Croyances limitantes Sylvaine Pascual – Publié dans Vie professionnelle / Trait d’union A qui bon vous mettre la rate au court-bouillon pour aller enrichir un patron de toute façon plus large que vous? Et dire qu’il y a des gens qui y laissent leur confiance en eux et leur moral, alors qu’on vous le répète de partout: les grugeurs de Pôle Emploi qui vivent peinards, heureux et épanouis sont légions. Ca n’a pas de sens, autant les rejoindre et donner une fois pour toute raison à tous ceux qui ont fait fond de commerce de leurs jugements sur les chercheurs d’emploi, sur leur faible motivation comme leur bêtise opérationnelle. D’ailleurs en réalité, qui se fatiguerait à chercher un job alors qu’être payé à rien foutre, c’est un rêve d’autant plus accessible qu’en ces temps sinistres, rien de plus facile que de se faire virer ou de négocier une rupture conventionnelle. Celui-là j’y suis très attachée, d’autant qu’il est facile à mettre en place, puisqu’il est abondamment recommandé. L’égo est merveilleux.
Symposium sur l’apprentissage intégré au travail dans les collèges et universités de l’Ontario Le vendredi 18 novembre 2016, de 9h à 14h, le Conseil ontarien de la qualité de l’enseignement supérieur, le COQES, le nouveau Centre d’études en enseignement supérieur canadien et international à l’IEPO ainsi que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle de l’Ontario tiendront un symposium d’une demi‑journée sur le thème de l’apprentissage intégré au travail (AIT): L’apprentissage intégré au travail dans les collèges et universités de l’Ontario : vouloir apprendre au travail, c’est possible – secteurs particuliers et processus optimal. Ce symposium permettra d’approfondir en quoi le processus d’apprentissage intégré au travail peut préparer de façon optimale les élèves à la réalité du milieu de travail, étant donné qu’ils seront nombreux à exercer une profession qui n’est pas forcément liée à leur domaine d’études. Obtenir ici de plus amples renseignements sur le symposium.
Faire passer les autres avant soi, peur de ne pas être aimé(e), penser d'abord aux autres Ce type de fonctionnement psychologique où l'on fait toujours passer l'autre avant soi est très répandu. Les psychologues le qualifient parfois d'assujettissement. Certaines victimes en sont parfaitement conscientes et d'autres beaucoup moins. Quand vous faites passer les besoins des autres avant les vôtres, vous vous mettez en danger psychique. L'assujettissement empêche d'être heureux Lucie est souriante, agréable, appréciée des autres. Elle est d'ailleurs étudiante en psychologie car elle s'intéresse énormément à ce que pensent, ce que ressentent les autres. Elle est donc ouverte aux échanges et empathique et deviendra certainement une excellente psychologue. Mais Lucie vit en couple avec Gérard, et, alors qu'elle imaginait devenir psychologue clinicienne, pour consulter et aider les personnes en difficulté, son ami l'a incitée à s'inscrire pour devenir plutôt psychologue du travail. " Il y a plus de débouchés, c'est mieux payé " lui a-t-il expliqué. Lucie se laisse assujettir.
Se débarrasser de ses croyances limitantes avec la PNL “Je n’y arriverai jamais”, “Ce n’est pas possible”, “Je ne suis pas digne de”, “Je ne peux faire confiance à personne”, “J’aurais pu mieux faire”, “Je ne prends jamais les bonnes décisions”, “Je ne suis pas créatif”… Toutes ces petites phrases qui parasitent l’esprit et favorisent les mécanismes d’auto-sabotage sont désignées en PNL (Programmation NeuroLinguistique) par le terme de “croyances limitantes”. Les croyances limitantes sont généralement acquises dans l’enfance, avant 7 ans mais peuvent être également le résultat d’expériences ultérieures. Elles influent directement sur le comportement, la performance, la communication et sont renforcées au fil des expériences négatives. Ce cercle vicieux peut être cassé e n remplaçant les croyances limitantes par des croyances positives, aidantes, et visant à atteindre l’excellence. Ces croyances positives sont désignées par le terme de “Présupposés de la PNL”. De nombreux Présupposés de la PNL existent, je vous propose la liste suivante : 1. 2.
Top 10 des croyances sur soi Vous connaissez mon intérêt pour les croyances, que je considère être la pierre angulaire dans tout processus de changement. Pour rappel, une croyance est une pensée construite et très personnelle dont nous avons l’intime conviction qu’elle est valide, vraie, réelle, authentique et véritable et qui nous sert de repère dans nos actes quotidiens, notre vision du monde, nos jugements sur nous-mêmes, les autres ou le temps. Parfois, voire même souvent, nos freins, nos blocages, nos difficultés quotidiennes sont issues de certaines de ces croyances qui se qualifient alors de limitantes. A noter qu’il n’y a pas une croyance plus limitante qu’une autre; elles le sont toutes à priori et à des degrés divers pour chacun. Ah! Question: « Comment pouvez-vous essayer quelque chose de nouveau en respectant votre besoin de sécurité? J’en connais qui ont été poursuivi en justice pour discrimination et pour moins que ça :-). Déjà, la réussite est un concept trop vague pour s’y appuyer assurément.
Méthode IOD | Transfer IOD La méthode d’intervention sur les offres et les demandes (IOD), créée dans les années 1980¹, propose un ensemble de stratégies de médiation et de soutien, à rebours des fonctionnements habituels, pour réussir l’insertion professionnelle durable de publics en situation de grande précarité. Elle permet d’abord de refuser les représentations invalidantes des publics en insertion et la propension à situer l’insertion sociale en amont de l’insertion professionnelle. Lorsqu’elle est ainsi pensée, en effet, l’architecture des parcours d’insertion diffère l’accès au travail, au risque de laisser perdurer une situation de pauvreté génératrice de stigmates face à l’emploi. Aussi, l’intervention sur les offres et les demandes cherche-t-elle à s’affranchir des préalables et des prérequis pour privilégier la mise en relation directe et répétée des personnes (avant tout victimes d’un déficit de réseau professionnel) et des entreprises.
Valeurs (psychologie) Pour les articles homonymes, voir Valeur. La psychologie, notamment la psychologie sociale, tente d'établir le lien entre théorie et pratique. De plus, la psychologie sociale s'intéresse aussi bien à une vision supra-individuelle qu'individuelle des valeurs. Comme les motivations, les valeurs ont fait l'objet de modélisations et ont suscité la création d'outils de mesure de leur intensité. Pour les articles homonymes, voir valeur. D'autres disciplines s'intéressent à la notion de "valeur" ou de "valeurs" : Voir les articles spécifiques qui leur sont consacrés. Les valeurs sont définies comme « des préceptes généraux d'une société entière »[6]. Les valeurs varient d'un individu à l'autre, de même que leur degré d'importance. Plusieurs auteurs ont réalisé des recherches sur les valeurs à un niveau individuel et culturel. Ensuite, les théories des valeurs et la typologie des valeurs seront explicitées selon les théories de plusieurs chercheurs classés par ordre chronologique. Exemples : M.
PNL : Les Croyances - idf-coaching.com 1998 – Séminaire de Robert DILTS Les 3 domaines les plus courants de croyances limitantes sont ceux qui concernent le manque d’espoir (ce n’est pas possible), le manque de confiance en ses capacités (je ne suis pas capable) et le manque de mérite (je ne suis pas digne de…). Ces 3 domaines peuvent avoir une influence déterminante sur la santé physique et mentale d’une personne. 1. Le manque d’espoir : la personne croit que, quelles que soient ses capacités, ce but est impossible à atteindre. 2. 3. On parle de manque d’espoir lorsqu’une personne pense que le but concerné n’est pas atteignable. On parle de manque de confiance en ses capacités lorsqu’une personne pense que, même si le but est possible à atteindre, elle-même n’est pas capable d’y arriver. On parle de manque de mérite lorsque la personne croit que, bien que le but soit possible à atteindre et bien qu’elle en ait les capacités, elle ne mérite pas d’obtenir ce qu’elle veut. « Je suis incapable et indigne, je suis une victime ».
Les croyances les plus répandues que nous avons sur autrui Il y a quelques semaines, je vous proposais un classement (purement informel) sur les dix croyances limitantes les plus répandues sur soi-même. Étant donné que les rapports humains c’est aussi avec les autres, je vous propose cette semaine un top dix des croyances sur l’Autre. A l’instar du billet sur les croyances sur soi, ce classement n’a rien de hiérarchique. Il est établit suivant un ordre purement subjectif issu de ma seule boite à penser. Je pense même que l’ensemble de ces croyances sont toutes aussi limitantes les unes que les autres. En bonus track pour chaque croyance citée, je vous propose une piste de réflexion afin de tenter de voir les choses sous un autre angle. Avec cette conclusion issue de la pièce de théâtre Huis clos, de Jean-Paul Sartre, nous avons presque résumé les neuf autres croyances qui vont suivre. Question: « Si l’enfer c’est les autres, qu’en est-il de nous? Je ne nie pas l’existence de ce type d’éventualité. Je m’explique. A la semaine prochaine
Utiliser la Communication Non Violente dans un groupe Qu'on soit en entreprise, en milieu scolaire, dans une association ou dans un cadre familial, la communication fait souvent défaut et dégénère en rapport de force. Face à ce constat, Marshall B. Rosenberg a initié un processus de communication inspiré notamment des travaux des psychologues Carl Rogers et d'Abraham Maslow, ainsi que des religions orientales et a donné naissance à la Communication Non Violente. Qu'est-ce que la Communication Non Violente ? Il s'agit d'un ensemble de concepts et d'outils destinés à aider les gens à établir des relations bienveillantes en eux-mêmes et avec les autres. Pour le Centre pour la Communication Non Violente promoteur de la méthode, l'objectif est également de développer une éthique de vie fondée sur l'empathie et la compassion, et un projet pour une société pacifiée. Quel impact sur le territoire ? Mettre en place la Communication Non Violente Mettre en place la Communication Non Violente permet au groupe de : Comment faire ? 1. 2. 3. 4.