Ces 7 femmes incroyables ont marqué l'histoire des sciences Encore aujourd'hui, il n'existe pas un livre de français ou d'histoire où il n'est question de Voltaire, éminent philosophe des Lumières et de son combat pour la tolérance et la liberté de pensée. C'est pourtant de sa maîtresse, Émilie du Châtelet, illustre et pourtant inconnue mathématicienne, qu'on a décidé de vous parler. Née à Paris en 1706 dans une famille noble et cultivée, Émilie reçoit de son père une éducation "de garçon". Mais l'étude minutieuse des mathématiques, des langues – elle en lit couramment quatre – et de la philosophie ne l'empêchent certainement pas d'apprécier les frivolités de la Cour, où elle fait une entrée fracassante à 16 ans. Brillante, intelligente, Émilie du Châtelet a pourtant un grand défaut : celui d'être une femme.
Ces femmes ont changé le monde et vous ne les connaissez pas Ada, la hackeuse de l'ère victorienne Passionnée, extravagante et brillante, Ada détonne dans le paysage victorien. Il faut dire qu’elle a de qui tenir. A Londres, elle rencontre l’homme qui va changer sa vie. Même si le terme de hackeuse avant l’heure ou de première programmatrice de l’histoire est un peu exagéré, son esprit poétique doublé de son don pour les maths ont amené Ada à voir le potentiel de la machine, à préfigurer la programmation web et à devenir la figure de proue des femmes de science. Margaret Hamilton, celle qui a envoyé Armstrong sur la Lune Margaret Hamilton a inventé le software (ce bout de code qui vous permet d'utiliser votre ordinateur) et a envoyé des hommes sur la Lune. Valentina, la première astronaute... qui a failli être la dernière En pleine guerre froide, pendant les années 1970, l’américaine Margaret et la russe Valentina Terechkova se seraient sûrement crêpé le chignon si elles s’étaient rencontrées. Sue, la docteure militante A lire aussi :
Liste des artistes exposées dans l'accrochage elles@centrepompidou Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lors du troisième accrochage thématique des collections permanentes du Musée national d'art moderne elles@centrepompidou, 900 artistes femmes ont été exposées dans les espaces de collections du MNAM (niveaux 4 et 5 du Centre Georges Pompidou), dans les vitrines et dans l'espace des nouveaux médias[1]. Les artistes exposées[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Camille Morineau, elles@centrepompidou : artistes femmes dans la collection du Musée national d'art moderne, Centre de création industrielle, Centre Pompidou, , 381 p. (ISBN 978-2-84426-384-1)
Elles@centrepompidou Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. elles@centrepompidou est le troisième accrochage thématique des collections permanentes du Musée national d'art moderne (MNAM), à Paris. S'étendant sur les quatrième et cinquième niveaux du Centre Georges Pompidou du 27 mai 2009 au 21 février 2011, cet accrochage était dédié à des artistes femmes[1]. Ce choix a fait l'objet de polémiques, reprochant notamment au musée de « placer les femmes dans un ghetto[2] ». Organisation[modifier | modifier le code] La commissaire de cet accrochage était Camille Morineau, conservateur au MNAM, assistée de Quentin Bajac (conservateur au MNAM, collections photographiques), Cécile Debray (conservateur au MNAM, collections historiques), Valérie Guillaume (conservateur au MNAM, collections architecture et design) et Emma Lavigne (conservateur au MNAM, création contemporaine et prospective). Scénographie[modifier | modifier le code] Artistes exposées[modifier | modifier le code]
Les Antigones, nouvelles résistantes de la Méditerranée L’écriture laisse le temps aux femmes de prendre la parole Naïla Mansour, universitaire syrienne Naïla Mansour ne se considère pas comme représentative d’une réfugiée syrienne classique. Âgée d’une quarantaine d’années, mariée et mère de deux enfants, l’universitaire en linguistique a quitté Damas en 2014, désespérée par la mascarade des élections et les bombardements de plus en plus intensifs sur la capitale. « Avant la révolution, j’étais déconnectée du débat social et politique, raconte-t-elle. Vient alors le temps de l’écriture. Quitte l’obscur et viens Devant nous un moment En amie, avec le pas léger De la résolue, effrayante Détournée, je sais Comment tu redoutais la mort, mais Tu redoutais plus encore Une vie indigne. C’est ce poème de Bertold Brecht qui a inspiré "Les Nouvelles Antigones", une agora numérique portée par l’association "Sublimes Portes", qui traduit et rassemble les textes de femmes résistantes de la Méditerranée, blogueuses, poétesses, écrivaines.
Catégorie:Voie parisienne se référant à un nom de femme Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parmi les quelques 6000 voies de Paris, seules environ 130 sont baptisées d'un nom de femme[1], alors que les noms d'hommes sont beaucoup plus fréquents[2]. Ceci ne représente donc qu'un faible pourcentage, et parmi celles-ci, on trouve les noms d'anciennes propriétaires du terrain, d'épouses de personnage célèbre ou de saintes de l’Église catholique. Bibliographie : Malka Marcovich, Parisiennes. La présente catégorie inclut en outre des noms de communautés féminines (rue des Nonnains-d’Hyères par exemple). Articles absents[modifier | modifier le code] Sous-catégories Cette catégorie comprend la sous-catégorie suivante. Pages dans la catégorie « Voie parisienne se référant à un nom de femme » Cette catégorie contient les 196 pages suivantes.
Ces films qui ont changé la place des femmes au cinéma Femmes au Sénat en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’hémicycle du palais du Luxembourg, siège du Sénat. Histoire[modifier | modifier le code] Deuxième et Troisième Républiques[modifier | modifier le code] Gouvernement provisoire de la République[modifier | modifier le code] Après la déclaration du général de Gaulle du par laquelle il affirme que « tous les hommes et toutes les femmes éliront l'Assemblée nationale », Marthe Simard et Lucie Aubrac sont nommées membres de l'Assemblée consultative provisoire d'Alger[2]. En France, le droit de vote a été accordé aux femmes par le Comité français de la libération nationale, par ordonnance du , qui, dans son article 17, stipule que « les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes ». IVe et Ve Républiques[modifier | modifier le code] Synthèse des femmes élues au Sénat depuis 1946[modifier | modifier le code] Source : Sénat[4] Orientation politique[modifier | modifier le code] IVe République[modifier | modifier le code]
Liste des cratères de Vénus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La liste des cratères sur Vénus recense les cratères connus de la planète ainsi que leurs noms. La morphologie des cratères de Vénus diffère de ceux des autres planètes[2]. Les cratères vénusiens possèdent pour la plupart un nom féminin ou d'une personnalité célèbre féminine[4], par convention les cratères d'un diamètre supérieur à 20 km sont nommés d'après des femmes célèbres ayant contribué de manière notable à leur domaine, les cratères d'un diamètre inférieur à 20 km sont nommés par des prénoms usuels féminins dans de multiples langues[5]. La direction des longitudes croissantes est l'est. A[modifier | modifier le code] B[modifier | modifier le code] C[modifier | modifier le code] D[modifier | modifier le code] E[modifier | modifier le code] F[modifier | modifier le code] G[modifier | modifier le code] H[modifier | modifier le code] I[modifier | modifier le code] J[modifier | modifier le code] K[modifier | modifier le code]