i-KM Management des connaissances Le knowledge manager au carrefour des compétences techniques, métiers et de veille - Le Knowledge Manager au service de la connaissance - Journal du Net Solutions Responsable de l'ingénierie des connaissances, knowledge worker, gestionnaire des connaissances, knowledge manager,... Pléthore de dénominations existent pour qualifer le rôle de la personne chargée de la gestion des savoirs dans l'entreprise. Pourtant, tous aspirent à un seul et unique objectif, à savoir trouver le moyen de valoriser le potentiel de connaissances disponibles dans l'organisation pour la mettre au service de chacun. Et contribuer par ce biais non seulement à l'efficacité individuelle des collaborateurs mais à celle, collective, de l'entreprise toute entière. Les stratégies mises en place pour y parvenir varieront cependant en fonction des profils de knowledge manager existants. "Le rôle des managers de communautés s'inscrit dans la gestion opérationnelle de la démarche KM" (Laure Gitton - Directeur KM chez Logica Management Consulting)
Lafarge coule les fondations de son réseau social d'entreprise Le géant industriel a implémenté une plate-forme collaborative basée sur Knowledge Plaza pour développer le partage de connaissances et des bonnes pratiques. Retour d'expérience exclusif. Le cimentier français Lafarge, leader mondial dans le domaine des matériaux de construction avec un chiffre d'affaires de 16,2 milliards d'euros en 2010, compte parmi ses métiers celui du béton et granulats. Afin de favoriser les échanges et le partage des bonnes pratiques métiers entre les 11 000 collaborateurs travaillant pour cette activité, Lafarge s'est équipé en 2005 du serveur Lotus Domino. Connecté à l'intranet, la solution d'IBM a rendu de bons services mais a fini par montrer ses limites. "Nous avons ressenti le besoin de changer d'outil pour améliorer la fluidité des échanges, réduire le temps de partage d'informations au niveau mondial qui pouvait atteindre jusqu'à 1 semaine et apporter de nouvelles fonctionnalités", explique Jean-Luc Abelin, Knowledge Manager de Lafarge.
Les outils du KM à l'heure du Web 2.0 Des widgets sémantiques aux tags, en passant par les flux RSS et les blogs / wikis, la gestion des connaissances se découvre une seconde jeunesse. L'intégration au SI reste toutefois une priorité. Peut-on être à la fois populaire et mal-aimé ? Très certainement, surtout si l'on est un outil de Knowledge Management, à en croire les résultats publiés dans l'enquête Management tools and trends 2007 menée par le cabinet Bain & Company. Alors que le taux de pénétration des outils KM dans les entreprises avoisine les 70%, on découvre une paradoxale insatisfaction de la part des utilisateurs qui les placent loin derrière ceux de la gestion de la relation client (CRM) et de la gestion de la chaîne logistique (SCM), mais aussi - tout de même - devant les blogs "corporate". Pourtant, l'arrivée des technologies et fonctionnalités Web 2.0 pourrait bien jouer le rôle de nouveau chevalier blanc, et du coup revigorer le moral d'utilisateurs en proie à de profondes désillusions.
Essentials of knowledge management - Bryan P. Bergeron Knowledge manager Responsable ingénierie des connaissances, Responsable knowledge management, Knowledge worker, Knowledge manager, Gestionnaire des connaissances Le knowledge manager facilite l’accès à l’information et aux connaissances créées par l'entreprise : il rationalise la production, la diffusion et l’archivage des documents internes et favorise la création, la capitalisation et le partage des savoirs et savoir-faire des salariés. Pour ce faire, il utilise des méthodes et des outils de gestion de contenu et de travail collaboratif. Sa mission stratégique et transversale l'amène à travailler avec tout le personnel de l'entreprise.
Métier Knowledge Manager : Introduction "On ne devient pas knowledge manager sans expérience", affirme Jean-françois Ballay. D'après cet expert en gestion des connaissances (KM) chez EDF-GDF (lire son interview), le knowledge manager est un homme de terrain, qui a fait ses preuves dans son domaine d'activité et qui est reconnu par ses pairs. En effet, le chemin pour devenir knowledge manager n'est pas immédiat. Ce sont les problématiques de l'entreprise qui amènent un professionnel à cette fonction. L'entreprise propose des missions relevant du KM à des cadres expérimentés. Ce métier est donc avant tout une approche, une vision centrée sur l'homme et ses compétences. Ainsi quelle que soit la voie qu'on aura choisie (RH, ingénieur, informaticien, etc.), l'essentiel ce sont les qualités de communication et d'empathie avec son réseau relationnel. Du coup, une formation en KM est-elle vraiment nécessaire ?
Knowledge management Tom Sensky + Author Affiliations This is the third in a series of papers on health informatics. Knowledge management sounds superficially like yet another of those topical expressions describing something that has been developed outside medicine and is possibly ill-suited for application within the field, but offering an excuse for yet more change. fast, reliable and accurate information about patients in their care; access to knowledge to inform clinical practice; access to information to underpin evaluation of clinical practice, planning and research, clinical governance and continuing professional development. All of these include an important element of knowledge management. Data, information and knowledge Knowledge is built up from data and information as well as prior knowledge. Data have no meaning or significance in themselves. The relationships between data, information and knowledge are summarised in Fig. 1⇓. Knowledge management The nature of knowledge Box 1 Evaluate the outcome
A1. KNOWLEDE MANAGEMENT MIND MAP [Federal Knowledge Management Working Group (KMWG)] The term Knowledge Management is multi-dimensional in that it consists in the physical realm of technology, the inter-personal realm with people, and the administrative realm of process and procedures. To understand what could make a viable Knowledge Management System, one must realize that a complete system is defined by the whole of interacting, interrelated and interdependent elements or sub systems. The following chart takes a high-level look into a Knowledge Management System and its relationships to ideas, principles, and interconnected elements. Charles P. Note: If you wish to comment on this Mind Map, please click the Discussion tab above and submit your comment. + Download a high-resolution version of the KM Mind Map
Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (1/5) : un réseau d’humains et de machines enchevêtrées Par Hubert Guillaud le 09/02/10 | 12 commentaires | 18,511 lectures | Impression “Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ?”, telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. Difficile d’en faire une synthèse, tant les contributions sont multiples et variées et souvent passionnantes. Que les répondants soient fans ou critiques de la révolution des technologies de l’information, en tout cas, il est clair qu’internet ne laisse personne indifférent. “Une nouvelle invention a émergé, un code pour la conscience collective qui nécessite une nouvelle façon de penser”, explique John Brockman, l’éditeur de The Edge. L’internet change la façon dont nous décidons Pour le physicien Daniel Hillis, le réel impact de l’internet a été de changer la façon dont nous prenons des décisions. Pour Marissa Mayer de Google, “l’internet n’a pas changé ce que l’on sait, mais ce que l’on peut trouver”.
«DSIN» (Digital and Social INteractions) Part 2 Why Neuroscience SHOULD Change the Way We Manage People Part 2 of this article is long overdue. Since I published Part 1 in April 2011 the article has consistently been in the blog's top 5. I'm grateful for the response and I've been inspired to write more about the fascinating, emergent world of neuroscience. While I am a very informal student of the science, what I’ve learned has reshaped the way I approach my work; in fact, everything I do. As I wrote in Part 1, given this dazzling new knowledge, I expect that slowly, but surely organizational leaders will come to realize that too many of the beliefs, philosophies, methods, practices and strategies that govern their thinking about human dynamics and work are still mired in the Industrial Era mindset. What we now know about human development and optimal whole body-brain functioning should not only change the way we manage people at work – but how we raise and teach our children, provide health care, conduct our legal system and structure government policies and institutions. Culture Rules