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Ils inventent l’éclairage urbain biologique sans électricité

Une start-up française pourrait bien bouleverser notre conception de l’éclairage urbain en remplaçant les enseignes lumineuses énergivores par un procédé basé sur ce qui existe dans la nature : Glowee, le système vivant de bioéclairage. Le biomimétisme a décidément le vent en poupe en ce début 2015. Après le plastique organique biodégradable et le matériau producteur d’oxygène, voici l’éclairage urbain naturel, directement inspiré du vivant. Vitrines, lampadaires, signalétiques, l’éclairage urbain est particulièrement énergivore et la facture pèse aussi bien sur la collectivité que sur l’environnement. Contrairement aux autocollants luminescents que nous avons connus dans notre enfance, leur procédé n’utilise pas de substance radioactive. Parmi ses nombreux avantages, on note la possibilité de lui donner n’importe quelle forme. L’objectif de Glowee est d’exploiter le besoin des commerçants d’éclairer leurs vitrines durablement (afin d’être dans la légalité) pour développer leur concept. Related:  ECLAIRERECO design

Nervous System : Série Hyphae publié le mardi 12 novembre 2013 dans Muuuz - Magazine > Design Nervous System est un jeune studio de design Américain qui officie à la croisée de la science, de l'art et de la technologie. Reprenant la nervure des feuilles végétales, les lampes "Hyphae" se déclinent en lampes à poser et en suspensions. Pour en savoir plus visitez le site de Nervous System.

Adieu pollution au plastique ? Une bactérie qui le dévore vient d'être découverte au Japon Image d'illustration (Crédit : Hans/Pixabay) Dans la biosphère, il existerait une... "plastisphère". Dégrader les déchets grâce au métabolisme d'une bactérie Une hypothèse vérifiée grâce à des analyses génétiques et biochimiques effectuées sur les échantillons de PET prélevés. "Avec Ideonella sakaiensis, nous avons la possibilité de nous débarrasser des déchets de PET qui s'accumulent sur la planète, en sachant enfin comment les dégrader", se réjouit le biochimiste allemand Uwe T. Le processus chimique expliqué en un schéma (Crédit : Science via Le Temps) Un enthousiasme partagé par Jan Roelof Van der Meer, professeur de microbiologie à Lausanne. "Si des bactéries ont pu s'adapter au PET, et en tirer le carbone nécessaire à leur croissance dans ce site de recyclage au Japon, on peut tout à fait imaginer que cette adaptation spontanée se reproduira ailleurs". Le fait de faire appel aux bactéries, mais aussi aux vers ou champignons pour lutter contre la pollution n'est pas nouveau.

Ingo Maurer Seven Off The Wall Lam Grâce à des bactéries, cette start-up va éclairer nos villes sans électricité Image de synthèse de Glowee (Crédit : Glowee) Algues, méduses, calamars, poissons, crevettes… Tous ces animaux marins ont en commun de posséder un gène code leur permettant d’être bioluminescents : en présence d’une enzyme, la luciférase, ils génèrent naturellement une lumière colorée (en général bleue ou rouge). Cette production naturelle est pour la start-up parisienne Glowee l'une des ressources de demain. À LIRE AUSSI : Adieu pollution au plastique ? (Crédit : Glowee) Pour y parvenir, son équipe scientifique utilise les gènes codant pour la bioluminescence et les insère dans des bactéries non pathogènes et non toxiques. "Nous ne voulons pas concurrencer les autres sources d'éclairage, mais bien diversifier l'offre. "19 % de la consommation mondiale en électricité est utilisée pour l'éclairage, et cela génère 5 % des émissions de CO2 à travers la planète", renchérit Geoffroy De Berail. À LIRE AUSSI : Ces lampadaires "made in France" capturent le soleil pour éclairer les rues la nuit

Johnny B. Butterfly Pendent by Ingo Maurer August 25, 2011 Lighting prodigy Ingo Maurer infuses a simple light bulb with poetic exploration by creating the Johnny B. Butterfly pendent. Like a moth to a flame burned by the fire, the Johnny B. Johnny B. Johnny B. Insects dancing to the joy of light will delight an interior. About the manufacturer: German-born Ingo Maurer is one of the most prolific and respected artist/designers working today.

Grâce à des algues, cette nouvelle colonne Morris va purifier l'air parisien Cette colonne Morris va purifier l'air parisien (Crédit : Suez Environnement) Depuis le 19ème siècle, les colonnes Morris servent à la promotion des spectacles et des films pour les Parisiens. Désormais, elles pourront aussi servir à décarbonner l'atmosphère. C’est en tout cas ce que promet Suez, qui a développé avec la start-up Fermentalg une colonne abritant des milliards de micro- algues. Objectif affiché : tester l’efficacité de cette technologie en ville avant une possible commercialisation du dispositif. Deux tests sont déjà prévus cet été. Une tonne de CO2 capturé par an Présenté à l’occasion de la COP21, le prototype de colonne de 4 mètres de haut et de 2,5 mètres de diamètre abrite un réservoir de 1 000 litres d’eau. Maladies respiratoires Sachant qu'un Français émet en moyenne plus de 7,5 tonnes de gaz carbonique par an, ce dispositif qui n'en absorbe qu'une tonne est-il pertinent économiquement ?

Lustre qui transforme votre chambre en forêt Lustre qui transforme votre chambre en forêt Ces incroyables lustres sont créés par Hilden Diaz et servent à créer une atmosphère subtile, ils jouent avec les ombres pour vous transporter dans une forêt intrigante Il intrigue par son aspect original… Mais une fois la pièce plongée dans le noir, il se transforme en diffuseur d’ombres chinoises en forme de forêt mystérieuse ! Regardez ! Ce lustre créatif du nom de « Forms in Nature » a été designé par Thyra Hilden et Pio Diaz. Les créateurs vont prochainement lancer une campagne de financement participatif afin de l’industrialiser et le commercialiser l’année prochaine. Que pensez-vous du jeu d’ombre qu’elle fait ? Visitez le site de Hilden Diaz Merci à Timewheel pour cet article

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