Apprendre à questionner ? Quand Socrate peut encore être utile ! Les débats autour des compétences informationnelles des jeunes, leurs habiletés, leur naïveté, leur absence de sens critique sont entrés désormais dans le champ de la banalité. Ils acquièrent des connaissances « futiles » et pas des connaissances « utiles », déclarait un orateur lors de la conclusion du séminaire sur le manuel numérique organisé par le ministère de l’éducation les 20 et 21 janvier à l’ENS de Lyon. Ils ne maîtrisent pas réellement l’ordinateur disent les autres enseignants, il leur faut des cours d’informatique disent encore d’autres, fiers d’annoncer qu’ils ont obtenu une option informatique en terminale et que l’informatique entre à nouveau dans l’enseignement. Renvoyons donc à la lecture du livre « la culture au pluriel » de Michel de Certeau (Points 1973 – 1987) ainsi qu’à celle du livre « Les nouveaux modes de comprendre » de Pierre Babin et Marie France Kouloumdjian (Le Centurion 1983). A suivre et à débattre…
METTRE EN OEUVRE L'INTELLIGENCE COLLECTIVE Article paru dans la lettre "Management et conjoncture sociale" de mars 1997 Nous entendons par intelligence collective la dynamique d'acteurs se rassemblant autour de finalités partagées, rendue possible par une mutation culturelle et la maîtrise des nouvelles technologies de communication.L'intelligence collective devient le vecteur de mutation de l'entreprise. Sa promotion suppose la mise en oeuvre de processus éducatifs, de développement et de changement culturel des personnes. Elle est rendue possible par des moyens logistiques (internet, intranet), mais ne peut exister sans un minimum d'alliance entre les acteurs. La mise en oeuvre de ces changements rend nécessaire un ensemble d'accompagnements interconnectés (accompagnement par les dirigeants, les consultants internes et externes) : constructions collectives de visions, coaching, cohésions d'équipes, pilotage stratégique. Quels enjeux pour l'intelligence collective? Troisième enjeu : le cycle de renouvellement des produits
Sociologie des réseaux sociaux Aujourd’hui paraît la troisième édition du livre que j’avais consacré à la Sociologie des réseaux sociaux, et dont la première édition était parue en 2004 aux Editions de la Découverte, dans la collection « Repères ». Le livre avait alors été écrit dans un contexte particulier, celui de la montée, en France comme ailleurs, de l’analyse des réseaux à la fois comme nouveau corpus de méthodes pour les sciences sociales, et aussi comme nouveau paradigme, ambitionnant d’ouvrir une troisième voie « méso-sociologique » entre le holisme et l’individualisme méthodologique, et qui a pu aussi consister à opposer les réseaux sociaux aux classes sociales. L’ambition de la sociologie des réseaux sociaux est donc de restituer aux comportements individuels la complexité des systèmes de relations sociales dans lesquels ils prennent sens, et auxquels ils donnent sens en retour. Que s’est-il donc passé au cours des dix dernières années, pour qu’on assiste à un tel retournement ?
Intelligence collective globale © Jupiter En marge des structures de réflexion classiques, des hommes de bonne volonté, chercheurs, formateurs, interrogent notre société et ses modes de vie. Parmi ces penseurs du vivre ensemble, Jean-François Noubel a développé le concept de l’intelligence globale. Utopie ou futur proche ? Laurence Lemoine Jean François Noubel Né en 1964, Jean- François Noubel a entre autres cofondé la filiale France d’AOL, société américaine de services Internet, avant de lancer un site de partage et de cocréation de savoir, Thetransitionner (people.thetransitioner.org – en anglais). Un soir d’automne, dans un café du Xe arrondissement, à Paris. Il explique : « L’intelligence collective est la capacité qu’ont certaines espèces, animales ou végétales, à collaborer pour réussir ensemble ce que les individus ne parviendraient pas à réaliser seuls. » Comme les sociétés humaines, elle a évolué dans le temps. De l’intelligence originelle à l’intelligence pyramidale Chat : Quitter nos vieux modes de pensée
Methode Holacratie COMMENT GERER LA TRANSITION VERS UN SYSTEME DE GOUVERNANCE HOLACRATIQUE ?Les 3 règles pour réussir la transition holacratiqueApprendre les principes de base de l’Holacratie« Faciliter » les réunionsOrganiser la structure organisationnelle en cercles semi-autonomes Principes de base L’Holacratie utilise trois principes opérationnels sur lesquels les membres de l’organisation pourront s’appuyer, notamment dans des situations inattendues, pour savoir gérer les tensions, les décisions et les informations : Facilitation des réunions La mise en œuvre de l’Holacratie implique, au minimum, la tenue de deux types de réunions : les réunions de gouvernance et opérationnelles. Cette distinction améliore la qualité des deux processus de base d’une organisation : le processus de gouvernance (« comment s’organiser ? Les réunions de gouvernance"Transformer l’organisation en créant l’espace pour répondre aux tensions" Les réunions opérationnelles"Décider rapidement et efficacement" Les cercles dynamiques
Intelligence collective Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres (ou agents). La connaissance des membres de la communauté est limitée à une perception partielle de l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui influencent le groupe. Des agents au comportement très simple peuvent ainsi accomplir des tâches apparemment très complexes grâce à un mécanisme fondamental appelé synergie ou stigmergie[réf. souhaitée]. l'Intelligence Collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif). Les formes d'intelligence collective sont très diverses selon les types de communauté et les membres qu'elles réunissent. Intelligence collective humaine[modifier | modifier le code] et
Management de l'intelligence collective ? R?seaux sociaux - Technologies 2.0 Système d'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données et procédures) qui permet de collecter, regrouper, classifier, traiter et diffuser de l'information dans un environnement donné[1]. L'apport des nouvelles technologies de l'Information (NTIC) est à l'origine du regain de la notion de système d´information. L'utilisation combinée de moyens informatiques, électroniques et de procédés de télécommunication permet aujourd'hui -selon les besoins et les intentions exprimés- d'accompagner, d'automatiser et de dématérialiser quasiment toutes les opérations incluses dans les activités ou procédures d'entreprise. Enjeux du système d'information[modifier | modifier le code] Le système d'information est le véhicule des entités de l'organisation. Les différentes natures du système d'information[modifier | modifier le code] Système d'information et finalité de la chose[modifier | modifier le code]
Un outil simple et gratuit pour faire des votes ou des élections en ligne Après l’outil vous permettant de créer des sondages gratuits en ligne, voici le tour d’un autre outil plus ou moins similaires mais plus précis : créer des votes en ligne. D’ailleurs son nom, Let’s Vote Now!, est on ne peut plus révélateur. Quelques caractéristiques du service : Gratuit, pas d’enregistrement et pas de mot de passe ou d’identifiantsL’administrateur reçoit les résultats par emailTout le monde peut voterGrand nombre de paramètresEn anglais Il s’agit donc d’un outil plutôt utile si vous avez besoin d’effectuer des élections au sein d’un comité ou d’une association, et le tout en ligne bien sur. Let’s Vote Now!
Comment le partage de l'information contribue-t-il à l'émergence d'une « intelligence collective » ? - Réviser le cours - Sciences de gestion - Première STMG À l'échelle de l'organisation, comme à celle de la société, les TIC, technologies de l'information et de la communication, offrent de nouvelles formes de collaboration et de coopération. La maîtrise des conditions d'élaboration et d'utilisation de l'information collective est un enjeu pour les organisations. 1. L'e-communication représente l'échange d'informations utilisant un réseau informatique comme support. Les organisations développent ce type de communication en externe avec leurs différents partenaires (clients, fournisseurs…) et en interne pour leurs collaborateurs. L'e-communication étant pratiquée essentiellement sur Internet, il est important de mettre en place des systèmes de sécurité qui permettront de préserver l'organisation des virus et autres attaques informatiques. 2. La collaboration La collaboration consiste, pour les membres de l'organisation, à travailler ensemble en échangeant et en partageant des informations dans le but de donner forme à un projet commun. 3.
Guide pratique du travail collaboratif en communautés virtuelles d'apprentisssage : Articles : Thot Cursus Le Campus Virtuel TIC (CvTIC) de l'Université de Limoges délivre des formations à distance préparant à des métiers comme celui de webmaster, d'assistant TIC et de formateur e-learning. Dans le cadre de ces formations, les étudiants sont organisés en communautés virtuelles d'apprentissage qui pratiquent le travail collaboratif. Le CvTIC qui revendique un savoir-faire en matière de travail collaboratif par les communautés virtuelles d'apprentissage indique que : "les communautés virtuelles forment au travail en équipe et permettent la co-formation : elles sont composées des étudiants, des assistants, des professeurs et selon les cas, d’experts et de professionnels". En soutien à cette modalité d'apprentissage, il met à la disposition de son public-cible un guide pratique du travail collaboratif en communautés virtuelles d'apprentissage élaborés par Isabelle Gonon, la responsable pédagogique d'alors. Le guide de huit pages (.pdf) traite de la notion de communauté virtuelle. Télécharger :
PGI : Le changement c’est maintenant ? Chaque société, quel que soit sa situation et son degré de maturité, doit faire face à des enjeux économiques, organisationnels et technologiques pour conserver sa dynamique de croissance. SI ses processus et son système d’information ne peuvent l’aider à faire face, elle risque de se retrouver rapidement en difficultés : baisse du niveau de satisfaction de la clientèle, opportunités manquées, temps de réaction trop long. Des études montrent qu’environ « la moitié des utilisateurs de PGI exploitent des versions anciennes de ces derniers, datant parfois de cinq à six ans par rapport à la version courante ». Il est sans doute temps de faire évoluer le cœur de votre système d’information : le présent article, vous propose des éléments d’analyse. Les signaux d’alerte 1. La personnalisation extrême des PGI traditionnels, très coûteuse en maintenance, est l’une des différences principales avec les progiciels modernes. 2. 3. 4. 5. 6. Les PGI modernes vous redonnent le contrôle
L'intelligence collective On trouvera ici une versionPowerpoint™ de cet exposé. L’Internet n’est pas une technologie comme les autres, il a une valeur et un potentiel anthropologiques. C’est sur ce principe que Pierre Lévy, sociologue réputé, fonde le concept d’intelligence collective dans son ouvrage L’Intelligence collective : pour une anthropologie du cyberspace paru initialement en 1994. La juxtaposition des deux termes n’est pas choisie au hasard : ici, " intelligence " doit être compris comme dans le sens de " travailler en bonne intelligence " par exemple. L’expression finale se rapporte finalement à deux choses : Le concept à valeur politique au sens large, celui se référant à toutes les activités humaines en société organisée. I ? De par sa formation, Pierre Lévy a les compétences requises pour comprendre et analyser les problématiques liées à l’impact des nouvelles technologies sur les systèmes de signes et l’évolution culturelle en général. " Qu’est-ce que l’intelligence collective ? II ?
MENE1135637A Article 1 - Le programme de l'enseignement de sciences de gestion en classe de première et le programme des enseignements spécifiques des spécialités de la classe terminale de la série sciences et technologies du management et de la gestion - gestion et finance, mercatique (marketing), ressources humaines et communication, systèmes d'information de gestion - sont fixés conformément à l'annexe du présent arrêté. Article 2 - Les dispositions du présent arrêté entrent en application à la rentrée de l'année scolaire 2012-2013 pour la classe de première et à la rentrée de l'année scolaire 2013-2014 pour la classe terminale. Article 3 - Le directeur général de l'enseignement scolaire est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait le 28 décembre 2011 Pour le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative et par délégation, Le directeur général de l'enseignement scolaire, Jean-Michel Blanquer Annexes