuté avec des aides pédagogiques individuels de différents Cégeps dans le cadre du Colloque Annuel de l'APAPI (Association Professionnelle des Aides Pédagogique Individuels - Le but de la présentation était d'expliquer à des personnes pas encore convaincues pour quelles raisons on devrait utiliser les réseaux sociaux dans les Cégeps. J'ai commencé ma présentation par définir le contexte... J'ai parlé de la génération C et j'en ai clarifié les caractéristiques tout en déconstruisant quelques mythes. Ça m'a aussi amené à parler de la vitesse à laquelle les technologies évoluent et de la place importante qu’elles occupent dans notre vie. J'ai ensuite parlé de l'effervescence qu'il y a dans le domaine de l'enseignement et de l'apprentissage sur le plan des théories, des approches pédagogiques et des outils. Référence et lien pour ce rapport: Thivierge (2011). Raison 1: Parce que les jeunes sont déjà sur les réseaux sociaux.

Parlons pédagogie avec le Journal Télévisé Ces deux derniers jours (samedi 29 et dimanche 30 janvier), le journal télévisé de France 2 a abordé avec audace quelques questions de pédagogie. Samedi, un reportage sur la twitclasse de M. Masson et dimanche midi, sur une classe de collège qui pratique la démarche d'investigation en classe de Sciences (sans distinguer physique, SVT ou chimie, @milasaintanne dit que ça s'appelle le EIST, elle est forte ma copine Mila !)(9ème minute ou approchant). Je voudrais d'abord féliciter France 2 d'aborder comme ça, sans même enfiler le moindre gilet pare-balle, sans faire appel aux CRS pour protéger leurs locaux (alors même que lesdits CRS leur doivent au moins ça vu le reportage sur la fermeture des casernes qui suit), d'aborder aussi courageusement donc des sujets tels que : l'utilisation des réseaux sociaux avec des enfants (Twitter) l'équipement des classes en matériel et en connexion (un œil averti voit sur cette image : un ordinateur portable, un TBI au mur et la connexion internet)

écriture collective d’un récit numérique via Twitter Récit numérique collaboratif élaboré à partir d’ateliers d’écriture animés à Sciences Po Une série de douze ateliers d’écriture durant le deuxième semestre des étudiants en première année de Sciences Po, ayant pour but de procéder à l’écriture collective d’un récit numérique via Twitter : À l’ère du web, le texte s’émancipe de sa forme. Les objectifs pédagogiques et les contenus des ateliers artistiques sont définis en adéquation avec le projet éducatif de Sciences Po : développer l’imagination créative, le sens de l’observation, l’analyse critique, la capacité à s’exprimer en public et à argumenter ; l’aptitude à la prise de responsabilités et à l’autonomie, la faculté à susciter une pensée originale et décentrée et le sens du collectif. Ces enseignements invitent les élèves à s’interroger sur les arts en tant que moyens d’étude, d’approfondissement et de représentation des enjeux contemporains. Lecture polyphonique du récit par les élèves en 2011 : Téléchargement du son 2011. 1. 2.

Utiliser Twitter pour comprendre la Renaissance Est-ce que la rencontre entre Twitter et la Renaissance est possible ? C’est le pari qu’a pris une enseignante de La Rochelle du nom de Laurence Juin. Il y a déjà presque trois ans, Mario Asselin a écrit un article sur cette enseignante et ses aventures technologiques. Elle a aussi été conférencière dans le cadre de Clair2011. Actuellement, cette enseignante enseigne lettres-histoire géo et éducation civique au Lycée des métiers Pierre Doriol de La Rochelle en France. Voici un projet très intéressant où elle utilise Twitter pour permettre aux grands personnages de la Renaissance de se rencontrer sur la toile. Les buts du projet: Les élèves, en équipe de 2, doivent ensuite choisir un personnage de la Renaissance et rédiger une fiche biographique. 1. Une fois que la recherche est faite, les élèves doivent créer un compte Twitter pour leurs personnages. Les élèves commencent à tweeter sous les pseudos de grands personnages de la #Renaissance. 4. 7. Voici un exemple d’affiche. Signing you up!

Une importante "fracture numérique" pénalise les femmes sur le marché de l'emploi, entretien exclusif avec Brice Teinturier, DG chez Ipsos Dans le cadre d'une thématique lancée par Microsoft, il m'a été possible de m'entretenir avec Brice Teinturier, Directeur Général Délégué chez Ipsos, dont la mission est d'accompagner les décideurs économiques et politiques grâce au décryptage de l’opinion et de ses évolutions. L'homme est un expert des évolutions de l’opinion, tant dans la sphère politique et électorale que sociétale. Notre entretien a abordé l'étude qu'Ipsos a menée à la demande de Microsoft, sur "un échantillon représentatif de 500 femmes âgées de 18 à 65 ans,composé majoritairement d'actives mais aussi d'inactives, par téléphone, en novembre 2010". De façon personnelle, Brice Teinturier pense que le peu de travailleurs IT féminins est dû à un "phénomène culturel" : "Dans notre pays, historiquement, il y a eu très longtemps une sorte de coupure entre les matières scientifiques plutôt réservées aux hommes ; avec de plus une représentation sociétale des ingénieurs davantage associée à l'homme."

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