Autopoïèse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'autopoïèse (du grec auto soi-même, et poièsis production, création) est la propriété d'un système de se produire lui-même, en permanence et en interaction avec son environnement, et ainsi de maintenir son organisation malgré le changement de composants (structure). Le concept d'autopoïèse est inventé par Humberto Maturana et Francisco Varela dans l'article Autopoietic Systems, présenté dans un séminaire de recherche de l'université de Santiago en 1972. Définition[modifier | modifier le code] Francisco Varela propose la définition suivante de l'autopoïèse dans son livre Autonomie et connaissance : Le concept de système autopoïétique peut être rapproché de celui des structures dissipatives (étudié par Ilya Prigogine) qui se maintiennent loin de l'état d'équilibre thermodynamique, grâce au flux de matière et d'énergie qui les traversent. Autopoïèse et biologie théorique[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] F.G.
Motivation et théorie de l'autodétermination | motivation La théorie de l’autodétermination Selon la théorie de l’autodétermination (Deci et Ryan, 1985), trois besoins psychologiques sont à la base de la motivation humaine : le besoin d’autonomie, le besoin de compétence et le besoin d’appartenance sociale. Lorsque la satisfaction de ces trois besoins est présente, elle devrait mener, généralement, à une sensation de bien-être chez l’individu. Vallerand et Loisier (1999) ont proposé une représentation schématique du continuum de Styles Motivationnels. Continuum d’autodétermination et les différents types de motivation (Vallerand et Losier, 1999). Il apparaît cependant selon ces mêmes auteurs que le besoin d’autonomie serait le plus important dans l’explication des comportements. Deci et Ryan (1985) proposent l’existence de différents types de motivations autodéterminées qui sont caractérisés par différents niveaux d’autonomie. Enfin, l’amotivation se définit comme étant l’absence de motivation autodéterminée chez l’individu.
Origines de l’islam : ses racines païennes matriarcales – les 3 déesses de la Kaaba Aujourd’hui encore, les fouilles archéologiques sont quasi-interdites en Arabie Saoudite, à croire que cela en dérangerait certains. Source : Dr.Jawad Ali dans son livre «L’histoire des arabes avant l’Islam» partie 5,page 223 L’arrivée du patriarcat en Arabie Le patriarcat s’est installé progressivement par la guerre à partir du IVème millénaire avant Jésus-Christ, et semble commencer à Sumer en Mésopotamie. Les anciennes déesses-mères ont été conquises, assimilées, puis remplacées, par les nouveaux dieux-pères (Olympiens, Aesirs nordiques…). Paganisme matriarcal : les 3 déesses-mères de l’Arabie pré-islamique, Al-Uzza, Allat et Manat L’évolution des différents types de mariages arabes pré-islamiques témoigne de la patriarcalisation progressive de la péninsule arabique. Matriarcat bédouin : statut élevé et liberté sexuelle de la femme arabe avant l’islam Le croissant lunaire, symbole de la déesse primordiale Drapeau de guerre Ottoman (1453-1798), orné de Zulfikar, le sabre trouvé par Mahomet
Humberto Maturana Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Humberto Maturana est un biologiste, cybernéticien et philosophe chilien, né le 14 septembre 1928 à Santiago du Chili. Il a passé sa carrière à élaborer sa théorie au sein d'un projet de recherche biologique dans son laboratoire de Santiago (au sujet duquel il a écrit Experimental Epistemology Lab). Après des recherches en biologie de la perception, Maturana a développé la biologie de la cognition et la biologie de l'amour. Son travail s'inscrit dans le courant constructiviste, produisant des preuves expérimentales que la réalité est une construction consensuelle commune qui apparaît en fait comme existant « objectivement ». Avec son collaborateur Francisco Varela, il a proposé la théorie de l'Autopoïese dans le prolongement de Gregory Bateson, Ludwig Wittgenstein, Paul Weiss (notion d'autoproduction), etc... Humberto Maturana, Francisco J.
Motivation intrinsèque et extrinsèque - Deci Théorie de la motivation intrinsèque et extrinsèque Cette théorie, initialement présentée par Richard Deci en 1975 et enrichie par Deci et Ryan (1985, 2002), présente l’originalité par rapport aux précédentes théories, de distinguer deux types de motivation suivant qu’elle est "imposée" ou non La motivation intrinsèque : l’action est conduite uniquement par l’intérêt et le plaisir que l’individu trouve à l’action, sans attente de récompense externe. La motivation extrinsèque : l’action est provoquée par une circonstance extérieure à l’individu (punition, récompense, pression sociale, obtention de l’approbation d’une personne tièrce...). Ces deux types de motivations sont complétés par un troisième état : l’amotivation L’amotivation : l’individu a le sentiment d’être soumis à des facteurs hors de tout contrôle. Motivation et auto-détermination Echelle continue de régulation Motivation intrinsèque et extrinsèque Conséquences Applications sources et compléments :
Medieval Alchemists and Cannabis Cannabis: The Philosopher’s Stone Part 4: Medieval Alchemists and Cannabis from Green Gold: the Tree of Life, Marijuana in Magic and Religion by Chris Bennett, Lynn Osburn, and Judy Osburn (published by Access Unlimited: openi420@juno.com) 1. 2. 3. 4. 5. 4. The Arabs were responsible for the popular reintroduction of Alchemy into medieval Europe. That the alchemists of the West knew they were pursuing an internal goal is clear from their admonitions and innumerable cryptic illustrations in their works. Attar and other Sufis are reported to have used el-Khidr (Khizr), the green man , as a hidden reference to hashish and bhang. In what can be considered more than a mere coincidence, we find this same figure playing a highly regarded role in medieval alchemy . The real significance of the mysterious Elias is given in an almost throw away phrase by A.E. Nothing is concealed that shall not be revealed. He even quotes Sufi dicta: Dr. Section | Previous Section | Contents
Francisco Varela Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Varela. Francisco Javier Varela (Santiago du Chili, – Paris, ) neurobiologiste et philosophe chilien. Biographie[modifier | modifier le code] Francisco Varela est l'auteur de nombreux ouvrages en biologie théorique et sciences cognitives ayant eu une influence théorique largement au-delà de ses domaines d'études initiaux. Disciple et collaborateur de Humberto Maturana, Varela élabore avec lui une théorie de l'organisation biologique, identifiant la vie avec l'autopoïèse, c'est-à-dire pour simplifier un réseau de processus se régénérant lui-même récursivement. Varela prolonge ses réflexions sur l'autopoièse, en proposant une théorie originale de la cognition, cherchant à dépasser l'opposition du subjectivisme et objectivisme : la théorie de l'énaction ou cognition incarnée. Ses travaux ont influencé le domaine de recherche de l'intelligence artificielle et plus précisément de la vie artificielle.
La théorie des besoins psychologiques de base : clarifier les sources du climat motivationnel (Deci & Ryan, 2002, 2008 Selon Laguardia et Ryan (2000, p. 284), « la théorie de l’autodétermination adopte le concept de l’eudémonie ou de la réalisation de soi comme critère d’existence de bien-être mais, de plus, elle définit explicitement ce qu’il faut entendre par la réalisation de soi et par quels processus elle est atteinte ». En effet, la TAD soutient que les humains ont des besoins psychologiques fondamentaux et que la satisfaction de ces besoins psychologiques fondamentaux est essentielle à leur croissance, à leur intégrité et à leur bien-être. Ainsi, quand ces besoins sont satisfaits, l’organisme connaît la vitalité (Ryan & Frederick, 1997, cités par Laguardia & Ryan, 2000), la congruence interne (Sheldon & Elliot, 1999, cités par Laguardia & Ryan, 2000) et l’intégration psychologique (Deci & Ryan, 1991) : comme ces besoins fournissent une grande partie du sens et des intentions sous-jacents à l’activité humaine, leur satisfaction est ainsi vue comme un but « naturel » de la vie (Deci & Ryan, 2000).
Réseau complexité "Nous sommes tous des concepteurs" par Jean-Louis Le Moigne lisant H.A Simon (1968) Ndlr : Sous ce titre que l’on tiendra peut-être pour provoquant, on s’autorise ici, en guise de présentation de l’éditorial qu’on pourra lire dans la rubrique habituelle , à reprendre non plus le premier mais le dernier paragraphe de cet éditorial, texte que pour l’essentiel nous empruntons à une conférence de H A Simon donnée en 1968 au Massachusetts Institute of Technology. « Historiquement et traditionnellement la mission des disciplines scientifiques a été d’enseigner les connaissances relatives aux phénomènes naturels ; comment sont-ils constitués et comment fonctionnent-ils ? Les ingénieurs ne sont pas les seuls concepteurs professionnels. intellectuelle par laquelle sont produits les artefacts matériels n’est pas fondamentalement différente de celle par laquelle on prescrit un remède à un malade ou par laquelle on imagine un nouveau plan de vente pour une société , voire même une politique formation sciences
Théorie de l'auto-détermination Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de l'auto-détermination (on conserve l'acronyme anglais SDT) est une macro-théorie de la motivation humaine et de la personnalité, qui concerne les tendances inhérentes au développement et les besoins psychologiques innés des êtres humains. Elle traite de la motivation agissant derrière les choix que les êtres humains font sans aucune influence ou interférence externe. La SDT définit le degré d'auto-motivation et d'auto-détermination d'un comportement[1]. Plusieurs études importantes conduisirent à l'émergence de la SDT, en particulier les recherches sur la motivation intrinsèque[2] à l'origine de la poursuite par un individu d'une activité parce qu'elle lui procure une satisfaction en elle-même, au contraire de la motivation extrinsèque, où l'activité est poursuivie en vue d'atteindre un but externe à celle-ci. Références[modifier | modifier le code] ↑ Deci, E., & Ryan, R. Articles connexes[modifier | modifier le code]
INTRODUCTION A LA SYSTEMIQUE GIANFRANCO MINATIPrésident de l’AIRSAssociation Italienne pour la Recherche en Systémique(traduit par Evelyne Andreewsky) Préface Introduction et but de l’ouvrage I. Annexe 1 : Sociétés de Systémique Annexe 2 : Revues de Systémique Bibliographie Préface L'introduction à la systémique que nous propose ici Gianfranco Minati, président de la société italienne de systémique, est le premier des ouvrages didactiques que la revue "Res-Systemica" se propose de mettre à la disposition de tous, en les affichant en bonne place dans le menu de chacun des numéros. La présente introduction mérite tout particulièrement le qualificatif de "didactique", car - outre conseils et recommandations pour accomoder la systémique dans une sauce aussi digeste qu'appétissante - elle fournit de nombreux exemples susceptibles d'être compris même par des enfants du cours préparatoire ! On peut obtenir les versions (papier) anglaise ou italienne de l'ouvrage auprès de l'auteur. Evelyne Andreewsky Fig. 1 - Fig. 2 - Fig. 3 -