[ Reportage ] Les Villes du Futur – épisodes 1 à 3 Beaucoup rêvent aujourd’hui de retourner vivre à la campagne, loin du bruit et de la pollution des centres urbains. La réalité, c’est que le nombre de citadins ne cesse de croître dans le monde. Il y a même, depuis peu, plus de citadins que de personnes qui vivent en dehors des villes. La crise écologique menaçant, faut-il rendre les villes intelligentes ? 50% de l’humanité vit désormais en ville. La ville du futur est-elle une solution d’avenir ? Épisode 2 Épisode 3 Les trois reportages sont longs. Sources : Arte / YouTube Lorsque le bio devient de moins en moins bio De nombreux articles ont, ces dernières années, remis en cause les modes de cultures des produits bio (serres). Ainsi que les transports à forte empreinte écologique depuis l’autre bout du monde jusque dans nos cuisines. Sans parler de la qualité des semences elles-mêmes. L’enjeu est de taille aussi sur le plan économique puisque le secteur bio représente dans l’Hexagone un marché de 5 milliards d’euros en 2014. En hausse de 10 % sur un an. Les semences et marques bio seront-elles bientôt toutes contrôlées par les multinationales? Dans son essai Les tambours de Gaïa se sont réveillés, paru en novembre 2013, Dominique Guillet, fondateur de l’association Kokopelli a lancé un pavé dans la mare. « En Europe et en Amérique du Nord, la plus grande partie des distributeurs d’aliments « biologiques » ont été rachetés par les grands cartels de l’agroalimentaire : Nestlé, Cargill, Coca-Cola, etc. Des marques bio aux mains des plus grands Sans parler de la Quinzaine du commerce équitable.
La Graine Indocile: Les Salauds de l'Agriculture EN mars 2014, l'AFP (Agence France-Presse), organe de presse mondial diffusant l'information "sous une forme neutre et fiable", se fendait d'un bel article sur le dernier Salon de l'Agriculture qui présentait les dernières innovations de l'INRA (Institut National de la Recherche Agronomique). On y apprenait que, désormais, un agriculteur ne peut plus exercer son travail sans être connecté à Internet pour "twitter" avec ses confrères ou bien pour signaler la présence d'un ravageur sur ses terres, via son indispensable smartphone. D'ailleurs, les "nouvelles technologies" en général lui sont indéniablement nécessaires et demain, des robots scanneurs de mauvaises herbes et cracheurs d'herbicide arpenteront ses champs à sa place. Ça sonne comme une blague, mais non. Et le clou de l'histoire, le pompon sur le gâteau, c'est que tous ces beaux projets sont la réponse des grands chercheurs au dilemme posé par... nous ! Comment ? Au nom de tout le vivant, merci l'INRA. Restons indociles.
L'agroforesterie : comment ça marche? L’agroforesterie est l’association d’arbres et de cultures ou d’animaux sur une même parcelle. Plusieurs systèmes existent : formes bocagères, prés-vergers, prés-bois, alignements de peupliers ou encore plantations de noyers associées à l'élevage ou d’autres essences associées aux cultures. Cette pratique ancestrale est aujourd’hui mise en avant car elle permet une meilleure utilisation des ressources, une plus grande diversité biologique et la création d’un micro-climat favorable à l’augmentation des rendements. En principe, l’arbre, par son système racinaire, crée des conditions dans les couches profondes du sol qui favorisent l’alimentation en eau et en minéraux des cultures de surface. Les techniques agroforestières permettent de disposer les arbres afin que ceux-ci favorisent au maximum les cultures et rentrent le moins possible en compétition avec elles. Consulter la fiche 1) Les aides au titre du premier pilier La conditionnalité des aides En savoir plus Le paiement vert
faune du sol La faune du sol Photo M. Fouchard, INRA Page réalisée par Aline Deprince, stagiaire à la ME&S d'avril à août 2003. Le sol, c'est quoi ? Liens En ligne ici Le sol, c'est quoi ? Le sol est la partie superficielle de la croûte terrestre. Introduction à la faune du sol Un mètre carré de sol de prairie abrite en moyenne 260 millions d'animaux, soit une biomasse d'environ 150 g. On classe les animaux du sol, ou pédofaune, en quatre catégories, selon leur taille. Les organismes inférieurs à 0,2 mm constituent la microfaune : des centaines de millions de Protozoaires et de Nématodes par mètre carré, ainsi que quelques espèces de Rotifères et des Tardigrades . La mésofaune, entre 0,2 et 4 mm, rassemble les microarthropodes : Acariens et Collemboles grouillent dans le sol, à raison de plusieurs milliers par mètre carré. La macrofaune est composée des animaux entre 4 et 80 mm. Les Nématodes Photo C. Pour lutter contre ces minuscules mais redoutables parasites, on utilise de (trop ?) Les Acariens Liens
[ Reportage ] Les secrets inavouables de nos smartphones | Mr Mondialisation [ Reportage ] Les secrets inavouables de nos smartphones Zoom sur le marché des téléphones portables. Pendant un an, l’équipe de Cash Investigation a enquêté sur les conditions de fabrication de cet appareil du quotidien, produit de très grande consommation puisqu’un Français consulte en moyenne 150 fois par jour son portable. 1,8 milliard d’exemplaires sont vendus à travers le monde chaque année. En Chine, un journaliste a filmé en caméra cachée les conditions de travail des salariés d’un des plus gros sous-traitants de l’industrie du mobile, pour la plupart des enfants. Lire l’article sur lexpress.fr
Hackez votre supermarché : Voici 11 fruits et légumes que vous ne devriez acheter qu'une seule fois dans votre vie, si vous connaissez ces astuces ! Si vous pensez que faire pousser vos propres légumes, c’est compliqué et que ça demande d’avoir un jardin, voici quelques trucs et astuces qui pourraient bien changer votre perception des choses. Et peu importe que vous vivez en ville, dans un petit T2 sans balcon, ou que vous ayez une ferme avec 120 hectares de terres : n’importe qui peut le faire chez soi et très facilement ! Faire pousser de la salade, des carottes, même un ananas (!), ce n’est pas aussi compliqué que vous ne le pensez : il suffit de manger vos légumes comme vous le faites d’habitude, d'utiliser les restes pour les recycler… pour en faire pousser d’autres ! Du coup, plus besoin d’acheter une nouvelle fois ces aliments, ni même de vous en occuper constamment. @Via Upsocl Pas besoin d’être un pro du jardinage, il faut juste suivre ces quelques étapes et prendre en compte certains facteurs pour que ça marche. 1. @via upsocl Après avoir acheté un ananas, en général, on retire la peau et les feuilles, puis on le mange. 2.
La mycorhize au secours du phosphore Dans cette vidéo, le professeur et chercheur québécois Dr. Mohamed Hijri nous présente 2 enjeux majeurs pour l’avenir du phosphore : d’une part, le phosphore est très mal assimilé par les plantes (souvent indisponible dans le sol) et une grande partie utilisée en agriculture est inutilisée. Il n’est pas rare que 85 % du phosphore épandu dans les champs soit perdu, seulement 15% parvenant à être assimilé par les plantes. Cela crée des problèmes de pollution (polluant les sols puis l’eau), un coût direct (on a besoin de plus de phosphore dont les cours fluctuent) et un coût indirect engendré par la pollution.d’autre part, nous arrivons à un « pic du phosphore » : tout comme le pétrole, cette ressource fossile s’épuise, et nous devons craindre une pénurie dès 2030 alors que la production alimentaire (et les besoins en phosphore avec) doit augmenter pour nourrir une population mondiale toujours plus nombreuse. Le phosphore est un constituant principal de l’ADN.[..]
Le site de PREVER change de look - Prever mardi 19 septembre 2017 popularité : 28% « prever.fr remplace preverasso.fr » Le site internet de notre association a été ouvert en avril 2011 et il n’a jamais cessé de fonctionner jusqu’en mai 2016, à raison d’une dizaine de publications par an. Au travers de cette activité, nous avons acquis la conviction que ce média était important pour communiquer envers le grand public. Nos thèmes de prédilection ont été la défense du milieu rural et les initiatives qui valorisent l’espace rural du Pays de Brest. Voilà un peu plus d’un an que notre site internet est au repos. Nous redémarrons notre communication par le site internet de PREVER qui a changé de nom dans cette aventure.