Google et les transhumanistes Ray Kurzweil, le "pape" du transhumanisme, a été embauché par Google comme ingénieur en chef pour faire du moteur de recherche la première intelligence artificielle de l'histoire. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Laurent Alexandre (Chirurgien urologue, Président de DNAVision) Le transhumanisme est encore quasi inconnu en France. Dans ce contexte, les transhumanistes soutiennent une vision radicale des droits de l'humain. L'homme du futur serait ainsi comme un site Web, à tout jamais une "version béta", c'est-à-dire un organisme-prototype voué à se perfectionner en continu. Aujourd'hui, Google est devenu l'un des principaux architectes de la révolution NBIC et soutient activement le transhumanisme, notamment en parrainant la Singularity University qui forme les spécialistes des NBIC. Google s'intéresse également au séquençage ADN au travers de sa filiale 23andMe, dirigée par la femme de Sergei Brin, le cofondateur de Google.
Transhumanisme H+, un symbole du transhumanisme. Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer la condition humaine notamment par l'augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains. Les transhumanistes considèrent certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subis comme indésirables. Le transhumanisme partage de nombreux éléments avec l'humanisme, y compris le respect de la raison et de la science, une volonté de progresser et une valorisation de l'existence humaine (ou transhumaine). Le terme « transhumanisme » est symbolisé par « H+ » (anciennement « >H »[3]) et est souvent employé comme synonyme d'« amélioration humaine ». Pour résumer la FAQ transhumaniste d'Humanity+ développée dans les années 1990, un des documents transhumanistes les plus reconnus, le transhumanisme est défini par Max More comme suit[4] :
Les conséquences de la techno-médecine 01Business le 08/07/13 à 15h20 « L’homme qui vivra mille ans est peut-être déjà né » cette phrase de Laurent Alexandre, chirurgien-urologue et neurobiologiste, diplômé de Science Po, d'HEC et de l'ENA, résume bien l’influence des biotechnologies sur le futur de l’humanité. Depuis sa première édition en 2008, l’USI a pour vocation de réunir "les geeks et les boss" autour de sujets traitant d’actualité informatique, de nouvelles technologies, d’innovation, mais aussi de philosophie ou de design. Transhumanisme : demain, l'Homme amélioré De l’Homme réparé à l’Homme augmenté et presque immortel, il n’y a qu’un pas… Dans le billet précédent, nous vous avons présenté quelques applications concrètes, bien réelles, dont le but est simple : réparer l’être humain. Soigner les blessures, mais aussi réparer, corriger les imperfections de la nature. Mais le transhumanisme ne s’arrête pas à cette étape. Sans que nous n’en ayons forcément besoin de prime abord, nous pourrions dans un avenir proche, troquer nos jambes contre de nouvelles, artificielles mais “fashion”, ou hyper rapides. Et nous pourrions aussi, pourquoi pas, décupler notre intelligence ou nos capacités cognitives, grâce à la stimulation cérébrale, aux interfaces cerveau-machine et aux neurosciences... Avec les progrès de la science, les rêves transhumanistes sont une réalité tangible. "Connected" - Kasey Mcmahon Le mécano humain Certains transhumanistes n’ont pas attendu 2015 pour commencer à se bricoler eux-mêmes. Des caméras dans le corps "Improvement" - Ijal Sasino
DIY human cyborg biohacks his own body with circadia implant nov 01, 2013 DIY human cyborg biohacks his own body with circadia implant DIY human cyborg biohacks his own body with circadia implantimage courtesy of motherboard imagine a future of cyborgs, where people are capable of augmenting and monitoring their bio-telemetry via an external interface or smartphone on-the-go. biohacker tim cannon has done just that by implanting a device he has designed known as circadia into his forearm. circadia is a computer capable of recording and transmitting biometric data to android-powered devices. conceived with the help of the team from grindehouse wetware, the cyborg transformation has given cannon full access to his body’s biometric data in real-time. ‘I think that our environment should listen more accurately and more intuitively to what’s happening in our body,’ explains cannon. experimenting with biochip implantsvideo courtesy Motherboard TV the circadia device before being implanted in tim cannon’s armimage courtesy motherboard