Stockage d'information Le stockage d'information est aujourd'hui assuré par un support d'information électronique, ou électromagnétique, qui, vu de l'utilisateur, peut être physique (disque dur, clé USB, etc.) ou virtuel (Internet dénommé le « nuage » (en anglais cloud voire en franglais « le cloud »)), mais qui en l'état de la technologie est enregistré sur un support physique (SSD, disque dur, CD/DVD, bande magnétique, etc.). Ainsi, le terme de « dématérialisation » employé pour désigner le passage d'un support d'information papier à un support électronique est peu approprié, puisque ce dernier est lui aussi lié à du matériel. Le choix de la méthode de stockage se fait selon plusieurs critères : la fréquence d'utilisation ;les besoins capacitaires de l'information (taille) ;la criticité de l'information (coût, sécurité) ;La capacité de stockage et la vitesse d’accès à l'information. Classification des technologies de stockage[modifier | modifier le code] Positionnement des différents types de stockage.
Des chercheurs ont créé un support de stockage… éternel Accueil GilbertKALLENBORN Journaliste Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter Actualités Une technologie de gravure au laser permet de stocker des informations dans du cristal de quartz pendant des milliards d’années. Disquette, bande magnétique, CD, DVD, disque dur, disque SSD… Les technologies de stockage informatique évoluent sans cesse sans pour autant résoudre un problème crucial : leur pérennité. De plus en plus de chercheurs explorent désormais un nouveau support de stockage : le cristal de quartz. Trois bits par cavité Dans une expérience réalisée en 2013, les chercheurs ont défini quatre types de polarisation (2 bits) et deux niveaux de retards de phase (1 bit). Les chercheurs ont maintenant fait un pas de plus vers une solution exploitable. Cette technologie de stockage permettrait d’encoder 360 To de données sur un disque de quartz de la taille d’une pièce de monnaie. Gilbert KALLENBORN à suivre sur LES BONS PLANS 01net.com PROMO | -90% sur de nombreux produits en vente éclair
Quel support choisir pour du stockage à long terme Il existe de multiples supports pour stocker vos données : du stockage optique avec les CD et les DVD aux cartouches magnétiques en passant par les disques durs ou le Cloud. Découvrez les différentes solutions pour stocker vos données de manière fiable et durable. Stocker sur CD et DVD Probablement les supports les plus populaires il y a encore quelques années en raison de leur coût réduit, les appareils de stockage optique ont aujourd’hui du mal à faire face à la concurrence des disques durs et des SSD. Stocker sur disque dur et SSD Avec un prix ayant considérablement baissé ces dernières années grâce notamment aux progrès de la technologie, les disques durs et SSD se sont largement démocratisés. Stocker sur clé USB ou carte SD La mémoire flash fait dorénavant partie de notre quotidien, que ce soit pour stocker les photos sur carte mémoire ou échanger des documents sur clés USB. Stocker sur cartouche magnétique
Quel support pour le stockage du futur ? Il y a une dizaine d'années, l'Unesco estimait déjà la production annuelle de l'humanité à 1,5 millions de GB... Et aujourd'hui, les besoins moyens en stockage d'un foyer s'échelonnent entre 100 GB et 1 TB et ils continuent d'augmenter. Au-delà du problème de la limite de la capacité, c'est surtout "qu'aucun support actuellement commercialisé ne peut garantir une bonne conservation bien au-delà de cinq ou dix ans" affirme le groupe Pérennité des Supports Numériques au site Clubic. Ainsi, les supports numériques inscriptibles tels que le CD ou le DVD ont des durées de vie qui varient entre moins d'un an et dix ans. De leur côté, les disques durs connaissent leur première panne environ trois à cinq ans après le début de leur utilisation. De plus, ces petits outils ont besoin d'attention et surtout de soin. Du coup, la mémoire flash est de plus en plus utilisée. Smartphones, tablettes, consoles de jeu, ordinateurs, tous les terminaux lancés par les entreprises se connectent à Internet.
ADN synthétique : l'avenir du stockage de données ? Dans le cadre de l’ACM International Conference on Architectural Support for Programming Languages and Operating Systems, des chercheurs de l’Université de Washington sont parvenus à stocker l’équivalent du contenu de 600 smartphones dans une goutte d’ADN synthétique. Par ailleurs, Microsoft vient d’acheter 10 millions de brins de cette molécule artificielle auprès de Twist. Face à l’augmentation exponentielle du volume global de données, ce support de stockage compact et durable représente peut-être l’avenir du stockage. En 1956, il y a tout juste 60 ans, IBM présentait le tout premier disque dur. Cet imposant dispositif offrait une capacité de stockage de 5 Mo, soit à peu près la taille d’un fichier MP3. Aujourd’hui, il est possible d’entreposer toute l’histoire de l’humanité sur une simple puce de silicone. À l’heure actuelle, la majorité des entreprises et des consommateurs stockent leurs données sur le Cloud, grâce aux serveurs des Data Centers. La nature est bien faite
Définition | Ordinateur quantique - Calculateur quantique - Simulateur quantique | Futura Sciences Un ordinateurordinateur quantique est l'équivalent des ordinateurs classiques mais qui effectuerait ses calculs en utilisant directement les lois de la physique quantiquephysique quantique et, à la base, celle dite de superposition des états quantiques. Alors qu'un ordinateur classique manipule des bits d'information, qui sont soit des 0 soit des 1, un ordinateur quantique utilise des qubitsqubits. Ceux-ci sont des généralisations des bits classiques, qui sont en quelque sorte une superposition simultanée de ces deux états, comme peut l'être, par exemple, un état de spinspin pour un photonphoton ou un électronélectron. Dans certains cas, un ordinateur quantique peut faire des calculs beaucoup plus rapidement qu'un ordinateur classique. L’origine des ordinateurs quantiques Ordinateurs et calculateurs quantiques ne sont pas la même chose Un ordinateur quantique, comme tout ordinateur, est censé pouvoir être programmable pour exécuter n'importe quel algorithme quantique.
Recherche sur le stockage : demain, nos données conservées pour l'éternité ? Stocker toujours plus d'informations : ce défi est une des clés de l'informatique. Or, des chercheurs du Laboratoire de photonique et de nanostructures (LPN, CNRS) et de l'université de Cambridge viennent d'inventer une méthode qui ouvre des possibilités de stockage cent fois supérieures à celles actuelles. Leur secret ? Abandonner la classique approche des grains magnétiques et la remplacer par des couches de structures cristallines modifiées. Le stockage magnétique à ultra-haute densité s'obtient actuellement en utilisant une couche continue des grains ferromagnétiques dont l'état magnétique sert de support à l'information stockée. Une solution est de graver une couche magnétique pour former des « cases » isolées. Jusque-là, rien que de très classique. Le substrat ainsi préparé présente une structure polycristalline partout où se trouve le nickel de la première couche (celle d'un nanomètre d'épaisseur) et une structure cristalline partout ailleurs.
Microsoft : une machine qui transforme les bits informatiques en ADN L'ADN permet de stocker d'immenses quantités de données dans un très faible volume et sur des millions d'années. Mais de nombreuses étapes de la fabrication d'ADN demeurent encore manuelles, et c'est un puissant frein à son développement commercial. Des ingénieurs de Microsoft ont bricolé un « traducteur » automatique qui convertit les bits numériques en lettres ADN, avec à peine 10.000 dollars de matériel. Cela vous intéressera aussi Alors que le volume de données produit dans le monde pourrait atteindre 175 zettaoctets en 2025 selon IDC (International Data Corporation), les datacenters engloutissent une énergie de plus en plus colossale. Depuis plusieurs années, les scientifiques essayent donc de trouver une solution alternative pour archiver cette montagne d’informations. Il en existe une disponible de façon universelle sur notre Planète : l'ADN. Vers l'automatisation du processus ? Un convertisseur qui a coûté moins de 10.000 dollars De l’informatique solide à l’informatique liquide
Le stockage de données du futur sera probablement sur des aimants moléculaires Pour stocker plus de données, plus rapidement, plus durablement, et avec moins d’énergie, les chercheurs se tournent vers l’aimant moléculaire ! Stocker les données à l’échelle nanométrique, un niveau de la molécule, les chercheurs y travaillent, mais ils se heurtent à la fois à la complexité et à l’instabilité du système moléculaire. Un problème récurant lorsque l’on abaisse l’échelle jusqu’à la molécule, nous l’avons déjà évoqué avec les problèmes rencontrés par l’informatique quantique. Lire « L’ordinateur quantique ne peut pas fonctionner… ». Pour stocker des données, la technique éprouvée consiste à modifier l’état magnétique de la matière. Ainsi chaque particule à la surface d’un disque dur est soit neutre, ce qui équivaut à ‘0’, soit chargée électriquement, ce qui équivaut à un ‘1’. La barrière de la température Si la technologie est identifiée, le passage en production s’annonce difficile. Quant à fixer une date pour accéder à cette technologie, il est trop tôt pour l'évoquer !
Stockage de données en poudre : l'invention qui va remplacer les clés USB Le stockage de données en poudre, voilà une idée qui pourrait sembler totalement surréaliste. Et pourtant, les chercheurs de l’Université de Gand, Belgique, sont parvenus à développer cette technologie. Une innovation qui pourrait bien remplacer les clés USB et les disques durs dans un futur pas si lointain… Dans la nature, le stockage de données est omniprésent. Grâce à leur invention, il est possible de stocker une information légère telle qu’un code QR ou un texte court sous forme de poudre. Un second programme permet d’automatiser le processus de traduction du code QR aux molécules, et vice versa. Pour le moment, cette technique permet uniquement de stocker d’infimes quantités de données. S’ils y parviennent, cette invention pourrait bien révolutionner le stockage de données. En effet, contrairement aux supports de stockage traditionnels, la poudre ne nécessite par l’utilisation massive de métaux lourds.
Le plastique, nouveau support de stockage Des chercheurs français sont parvenus à sauvegarder des données électroniques sur un polymère de plastique. Une grande prouesse quatre ans après qu'une équipe britannique ait fait la même chose sur un brin d'ADN. En 2011, des scientifiques britanniques avaient émerveillé le monde entier en gravant le célèbre discours de Martin Luther King « I have a dream » sur un brin d'ADN artificiel, sous la forme d'un fichier MP3. Une équipe de chercheurs issus de l'Institut de chimie radicalaire de l'Université Aix-Marseille et du Centre national de recherche scientifique de l'Institut Charles Sadron de Strasbourg vient de réaliser une expérience similaire, mais sur un polymère de plastique. Comment ça marche ? Les matériaux polymères sont des briques qui forment des séquences lorsqu'elles s'unissent. Certes, les scientifiques français se sont beaucoup inspirés de leurs confrères britanniques. Photo: © Pixabay
Le support de stockage du futur sera un disque en verre On nous a fait la blague avec les CDs alors tout ce que je vais vous raconter dans cet article est bien sûr à prendre avec des pincettes. Toutefois, des chercheurs (et surement des chercheuses aussi) de l’Université de Southampton ont mis au point un nouveau genre de disque. Celui-ci se compose d’un verre nano-structuré permettant de stocker de la donnée en la gravant avec un laser grâce à une technologie baptisée 5D (ce qui signifie 5 dimensions… Ne m’en demandez pas plus). Sauf que chacun de ces disques peut contenir jusqu’à 360 TB, résister à des températures allant jusqu’à 1 000 °C et conserver notre précieux savoir (en gros vos backups de ROMs et autres photos d’humains dénudés) durant 13,8 milliards d’années. La promesse est de taille, toutefois, ce disque devra être conservé à température ambiante. Voilà pour résumer… Affaire à suivre… Source
Un Rubik's Cube en hydrogel pour stocker des données physiquement ? Une équipe de chimistes américains et chinois a publié une étude plutôt intrigante : ils ont construit un cube constitué de petits blocs d’hydrogel coloré, dont l’apparence rappelle immanquablement le célèbre Rubik’s Cube. Mais l’idée va bien plus loin que le simple fait de créer un puzzle mou et gluant : cet objet pour le moins curieux pourrait bien inspirer un nouveau modèle de stockage physique de l’information. A terme, il pourrait permettre à des patients de contrôler des données comme leurs constantes vitales. L’équipe a conçu ce drôle de jouet dans le cadre d’un projet visant à encoder physiquement de l’information. Jonathan Sessler, chimiste à l’Université du Texas, fait l’analogie avec les codes QR pour expliquer son concept : « Imaginez les codes QR. Le concept du Rubik’s Cube serait-il donc le support de stockage du futur ? Même s’il ne s’agit que d’un début de concept, l’équipe espère qu’à terme, elle pourra améliorer et miniaturiser de tels objets.
Microsoft embarque les 75,6 Go de Superman sur un disque de verre futuriste Microsoft travaille sur un nouveau support de stockage à l’épreuve du temps : Silica Task. Pour en faire la démonstration, la firme s’est associée à Warner Bros pour stocker les données du film Superman de 1978 sur une plaque de verre de 7,5 cm de côté et de 2 mm d’épaisseur. Sa capacité devrait croitre rapidement pour répondre aux besoins grandissants de stockage à froid. Microsoft doit présenter un nouveau support de stockage prometteur à l’Ignite 2019 qui se déroule actuellement en Floride. Pour en faire la démonstration, la firme a travaillé en association avec Warner Bros pour y stocker le film Superman de 1978. Le projet « Silica » a débuté en 2016 avec la collaboration de l’Université de Southampton spécialisé en opto-électronique, un domaine d’étude à la croisée entre l’électronique et la photonique. Le procédé de « gravure » retenu est comparable à celui qu’on utilise en chirurgie oculaire pour bruler des formes géométriques appelées voxel. Source : Techballad