Comprendre la Qualité | Qualité performance La démarche Qualité s'appuie sur des principes fondamentaux : Une politique : la qualité est un facteur de mobilisation de l'entreprise autour de trois enjeux indissociables, leviers de résultats opérationnels. L'expression d'une volonté managériale symbolisée par le progrès continu. La qualité n'est pas seulement une affaire de bon sens, d'outils et de techniques. C'est un état d'esprit, une démarche de changement et une méthode qui impliquent tous les acteurs de l'entreprise. Cela exige une prise de conscience collective et une évolution permanente de la culture interne de l’organisme. La qualité est l’aptitude à répondre aux exigences des clients, celles-ci peuvent être explicites ou implicites. La qualité c'est : Des enjeux forts pour les entreprises et les organisations Le client est le maître du jeu. L'information et les techniques de marketing poussent les clients à faire jouer la concurrence.
GUIDES DES LABELS TEXTILES – Made in Responsable Pas facile de se retrouver parmi tous les labels de certification éco-responsable. Etant donné que j’en évoque souvent sur le blog, voici un guide qui vous permettra d’y voir plus clair. C’est un peu fastidieux, mais cela permet de mieux décrypter les étiquettes. C’est un des labels que l’on croise le plus. Je le cite très souvent sur le blog. Il s’agit du premier label visant à garantir des textiles sans produits toxiques pour le corps et pour l’environnement. C’est un label fiable mais qui peut aussi certifier des matières synthétiques et donc polluantes en amont (lire l’article sur les matières technologiques). Label mondial qui certifie l’origine biologique des textiles. Il assure également qu’à toutes les étapes de production et transformation du textile les procédés de production utilisés soient socialement responsables et respectueux de l’environnement (les métaux lourds, les formaldéhydes, les enzymes OGM et les amines cancérigènes sont interdits). WordPress: J'aime chargement…
Coût de la non-qualité - Définition du glossaire Catégorie de coût caché correspondant aux pertes consécutives par une mauvaise qualité. Leur suppression devient un facteur clé de succès en termes de compétitivité. Encore faut-il identifier les facteurs de la non-qualité et analyser les coûts spécifiques pour prendre les mesures appropriées. Ces coûts sont notamment : le coût de détection : dépenses engagées pour vérifier la conformité des produits aux exigences de qualité ;le coût de prévention : investissements de toute nature engagés pour vérifier, prévenir et réduire les anomalies ;le coût des anomalies internes qui correspond à un produit non satisfaisant au regard des exigences avant d'avoir quitté l'entreprise ;le coût des anomalies externes pour le produit qui ne répond pas aux exigences de qualité après avoir quitté l'entreprise. Définitions sur le même sujet
Controle Qualité Textile | Inspections Textiles | Contrôle De Qualité Qu’est ce que le contrôle qualité textile? Le contrôle de qualité textile donne la marche à suivre pour la fabrication de vos produits textile.L'objectif principal du contrôle de qualité textile est de s'assurer qu'un produit répond aux besoins et spécifications des consommateurs. Un bon contrôle qualité dans l'industrie textile est un processus qui comprend la fabrication en partant de la matière première jusqu’à l'expédition des produits, il doit permettre de réduire au maximum les défauts. Comment pouvez-vous contrôler la qualité du textile? Le contrôle qualité textile suit le processus de fabrication, depuis les matières premières jusqu'aux produits finis en réalisant des inspections lors des différentes étapes: Contrôle initial de production- Dans l'industrie textile, pour contrôler la qualité des produits, il faut d’abord réaliser un contrôle initial de production pour vérifier que vos spécifications soient correctes et éviter tous les defaults de production des matières premières.
La non qualité : les conséquences engendrées sur l’entreprise Peut-on assurer une production à la hauteur des attentes du client tout en demeurant compétitif et en améliorant les niveaux de profit ? C’est là l’équation à plusieurs variables qui se pose dans une industrie où la performance est un gage de survie, la compétition étant plus intense que jamais. Le coût de la non-qualité est un aspect qu’on ne peut se permettre d’ignorer, d’autant plus que l’on peut finalement la considérer comme une opportunité, un gisement de gain. La performanceLes finances Ebook Obtenez l’e-book sur les 5 étapes à suivre pour réussir votre projet industriel. voyages évités chaque semaine Qu’est-ce que la notion de non-qualité ? Avant de définir la non-qualité, arrêtons-nous, tout d’abord, sur la notion de la qualité. La qualité Tout d’abord, soulignons que cette notion est liée au management de la qualité ou gestion de la qualité (mise en place d’une démarche qualité). La maîtrise de la qualitéLa planification de la qualitéL’assurance de la qualitéL’amélioration
La non qualité : quelles peuvent être les conséquences ? Menu Rechercher Fermer Quelles sont les conséquences de la non qualité ? Accueil Performance et Technologies Quelles sont les conséquences de la non qualité ? On ne lance pas des fusées… C’est par cette formule laconique qu’un manager avait coupé court aux arguments d’un chef de produit lui expliquant la non-qualité d’une nouvelle version du logiciel … Effectivement, ils ne lançaient pas des fusées. Par souci d’économie, ce manager, par ailleurs plutôt très bon, faisait délibérément le choix de la non-qualité. Était-il conscient des conséquences ? Finalement, la non-qualité c’est quoi ? Le plus simple est peut-être de partir de ce que l’on entend par le terme de qualité. La définition qu’en donne l’Organisation Internationale de Normalisation est des plus claires : « la qualité est l’aptitude d’un produit ou d’un service à satisfaire les exigences spécifiées ». Avec une telle définition de la qualité, celle de la non-qualité semble évidente. J’adore cette anecdote que j’avais entendue. Suivant
Coût de non qualité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les coûts de la non-qualité (CNQ) sont les pertes résultants des non-conformités internes et externes à l’organisme[1]. Ils font partie des coûts d'obtention de la qualité. On distingue[2] les coûts de non-qualité internes exposés avant que le produit ne quitte l'entreprise (rebuts, production de réparation ou de remplacement, etc.) et les coûts de non-qualité externes qui interviennent après que le produit ait quitté l'entreprise (traitement des réclamations, interventions chez le client, remplacement du produit, nouveaux frais de transport, pénalités et/ou dommages-intérêts, etc.). Ces coûts représentent une part non négligeable du chiffre d'affaires des entreprises : probablement bien plus de 5%, selon une enquête de l'AFNOR auprès des entreprises françaises en 2017[3]. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] H.
Les outils qualité : amdec, 5S, Pareto, 5M, brainstorming, 8D, résolution de problème… L'AMDEC : Analyse des Modes de Défaillance, de leurs Effets, et de leur Criticité Outil qualité d'analyse préventive permettant d'identifier et de traiter les causes potentielles de défauts et de défaillance avant qu'ils ne surviennent. L'AMDEC est une méthode rigoureuse de travail en groupe, très efficace grâce à la mise en commun de l'expérience et des connaissances de chaque participant. On peut faire : - une AMDEC Produit, pour vérifier la conformité d'un produit développé par rapport aux exigences du client, - une AMDEC Processus, pour valider la fiabilité du processus de fabrication, - une AMDEC Moyen, pour vérifier la fiabilité d'un équipement. Le principe consiste à recenser toutes les causes potentielles de chaque mode de défaillance et d'évaluer la criticité. - note "G" : Gravité ou sévérité de l'effet du défaut ou de la défaillance, - note "O" : Occurrence ou fréquence d'apparition de la cause, - note "D" : Détection : probabilité de non détection de la cause.
L'agriculture biologique, un dynamisme à tous les stades de la filière en 2017 Union européenne : l'agriculture biologique française en bonne place Avec plus de 1,77 million d'hectares, la France possède la 3e surface bio dans l'Union européenne, derrière l'Espagne et l'Italie. Elle représente le 2e marché biologique, derrière l'Allemagne. Dans l'Hexagone, les principales régions bio poursuivent leur développement avec des croissances du nombre d'exploitations d’environ +13% en phase avec la moyenne nationale. Côté production, c'est la région Occitanie qui arrive en tête : elle dépasse les 8 100 exploitations bio. De l'aval à l'amont, des acteurs de plus en plus engagés dans le bio Au 31 décembre 2017, on dénombre 36 691 exploitations engagées en agriculture biologique, ce qui représente une hausse de 14% par rapport au 31 décembre 2016. Mais l'engagement en bio concerne également les entreprises de transformation et de distribution. Enfin, le marché des produits alimentaires biologiques atteint 8,3 milliards d'euros fin 2017, en hausse de 17%. Sources : Agence BIO
Les acteurs institutionnels de la bio D’après Agence Bio Le ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt (MAAF) Ses missions consistent au développement durable des filières agricoles, alimentaires et forestière et des territoires ruraux,à garantir la qualité et la sécurité de l’alimentation, la santé animale et végétaleassurer la formation et la recherche agricole. Ainsi, il assure la tutelle de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO), chargé de la gestion de l’ensemble des signes d’identification de la qualité et de l’origine, et celle de l’Agence Bio, chargée du développement et de la promotion de l’agriculture biologique. Le MAAF est responsable de la gestion de la PAC et des politiques publiques en lien avec l’agriculture au niveau national et contribue à l’élaboration et à l’évaluation des programmes de développement de l’agriculture biologique (Ambition bio 2017). l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) L’INAO supervise le contrôle et encadre les signes de qualité.
La spirale des connaissances : Ikujiro Nonaka et Hirotaka Takeuchi Temps de lecture estimé : 1 minute environ Les savoirs tacites et implicites Selon Ikujiro Nonaka et Hirotaka Takeuchi, les connaissances sont une interaction entre tacite et explicite. On parle d’explicite lorsqu’on l’information est clairement affichée, exprimée et expliquée. Par exemple, un guide d’utilisation est explicite, tout comme une fiche client, une base de données, un dossier, etc. Le tacite est tout ce qui n’est pas formalisé. Les 4 phases de la spirale des connaissances D’après Takeuchi et Nonaka, la connaissance s’accumule dans l’entreprise, provoquant un mouvement perpétuel de combinaison, d’internalisation, de socialisation et d’externalisation. Explicite=> Tacite : L’internalisation est l’appropriation des informations par l’individu.
Le management des connaissances selon Nonaka et Takeuchi Nonaka et Takeuchi, co-auteurs de l'ouvrage The Knowledge - Creating Company publié en 1995, proposent un modèle de management des connaissances connu comme le modèle SECI. Leur approche valorise l'apprentissage individuel et autonome, et met en valeur les connaissances « tacites » dans le processus d'innovation : ce sont les interactions de chaque collaborateur avec son environnement qui permet à l'entreprise de progresser, dans une spirale de création infinie. Ikujiro Nonaka et Hirotaka Takeuchi opposent la conception orientale à la conception occidentale, et s'appuient sur le succès des entreprises japonaises pour appuyer leur thèse. Qu'est-ce que le management des connaissances ? Le management des connaissances est la manière dont l'entreprise développe collectivement des savoirs stratégiques, les exploite à des fins commerciales et les protège. La théorie de Ikujiro Nonaka et Hirotaka Takeuchi Cet exemple de processus de création peut être transposé à d'autres nombreuses situations.