background preloader

Qu’est-ce qu’un “intranet social” ou un “intranet 2.0″

Qu’est-ce qu’un “intranet social” ou un “intranet 2.0″
Résumé : l’intranet 2.0 ou intranet social, tout le monde en parle tout en se demandant à quoi cela peut ressembler. Entre le mythe qui veut que demain l’intranet disparaisse au profit d’un réseau social et les titulaires habituels de la responsabilité de l’intranet qui sont mal à l’aise dès qu’on sort d’une logique purement descendante, les débats idéologiques et fonctionnels ont de beaux jours devant eux. L’intranet social n’est pas tant la prise du pouvoir du réseau social qu’une socialisation des grands piliers de l’intranet traditionnel : information, personnes, outils métiers. Beaucoup d’entreprises repensent (ou pensent à repenser) leur bon vieil intranet qui commence à accuser le poids des années et se demandent, notamment, comment y intégrer la fameuse “couche 2.0″ dans ce qui doit être un intranet social ou 2.0, selon la terminologie que choisira le porteur du projet. Voici donc quelques pensées mal dégrossies et un peu en vrac. La socialisation de l’information Le “non outil”

The connected company Many thanks to Thomas Vander Wal for the many conversations that inspired this post. The average life expectancy of a human being in the 21st century is about 67 years. Do you know what the average life expectancy for a company is? Surprisingly short, it turns out. I believe that many of these companies are collapsing under their own weight. The statistics back up this assumption. This “3/2 law” of employee productivity, along with the death rate for large companies, is pretty scary stuff. I believe we can. Historically, we have thought of companies as machines, and we have designed them like we design machines. 1. A car is a perfect example of machine design. And we tend to design companies the way we design machines: We need the company to perform a certain function, so we design and build it to perform that function. This kind of rebuilding goes by many names, including re-organization, reengineering, right-sizing, flattening and so on. he quotes complexity pioneer John Holland: 1.

Entreprise 2.0 : le ROI enfin calculé et validé ? La question du ROI pour l’entreprise 2.0 c’est toujours posée depuis le début de ce concept. Récemment au sein du livre blanc sur l’entreprise @bduperrin s’est collé à la tâche, et j’ai déjà plusieurs fois abordé ce thème sur ce blog, notamment ici. Le vrai problème, le collaboratif est composé de processus « mous », ce qui ne facilite pas la tâche. Ce débat j’ ai l’ai encore eu avec @arayrole la semaine dernière à propos de prochaines études à venir chez USEO. Un concept d’entreprise 2.0 doit-il forcément être capable de produire des metrics pour être crédible comme l’a fait Cisco : Cisco considère que le ROI de son investissement dans des solutions collaboratives est de 900% et que le collaboratif a conduit Cisco en 2008 à économiser 691 millions $ et accroître sa productivité de 4,9%. Cette étude a été conduite auprès de 3249 cadres dans le monde entier, tout secteurs confondus. Concrètement ces avantages ce mesurent sur les 3 dimensions de l’entreprise 2.0 dont je parlais ici :

En aparté - XEnvoyer cet article par e-mail A la Une également – La fin des préjugés Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Fermer Esprit start-up vs esprit grand groupe Agile, innovante, audacieuse, réactive… la start-up est devenue un véritable objet de fantasme pour les grandes entreprises qui, toutes, rêvent de reproduire ses spécificités dans l’espoir de gagner en créativité et en implication. Des salariés surmotivés qui enchaînent les nocturnes, une créativité débridée et une réactivité à toute épreuve, le tout dans un esprit de franche camaraderie… quelle entreprise n’en a pas rêvé ? Auteur de L’Openspace m’a tuer, Alexandre des Isnards casse le mythe. L’esprit start-up A commencer par ces ingrédients qui font l’esprit d’une start-up. Reste que, pour l’entreprise, les retombées sont indéniables : engagement sans faille des salariés, réactivité optimale, créativité sans limite et, au final, productivité décuplée. On l’aura compris.

Quelques sources sur le ROI de l’entreprise 2.0 En début d’année je parlais d’un phénomène de débisounoursisation (abandon de la vision “Bisounours”) et il semblerait que cette tendance se concrétise avec de nombreux débats atour du ROI. Le retour sur investissement de quoi ? Un peu de tout en fait : des médias sociaux, des sites d’achat groupés, des applications iPhone et iPad… mais le sujet qui nous intéresse plus particulièrement est celui du ROI des initiatives d’entreprise 2.0. Comme toujours, ce calcul est loin d’être simple dans la mesure où l’investissement n’est pas forcément quantifiable et où le retour ne se mesure que de façon subjective. Dans ces conditions, nous sommes en droit de nous interroger sur la pertinence d’un tel calcul… L’issue de ce problème insoluble semble être d’accepter que le ROI ne s’exprime pas à l’aide d’une valeur numérique fiable, mais plutôt d’indicateurs qualitatifs. L’argumentation de l’auteur de l’article repose sur trois leviers et propose une méthode de calcul du ROI pour chacun d’eux :

Retour sur le E2.0 summit de Francfort La semaine dernière je vous faisais partager ma présentation sur l’animation de communauté du E2.0 summit de Francfort. Aujourd’hui, je vais vous faire un retour des principales choses que j’ai pu retenir de ce Summit qui a été passionnant. Je ne suis pas certain que cette page soit totalement exhaustive et les principales ressources sont en anglais, mais vous trouverez ici (avec des mises à jours régulières) le travail de veille de Jim Worth sur ce thème qui est vraiment très complet. Si vous utilisez twitter cherchez le #e2.0s Une véritable étape sur le chemin de l’entreprise 2.0 Je crois que ce sommet a vraiment été important dans la construction d’une vision européenne de l’entreprise 2.0. Cette année, nous avons beaucoup plus de professionnels actifs dans la mise en place d’un projet concret au sein de leur organisation passant par l’implémentation d’outils participatifs, pour la communication et l’échange de connaissance. Une présence francophone qui compte Du management avant tout

The Death—and Reinvention—of Management: A draft synthesis I have prepared a synthesis of the thinking in a whole host of recent management books that propose the reinvention of management, including: Reinventing Management by Julian Birkinshaw, Reorganize for Resilience by Ranjay Gulati, The Power of Pull by John Hagel, John Seely Brown and Lang Davison, Delivering Happiness by Tony Hsieh, Peak by Chip Conley, Employees First, Customers Second by Vineet Nayar, Drive by Dan Pink, The Design of Business by Roger Martin, The Dragonfly Effect by Jennifer Aaker and Andy Smith, Empowered by Josh Bernoff and Ted Schadler, Open Leadership by Charlene Li, Enterprise 2.0 by Andrew McAfee, Succeeding with Agile by Mike Cohn, Buy-In and A Sense of Urgency by John Kotter, as well as my own book, The Leader’s Guide to Radical Management. While doing full justice to none of the books individually, the article draws out the common themes in all of the books so as to make this stream of thinking more accessible to a broader audience. 1. 2. 3. 4. 5.

Charte des médias sociaux, le cas Cisco Ce n’est pas la première fois que je parle de Cisco, mais généralement c’est plutôt pour aborder le côté travail collaboratif interne, point sur lequel ils sont particulièrement en avance. Mais sur la question des médias sociaux externes, ils sont aussi loin d’être en retard, au contraire, et dans ce cadre ils viennent de mettre à jour leur charte des médias sociaux à l’usage de leurs collaborateurs. Elle s’intitule Cisco Social Media Policy, Guidelines and FAQs . Voici les principaux points cette charte. Il est intéressant de voir que dès l’introduction Cisco encourage ses collaborateurs à utiliser les médias sociaux externes, considérant le partage, la conversation comme des choses très importantes. Il est important de voir que cette charte comporte une partie « règlement » obligatoire dans son application et une partie « recommandation » à suivre en fonction des situations. La partie obligatoire : La partie facultative ou conseils :

Comment l’entreprise 2.0 Dans le cadre de la conférence de Boston enterprise 2.0, le Sovos Group a publié un livre blanc intitulé « Accelerating business performance », sous la houlette de deux spécialistes de l’entreprise 2.0, Oliver Marks et Sameer Patel. Cette étude examine la valeur du travail collaboratif, ainsi que les concepts et les technologies associées à la réalisation des objectifs de l’entreprise. Il m’a semblé important de vous présenter les principales idées développées dans cette étude. Je ne vais pas reprendre tout le détail des différences entre l’entreprise 1.0 et l’entreprise 2.0 qui constitue la première partie du livre blanc, voici un tableau qui le résume assez bien. S’organiser de manière collaborative en interne L’un des défis auquel doit faire face l’entreprise 2.0 est l’amélioration des interactions entre les collaborateurs, les clients et les partenaires. Développer un véritable Social CRM Innovation et crowdsourcing Changer les relations avec les partenaires

Sun Tzu, l’art de la guerre, appliqué aux m Cet ouvrage est l’un des plus célèbres au monde et pourtant nul ne sait si Sun Tzu a vraiment existé et de quand date l’art de la guerre, les estimations se fixent sur la période de 1450 à 500 ans avant J-C. Sun Tzu a inspiré les dirigeants asiatiques en particulier de la Chine du Japon et du Vietnam et Mao en était un fervent lecteur mais sa lecture n’est devenue courante qu’il y a une quarantaine d’année et populaire depuis 15 ans. Souvent mis en parallèle avec l’œuvre magistrale de Clausewitz, parfois soupçonné d’être une mode orientaliste et un résumé de tactique plus que de stratégie c’est avant tout une lecture indispensable de par la richesse des idées développées sur le management, le leadership, l’organisation et bien sur la guerre. Les clefs du succès En tout premier lieu Sun Tzu décrit dans le livre I les facteurs qui permettent d’envisager de remporter une guerre sont au nombre de cinq et parmi ceux-ci nous trouvons l’influence morale, le commandement et la doctrine. Réactivité

Qu’est-ce que l’Entreprise 2.0 ? Si le web 2.0 a été le buzzword de l’année 2006, on commence de plus en plus à entendre parler d’Entreprise 2.0. Pour faire court, il s’agit d’utiliser dans le monde de l’entreprise les outils qui ont fait le succès du web 2.0. N’allez surtout pas vous imaginer que cela se résume à lancer un blog et un wiki interne, cette notion recoupe en fait des pratiques bien plus riches que des simples blogs et surtout engendre des mutations qui vont au-delà de la mise en ligne de nouveaux outils. Avant de vous livrer un schéma récapitulatif qui risque de vous perturber, je vous propose dans un premier temps de débroussailler le sujet. Quelques définitions et articles fondateurs (et après on n’en parle plus) Commençons par une définition très académique qui nous vient du professeur Andrew McAfee : “L’entreprise 2.0 correspond à une utilisation de plateformes sociales émergentes au sein de sociétés ou entre des sociétés, leurs partenaires et leurs clients“. C’est mon fichier, c’est moi qui décide !

L'ERP est-il l’antithèse de l’Entreprise 2.0 ? - techtoc.tv, web Nous inaugurons avec ce plateau un partenariat avec L'EMSI Grenoble (école de management des Systèmes d'information). Dans le cadre de ce partenariat nous diffusons en live des plateaux TV pendant les cours des étudiants de l'EMSI. Par cette démarche, les étudiants peuvent échanger directement avec les intervenants en apportant leurs questions et réactions. Une application du concept de Social Rich Learning ? Pour répondre à l'invitation à participer à ce tournage, veuillez sélectionner l'option appropriée ci-dessous. I confirm my response, and also send a word to the organizers: Below, I explain my motivation to the organizers: You have no friends that are available to join this webcast. You are a lecturer, journalist, blogger, speaker and you need the source video file? Fee: 1800€ Video file command Fee: 1980€ NB. Be careful, you're about to acquire the source file that permits generating this video techtoc.tv. Thank you for your understanding. Remember to check your mailing address.

Bertrand Duperrin, rubrique E2.0 Résumé : l’heure est venue pour l’entreprise de ne pas cantonner les activités dites « sociales » à tout ce qui est hors du flux de travail et en dehors des mécanismes structurants de l’entreprise. Les logiques sociales sont au contraire à même d’améliorer significativement cette partie de l’entreprise, dans une logique de flexibilité et d’amélioration continue à condition de faire fî de certains intégrismes déplacés. D’ailleurs si ça n’est pas la seule voie pour que le social améliore significativement les choses dans l’entreprise, c’est la seule option pour que ces améliorations touchent le cœur de l’opérationnel de manière mesurable, tangible et irréfutable. Cela fait très longtemps que je voulais vous parler d’un concept que j’évoque de plus en en plus fréquemment : le Social BPM. qui, plutôt qu’un livre est davantage un collectif de points de vue d’experts du sujet au nombre desquels Keith Swenson , Max Pucher ou Clay Richardson . Je finirai avec deux citations :

Related: