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Travail : le coût du présentéisme plus élevé que celui... de l'absentéisme

Travail : le coût du présentéisme plus élevé que celui... de l'absentéisme
INFOGRAPHIE - Avec la crise, les employés sont plus enclins à venir travailler en toutes circonstances. Or un salarié présent à son poste mais fatigué ou malade est peu productif, ce qui a un coût considérable pour l'entreprise. Le surinvestissement au travail est néfaste à la santé des employés et la productivité des entreprises. Pour lutter contre ce phénomène, le Japon a décidé de forcer les travailleurs à prendre un minimum de 5 jours de vacances par an. Si les Japonais sont réputés pour leur tempérament besogneux, ils ne sont pas les seuls concernés par ce fléau. De fait, Matthieu Poirot, fondateur du cabinet Midori Consulting, explique «qu'avec la crise, les salariés sont de plus en plus enclins à venir travailler, même malades ou fatigués. Une comparaison entre pays permet d'établir un lien inversement proportionnel entre taux de productivité et temps passé au travail. Les travailleurs français se situent dans la moyenne. » Retrouvez les dernières offres d'emploi avec Cadremploi Related:  Bien être et Conditions de Travailghjuliane

Partir plus tôt du travail © Jupiter Votre journée touche à sa fin et votre stress monte. Votre conjoint vous attend pour le dîner, les enfants aussi. Ou bien c’est le jour de votre séance de sport. Mais vous avez encore des e-mails à traiter, un dossier à boucler et puis… les collègues qui vont remarquer votre départ jugé hâtif. Pire, vous risquez, en franchissant la porte, l’apostrophe qui énerve : « Tu as pris ton après-midi ? Sophie Péters Éduquez votre hiérarchie. Expliquez vos raisons en toute transparence. Appuyez-vous sur le collectif. Sondez vos collègues et étudiez une organisation qui permettrait à chacun de mieux équilibrer ses temps de vie. A lire aussi Attention au présentéisme Le surinvestissement professionnel est une forme de souffrance au travail, taboue en France. Éliminez les projections imaginaires. Comment connaîtrait-il vos besoins si vous ne les exprimez pas ? Sinon, vous risquez d’en vouloir à votre hiérarchie, sans qu’elle réalise que vous entrez en résistance et que vous vous démotivez.

La motivation au travail La motivation au travail « fait référence aux énergies investies pour initier et réguler les comportements liés à un emploi et qui déterminent la forme, la direction, l’intensité et la durée de ces dits comportements » selon Jacques Forest et Geneviève A. Mageau, chercheurs en psychologie à l’université du Québec à Montréal (2008). En effet, la motivation au travail varie en forme et en intensité, ce qui la rend multidimensionnelle. Les différentes formes de la motivation La théorie de l’autodétermination (TAD) contribue à comprendre plus finement la motivation au travail à travers deux grands types de motivation : la motivation autonome et la motivation contrôlée. La motivation autonome Cette forme de motivation est dite autonome car elle s’auto-entretient, elle est donc peu coûteuse en énergie, contrairement à la motivation contrôlée. La forme de motivation la plus autodéterminée est la motivation intrinsèque. La motivation contrôlée

Travailler en mode collaboratif : 200 fiches pratiques et méthodologiques MultiBaO est une nouvelle multi-boite à outils consacrée à l’organisation en collectif et à la gestion de projets. Ses initiateurs, un collectif non formel composé de membres de plusieurs associations et universités propose – sous licences Creative Commons – des ressources pour les animateurs de réseaux/groupes sous la forme de fiches outils et méthodes. Chacun est invité à contribuer à l’amélioration et à l’écriture de nouvelles fiches. Des fiches pour participer et collaborer 200 fiches autour des démarches participatives et collaboratives sont déjà téléchargeables via un dossier Dropbox : Accélérateur de projet, atelier de créativité, cartographie participative, veille collaborative… L’ensemble des thèmes et des ateliers est exhaustif. Les contributions sont également disponibles sur le site MultiBaO au fur et à mesure des publications par le collectif ou les contributeurs extérieurs. Fiches synthétiques sur la collaboration En une phraseA quoi ça sert ? Pour en savoir plus

Climat, stress et qualité de vie au travail – Baromètre Cegos 2014 Cette année, Cegos publie la 16ème édition du baromètre « Climat, stress et qualité de vie au travail ». 700 salariés, 290 managers et 145 DRH-Responsables des RH d’entreprises privées, en France, ont été interrogés cours des mois de septembre et octobre 2014. Les points clés de l’édition 2014 Le climat social se dégrade, les salariés et les managers sont de moins en moins motivés et pourtant ils restent impliqués. les risques psycho-sociaux, et particulièrement le stress, sont à des niveaux records. Découvrez le baromètre sous toutes ses formes Présentation : les résultats complets du baromètre Téléchargez le baromètre sur le climat, le stress et la qualité de vie au travail (.pdf) Infographie : l’essentiel en un coup d’œil Téléchargez l'infographie (.pdf)

Communication Non Violente : les fondamentaux | BLOCULUS La situation ci-dessus vous semble familière ? Vous êtes-vous déjà surpris à fuir une discussion par crainte de vous emporter ? Vous arrachez-vous les cheveux en ce moment même pour trouver le moyen d’exprimer à quelqu’un ce que vous ressentez sans exploser ? C’est au travers de la lecture de « Cessez d’être gentil, soyez vrai » de Thomas D’Ansembourg que j’ai découvert la Communication Non Violente. Voici donc, du bout de mes feutres, une présentation qui me tient à cœur de ce processus de communication. Voici trois méthodes pour réussir à échouer dans sa communication, notamment lorsqu’une conversation devient difficile. Attaquer Première méthode : laisser son caractère sanguin et impulsif prendre le dessus et passer à l’attaque. Fuir Face à cette violence, la 2ème méthode très répandue consiste alors à fuir l’opposition. « Oulà, fais comme tu veux ! Encaisser Le temps fait donc son office, mais plutôt que d’estomper le ressentiment, il le sublime. Résultat Sortir du tout noir ou tout blanc

Un salarié qui se sent apprécié est plus motivé Les neuf erreurs qui poussent les employés compétents à démissionner | Dr. Travis Bradberry On entend bien souvent les managers se plaindre de voir leurs meilleurs employés partir, et ils ont de quoi être mécontents au vu du coût et des conséquences de ces départs pour l'entreprise. Généralement, les mêmes managers trouvent mille et une raisons à cela et passent complètement à côté du problème: les employés ne s'en vont pas à cause du poste ou de l'entreprise, mais de leurs supérieurs! Il suffirait pourtant que ces derniers fassent quelques efforts supplémentaires et changent de point de vue. Pour cela, il est indispensable de savoir quelles sont les neuf pires pratiques managériales qui poussent les salariés à partir. 1. Rien de tel pour épuiser son personnel que de le surcharger de travail. Si vous comptez augmenter la charge de travail de vos salariés les plus capables, vous devez également leur donner quelques contreparties. 2. On sous-estime souvent l'importance d'un petit compliment, surtout pour les employés les plus compétents, qui sont souvent les plus motivés. 3. 4. 5.

Les risques psychosociaux au travail On parle de souffrance relationnelle au travail lorsqu’une personne ou un groupe de personnes ressent un mal-être à cause des relations qu'elle vit sur son lieu de travail. Il s'agit par exemple de situations de conflits graves ou d'abus. On parlera plus précisément : de violence lorsqu’une personne est menacée ou agressée physiquement ou psychiquementde harcèlement moral lors de conduites abusives et répétées dirigées à l’encontre d’une ou plusieurs personnesde harcèlement sexuel lorsqu’on observe un comportement à connotation sexuelle non désiré. Tous ces comportements ont de graves conséquences sur l’équilibre psychologique du travailleur. Les impacts négatifs du harcèlement se font également sentir sur l’entourage professionnel et créent un mauvais climat de travail, diminuant la qualité du travail. Pour plus d’informations : www.respectautravail.be

Mettre en place le #télétravail, suivez le guide! - I love SIRH Un guide méthodologique à télécharger pour mettre en place le télétravail Ce guide méthodologique produit par le réseau ANACT ARACT (Agence Nationale et Associations Régionales pour l’Amélioration des Conditions de Travail), en octobre 2016, permet aux entreprises : de découvrir ce qu'il faut savoir sur le télétravail, et, comment mettre en place en celui-ci. Quelques faits On y apprend notamment les faits suivants : 60 à 70 % des salariés sont intéressés par le télétravail. Des conseils pour la conduite du projet Retrouvez notamment dans ce guide : Les différentes formes et approches du télétravail.

Travail: Qu'est-ce qui nous fait nous lever le matin? Certes il faut payer le loyer et remplir le réfrigérateur. Mais au-delà de ça, qu’est ce qui anime chaque matin les 2/3 des salariés français déclarant êtes motivés par l’idée d’aller travailler dans leur entreprise? Pour le découvrir, Les Echos ont demandé au site de recrutement Meteojob et au cabinet de conseil en ressources humaines Alixio de passer au crible les attentes des cadres et non cadres en dehors de la rémunération et des conditions de travail.* Intérêt et lien social Sans surprise, le contenu de la mission ou du poste arrive largement en tête, avec une large avance pour les cadres (cité par plus de 50% des cadres). Les deux catégories se rejoignent sur l’importance d’acquérir de nouvelles compétences (environ 20%). Un engagement au jour le jour Principale surprise de l’enquête: la faible importance accordée par les salariés français à la notoriété (environ 5%), au projet de l’entreprise ou encore à son engagement sociétal qui ne séduit que 4% des sondés.

L’intelligence émotionnelle existe-t-elle? Au-delà de ce titre volontairement racoleur et faussement polémique, il y a deux aspects de l’intelligence émotionnelle qui me posent problème. Le premier, son appellation, peut paraître anecdotique, mais a un impact parfois trompeur. Le second, plus dérangeant à mes yeux, c’est l’absence de traitement des origines de l’émotion, au profit du traitement de ses conséquences, qui me paraît intellectuellement insatisfaisant d’une part et psychologiquement insuffisant d’autre part. Nous vivons une époque formidable dans laquelle le ripolinage linguistique permet de redonner de jolies couleurs à tout un tas de choses sans avoir à en modifier le contenu. Dans la course au toujours mieux, toujours plus fort, toujours plus over-bien, tout est en train de devenir du domaine de l’intelligence… Intelligence économique, intelligence collective, intelligence sociale, interpersonnelle et donc, logiquement, intelligence émotionnelle. S’imaginer qu’on peut contrôler ses émotions est donc une illusion.

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