Logiciels libres et gratuits pour l'education
Annuaire EPFL des principaux logiciels libres
Avant-propos Vous pouvez aussi lire nos anciens articles suivants : • article du Flash EPFL 08/2014 sur l'importance du logiciel libre en milieu académique et dans la recherche scientifique. Table des matières 1. 1.1 Définitions Les fondements du mouvement du logiciel libre sont en fait identiques à ceux qui sont à la base du développement scientifique, à savoir : la mise en commun des idées et découvertes pour faire progresser le développement et le savoir collectif. Le terme logiciel libre (en anglais free software) désigne tout logiciel garantissant à l'utilisateur 4 libertés fondamentales (numérotées de 0 à 3) : Le mouvement du logiciel libre fait souvent sienne la devise : "Liberté, égalité, fraternité". Il ne faut pas confondre logiciel libre avec logiciel gratuit (freeware, gratuiciel), et il y a aussi une nuance importante à faire par rapport à la dénomination logiciel open source : Les enjeux du libre dépassent donc les aspects purement informatiques ou financiers. 2. Notes : 3. 4.
Coopération ouverte: du logiciel libre au matériel libre
Dans la lignée du logiciel libre qui devient de plus en plus répandu et sophistiqué, les modèles de coopération ouverte en réseau sont en train de toucher le matériel. Le matériel libre, qui désigne des artéfacts tangibles — machines, dispositifs ou toutes choses physiques — dont les plans ont été rendus publics de façon que quiconque puisse les fabriquer, modifier, distribuer et utiliser – est silencieusement en train de préparer le terrain à une révolution lente mais qui promet de changer le monde. Du logiciel libre Connaissez vous ou utilisez vous un des logiciel représentés ci dessous ? Il s’agit de logiciels libres, c’est à dire dont le code est librement réutilisables par tous les développeurs et n’est pas protégé par des brevets. Sans le savoir vous utilisez probablement déjà plusieurs d’entre eux sur votre ordinateurs ou même dans votre utilisation quotidienne de la technologie. De plus en plus le logiciel libre devient symbole de qualité et d’innovation (source) au matériel libre…
Comment j’ai quitté Google et plaqué Microsoft
En 2015, après une longue période d’hésitation, j’ai sauté le pas. J’ai décidé que Google, Facebook ou encore Microsoft seraient pour moi des connaissances lointaines, et non des compagnons de route. On a du mal à croire qu’il soit possible d’envisager sérieusement une telle transformation sans se couper du monde et du confort que nous offre le Web. Nous sommes en juillet 2017. Depuis 2015, alors que la moitié du marché des smartphones est contrôlé par Google et son système d’exploitation Android, que tout le monde connaît GMail, utilise Google Docs, se localise avec Google Maps et partage des choses sur Google+ (lol nope), je n’utilise pas tout cela. Bon, OK, j’ai une chaîne YouTube, donc je mets des vidéos en ligne. Ni pour mes recherches. Alors je me suis dit que peut-être, ça vous intéresserait de savoir COMMENT j’ai pu réussir sans faire une syncope. Allez, ferme Hangout, Messenger, Skype, Whatsapp, viens t’asseoir près du feu, et prends le temps de me lire, un peu. Tut-tut. Non.
Le Libre peut-il faire le poids ?
Dans un article assez lucide de son blog que nous reproduisons ici, Dada remue un peu le fer dans la plaie. Faiblesse économique du Libre, faiblesse encore des communautés actives dans le développement et la maintenance des logiciels et systèmes, manque de visibilité hors du champ de perception de beaucoup de DSI. En face, les forces redoutables de l’argent investi à perte pour tuer la concurrence, les forces tout aussi redoutables des entreprises-léviathans qui phagocytent lentement mais sûrement les fleurons du Libre et de l’open source… Lucide donc, mais aussi tout à fait convaincu depuis longtemps de l’intérêt des valeurs du Libre, Dada appelle de ses vœux l’émergence d’entreprises éthiques qui permettraient d’y travailler sans honte et d’y gagner sa vie décemment. D’où ses interrogations, qu’il nous a paru pertinent de vous faire partager. par Dada Republication de l’article original publié sur son blog Ubérisation d’Uber L’investissement sécurisé La pub Les hommes-sandwichs La LowTech
Comment gagne-t-on de l'argent avec un produit gratuit ?
Chacun reconnaît également qu'il serait malhonnête de gagner de l'argent : en cuisinant des recettes non-libres sur lesquelles il est rendu impossible, par des voies tant légales que techniques, d'effectuer une analyse indépendante, entre autres graves dysfonctionnements pourtant courants en informatique, en revendant des droits d'utilisation d'articles de loi non-libre, ou en revendant des droits à soigner. Cela constituerait de véritables arnaques envers la société toute entière ! Cela conduirait à des oligopoles, étouffant la concurrence et l'innovation, et abusant des consommateurs, comme on le constate dans l'informatique privatrice. La restauration non-libre, la loi non-libre, la médecine non-libre, ça ne marche pas ! Si ça existait, ce serait interdit. Puisque l'informatique transcende déjà toute la société de manière similaire au trois domaines auxquels nous la comparons, il devrait être inimaginable que quiconque gagne de l'argent avec du logiciel privateur.
Logiciel libre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo du projet GNU, initiateur du mouvement du logiciel libre. Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et légalement[1]. Ces droits peuvent être simplement disponibles (cas du domaine public) ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs »[Note 1]. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : les freewares (gratuiciels) : un gratuiciel est un logiciel gratuit, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Définition[modifier | modifier le code] Premières ébauches[modifier | modifier le code] « Premièrement, la liberté de copier un programme et de le redistribuer à vos voisins, qu'ils puissent ainsi l'utiliser aussi bien que vous.