Faire la grasse matinée rend plus créatif
Réveil à la dernière minute, café avalé en vitesse, douche ultra-rapide, transports en commun... La façon qu'ont la plupart d'entre nous de vivre leurs matins —de manière rapide et stressante– est un frein à la créativité et à la flexibilité cognitive, explique Annie Murphy Paul du Time. Une étude publiée en 2011 démontre en effet que pour les personnes qui ne sont pas du matin, c'est à cette période de la journée que le pic de créativité a lieu. En étant un peu endormi, notre attention est plus diffuse et amène notre esprit à vagabonder d'avantage, augmentant de ce fait la capacité à gérer les problèmes de manière originale... Annie Murphy Paul explique que c'est dans ces moments de rêverie que «les procédés mentaux qui inhibent les pensées déconcentrantes ou hors de propos sont à leur niveau le plus bas, ce qui permet à des connexions inattendues et parfois très inspirées de se faire.» «Ce n'est pas l'ennui en soi qui compte, résumait alors Jonah Lehrer. publicité Devenez fan sur
La grasse matinée expliquée par la génétique !
La durée du sommeil ne s'expliquerait pas seulement par l'âge, la latitude ou la saison : le génome aurait aussi son mot à dire. © Etolane Flicker CC by-nc-nd 2.0 La grasse matinée expliquée par la génétique ! - 2 Photos Adieu le fameux « mon réveil n’a pas sonné » pour tous ceux qui arrivent en retard au travail. Ce gène, présent chez chacun de nous, code pour une protéine qui forme une sous-unité d’un canal potassique sensible à l’ATP, la molécule énergétique de base. La mouche drosophile (Drosophila melanogaster) est un modèle animal très utilisé dans la recherche en génétique. Pour obtenir leurs résultats, les chercheurs ont procédé en plusieurs étapes. La seconde étape s’intéressait aux mouches drosophiles (Drosophila melanogaster). Reste maintenant à déterminer plus précisément comment ce variant du gène régule la durée de sommeil. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet Livre Voir plus
T'as de beaux yeux tu sais! - Strange Stuff And Funky Things
Comme je vous le disais plus tôt, j’en ai pris plein les mirettes durant mon voyage à travers les Etats-Unis. Mais vu que le tri monstre de mes 3700 clichés et vidéos est encore loin d’être terminé, je préfère vous parler tout d’abord des mirettes avant de vous montrer ce qui a gâté les miennes. Je ne sais pas pour vous, mais je trouve assez dingue qu’avec le temps qu’on passe à se regarder les yeux dans les yeux, on ne prenne pas plus de temps à se demander ce que sont véritablement ces disques de couleurs qui cernent nos pupilles. Heureusement pour nous, certains photographes, comme Suren Manvelyan, se sont non seulement intéressés à nos iris, mais se sont également mis à les mitrailler en gros plan extrême: Jetons donc les yeux sur les formes et textures étonnantes que nous cachent ces organes extraordinaires. Ensuite avec les yeux bleus… euh … ciel bleu? Incroyables ces reliefs, cratères et vallées aux couleurs extra-terrestres, non? “Et les yeux verts et gris?”
Le mystère des doigts fripés sous l’effet de l’eau enfin résolu
Une publication parue dans la revue Brain, Behavior and Evolution expose une nouvelle théorie sur la fonction des rides qui apparaissent sur les mains et les pieds humectés. Pourquoi les doigts et les orteils se rident-ils sous l’effet de l’eau ? Cette éternelle question qui poursuit depuis des années les amateurs de bains vient enfin de trouver une réponse. Une publication parue dernièrement dans la revue Brain, Behavior and Evolution suggère que les rides provoquées par l’humidité poursuivent un objectif : améliorer l’adhérence des extrémités. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter S’il est admis depuis longtemps que la peau humectée absorbe une quantité d’eau notable, le phénomène de "flétrissement" est resté jusqu’à présent un mystère pour les scientifiques. Mieux écouler l’eau pour augmenter l’adhérence Pour en arriver à une telle déduction, les scientifiques ont examiné 28 doigts fripés sous l’effet de l'eau.
The National Library of Medicine's Visible Human Project
Overview The Visible Human Project® is an outgrowth of the NLM's 1986 Long-Range Plan. It is the creation of complete, anatomically detailed, three-dimensional representations of the normal male and female human bodies. Acquisition of transverse CT, MR and cryosection images of representative male and female cadavers has been completed. The male was sectioned at one millimeter intervals, the female at one-third of a millimeter intervals. The long-term goal of the Visible Human Project® is to produce a system of knowledge structures that will transparently link visual knowledge forms to symbolic knowledge formats such as the names of body parts. The National Library of Medicine thanks the men and the women who will their body to science, thereby enabling medical research and development. Further Information
Microscopic Images Of Human Eye Reveals Its Complicated Structure[PICS]
Microscopic Images Of Human Eye Reveals Its Complicated Structure[PICS] Advertisements Sharebar 240 Popular On Web Today ShareThis Copy and Paste
Auto-Brewery Syndrome: Apparently, You Can Make Beer In Your Gut : The Salt
Most of us prefer drinking fermented beverages, not producing them in our gut. Morgan Walker/NPR hide caption itoggle caption Morgan Walker/NPR Most of us prefer drinking fermented beverages, not producing them in our gut. Morgan Walker/NPR This medical case may give a whole new meaning to the phrase "beer gut." A 61-year-old man — with a history of home-brewing — stumbled into a Texas emergency room complaining of dizziness. There was just one hitch: The man said that he hadn't touched a drop of alcohol that day. "He would get drunk out of the blue — on a Sunday morning after being at church, or really, just anytime," says Barabara Cordell, the dean of nursing at Panola College in Carthage, Texas. Other medical professionals chalked up the man's problem to "closet drinking." So the team searched the man's belongings for liquor and then isolated him in a hospital room for 24 hours. Eventually, McCarthy and Cordell pinpointed the culprit: an overabundance of brewer's yeast in his gut.