Comment le cerveau se nettoie pendant le sommeil Dormir permet au cerveau de se débarrasser des toxines accumulées pendant la période de veille. Des chercheurs américains pensent avoir compris pourquoi l'homme est programmé pour dormir plusieurs heures chaque nuit, alors que le sommeil le laisse vulnérable aux prédateurs. Le repos permettrait au cerveau de se débarrasser des toxines produites pendant les phases d'éveil, explique l'équipe de l'Université de Rochester (État de New York) dans un article publié jeudi dans la revue Science. «La nature récupératrice du sommeil résulterait de l'élimination des déchets produits par l'activité neuronale qui s'accumulent pendant la période d'éveil», explique le Dr Maiken Nedergaard, le principal auteur des travaux. Le rôle essentiel du sommeil dans l'apprentissage et la mémoire était déjà connu, mais les chercheurs ont cette fois expliqué l'intérêt chimique d'alterner les phases d'éveil et de repos. «Cette recherche a permis de voir que le cerveau a deux états de fonctionnement distincts.
La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau Selon une étude américaine, la pratique régulière de la méditation modifie l'activité de l'amygdale (en rouge ci-dessus), cette zone du cerveau notamment impliquée dans la peur, le stress et d'anxiété. Crédits : Life Science Databases(LSDB) Une étude américaine montre que la pratique régulière de la méditation modifie de façon durable le fonctionnement du cerveau. S'engager dans une pratique régulière de la méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau, selon une étude menée par par des chercheurs de l'Hôpital Général du Massachusets (Boston, Etats-Unis), et publiée le 1er novembre 2012 dans la revue Frontiers in Human Neuroscience. Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d'une personne en train de méditer a un fonctionnement différent de celui habituel, cette étude vient aujourd'hui montrer que la méditation peut aussi engendrer des modifications neuronales durables, c'est-à-dire subsistant après l'activité de méditation proprement dite. Résultat ?
Comment développer les capacités de mémorisation des élèves ? Varier ce qui est à mémoriserLe maître aide les élèves à repérer les méthodes pour apprendre : un poème une saynète, un dialogue dont il dira l’une des répliques une histoire des événements et leur date un résumé un croquis, un schéma un plan, une carte des tables d’addition, de soustraction, de multiplication, de division des tables de conjugaison l’orthographe des mots d’une liste donnée une règle d’orthographe une autodictée la définition de mots en géométrie, en géographie, etc. une leçon complète en sciences, histoire, géographie, éducation civique, etc. Varier les types de supports et de formalisation des connaissances : mots/phrases/textes/schémas ; dans le cahier/le classeur/un carnet/le manuel/une fiche volante/le dictionnaire, etc. Dans la présentation de ce qu’il faut retenir, on utilisera aussi bien l’oral que l’écrit (pour permettre à l’élève de connaître à la fois la prononciation et l’orthographe). Claire Boniface, IEN Paris.
Le traitement de l’erreur et la notion de progression dans l’enseignement/apprentissage des langues 1L’erreur est souvent perçue comme un élément perturbateur dans le processus d’enseignement/apprentissage. Dans l’enseignement des langues, plus que dans tout autre domaine, l’erreur dérange ; lorsqu’un apprenant se trompe, l’enseignant a parfois l’impression d’avoir échoué dans sa mission. Si l’erreur dérange, il n’en demeure pas moins que l’enseignant y est confronté au quotidien et qu’il doit, s’il la considère comme un problème, tenter d’y remédier. Nombreux sont les enseignants de langue qui considèrent que le problème émane des apprenants. Quelles solutions peut-on apporter à des difficultés rencontrées sur le terrain ? 2Il s’agira également de faire le point sur la notion d’erreur dans l’enseignement/apprentissage des langues avant de proposer des pistes de réflexion et d’action pour un traitement de l’erreur plus efficace. 1.1. 4Notre démarche a consisté, dans un premier temps, à établir l’inventaire des difficultés que nous n’étions pas parvenues à surmonter sur le terrain.
Article Rolland Viau Introduction Les élèves en difficulté d’apprentissage ont souvent des problèmes de motivation. Leurs difficultés à apprendre, leurs nombreux échecs et l’image qu’ils ont aux yeux des autres élèves amènent bon nombre d’entre eux à se démotiver et à perdre tout intérêt à apprendre en contexte scolaire. Que pouvons-nous faire pour les aider à reprendre goût à l’apprentissage? Par cette conférence, nous aimerions proposer un cadre de référence afin d’aider les enseignants qui travaillent auprès des élèves en difficulté d’apprentissage à mieux analyser les problèmes motivationnels que ces élèves rencontrent et à intervenir plus efficacement sur les facteurs liés à la classe qui influent sur leur dynamique motivationnelle. Trois questions guideront notre démarche dans le cadre de cette conférence. Intervenir auprès des élèves afin de susciter leur motivation est souvent une tâche ardue. Pourquoi se préoccuper de la motivation de l’élève en difficulté d’apprentissage ? Les activités en classe
Présentation - 8ème Colloque sur l'Autoformation Guide Compétences clés Mode d'emploi Ce guide est organisé autour de 2 livrets pour agir : l’un pour créer, l’autre pour animer des situations de formation dans le cadre des compétences clés. Ce sont 2 processus de réalisation étayés par des fiches outil et des fiches éclairage. Ces ressources sont complétées par des aides, des références et une présentation. Chaque type de ressource est repéré par un pictogramme et/ou une couleur. Libre à vous d’utiliser ces ressources selon vos besoins. Avertissement : Ce guide a été conçu pour PC équipé d’Office 97-2003. Livret pour concevoir ou pour animer une situation de formation ; il indique les étapes de réalisation Fiche outil à compléter pour réaliser une des étapes du livret Au format Word ou Excel Fiche synthèse permettant de rassembler les données issues des fiches outil Fiche éclairage précisant les définitions, concepts, cadre de travail Lien pour aller plus loin : définitions, informations/points de vue complémentaires, documents de référence…
59 Banques d'images gratuites Toute image trouvée sur Internet et que vous pouvez télécharger est gratuite et vous pouvez en faire ce que vous voulez pour un usage privé, Il est donc inutile de se poser la question. Puis-je utiliser telle ou telle photo que j’ai trouvée sur Internet? Réponse : oui. En revanche, si vous commencez à bloguer, à vous servir d’une photo pour faire de la pub, créer des encarts publicitaires, les choses sont un peu moins évidentes et il ne s’agit donc pas de rigoler sous peine d’avoir quelques ennuis, même si la probabilité d’avoir des problèmes avec la justice est minime, je ne tenterais pas trop le diable. Pour utiliser des photos pour votre travail, il y a trois solutions : Fabriquer vos photos vous-même. Personnellement, je pense que je transgresse en permanence le droit d’image sur ce blogue, car beaucoup de mes illustrations sont des copies d’écran de produits et services Internet. . y a t’il une personne ou plusieurs personnes sur la photo? Ouf, cela fait presque 60 sites !
Où trouver des photos gratuites et de qualité pour vos créations ? Un nouveau mouvement de partage a vu le jour sur le web depuis quelques mois : les designers et photographes s’organisent pour mettre à disposition des photos gratuites, libres de droits et de qualité pour vos créations. Traditionnellement en agence, les photos pour illustrer nos maquettes et un projet finalisé proviennent de banques d’images comme IStock, Fotolia, Shutterstock ou encore Getty Image pour ne citer qu’elles. Les banques de photos libres de droits et gratuites existent-elle depuis belle lurette, comme le site SXC.hu par exemple. Au-delà de ces méthodes « classiques », une sorte de tendance d’entraide entre créatifs du web voit ouvrir de nouveau sites, proposant des photos gratuites de toutes beautés. Unsplash Mis en ligne il y a quelques mois déjà, le site Unsplash a en quelque sorte lancé le mouvement. Gratisography Le site vient tout juste de voir le jour. Little Visual Dotspin Le site se présente déjà plus comme une galerie. PicJumbo Death to The Stock Photo New Old Stock
Les 15 dates qui ont fait le Web 01net le 12/03/14 à 20h30 Bon anniversaire ! 12 Mars 1989 // Première version du web « Vague, mais prometteur ». 20 décembre 1990 // Le premier site ! Le tout premier site et le tout premier serveur Web voient le jour sur l’ordinateur NeXT que Sendall a offert à TBL. Le premier site web... très dépouillé. 6 Aout 1991 // le Web s'ouvre à tous Tim Berners-Lee annonce le projet sur le groupe alt.hypertext de Usenet –les forums primordiaux d’Internet, où les pionniers échangent déjà depuis 1979 ! 30 avril 1993 // Une techno désormais publique Quelques mois après le lancement du navigateur Mosaic, qui fait exploser l’intérêt pour le WWW, le Cern fait passer son projet dans le domaine public et publie son code source. Mosaic était le premier navigateur à pouvoir intégrer des images dans les pages web. Janvier 1994 // Yahoo! Naissance de Yahoo! Juillet 1995 // Amazon.com 16 Aout 1995 // Internet Explorer Microsoft lance son propre navigateur pour faire concurrence à Netscape, qui fait un carton.
Apprendre à questionner ? Quand Socrate peut encore être utile ! Les débats autour des compétences informationnelles des jeunes, leurs habiletés, leur naïveté, leur absence de sens critique sont entrés désormais dans le champ de la banalité. Ils acquièrent des connaissances « futiles » et pas des connaissances « utiles », déclarait un orateur lors de la conclusion du séminaire sur le manuel numérique organisé par le ministère de l’éducation les 20 et 21 janvier à l’ENS de Lyon. Ils ne maîtrisent pas réellement l’ordinateur disent les autres enseignants, il leur faut des cours d’informatique disent encore d’autres, fiers d’annoncer qu’ils ont obtenu une option informatique en terminale et que l’informatique entre à nouveau dans l’enseignement. Renvoyons donc à la lecture du livre « la culture au pluriel » de Michel de Certeau (Points 1973 – 1987) ainsi qu’à celle du livre « Les nouveaux modes de comprendre » de Pierre Babin et Marie France Kouloumdjian (Le Centurion 1983). A suivre et à débattre…
Des obstacles aux apprentissages comme appuis pour les surmonter 28 février 2010 Henri Boudreault Apprendre, Didactique professionnelle, Environnement didactique, L'apprenant, Le contexte, Objet d'apprentissage, Pratique pédagogique Figure 1 : Éléments à considérer pour surmonter les obstacles aux apprentissages. Le rôle d’un enseignant est de faire apprendre. Cela semble facile à dire, mais beaucoup plus difficile à mettre en oeuvre. Si nous désirons élaborer des environnements d’apprentissage pertinents et efficaces, il faut pouvoir identifier les obstacles que cet environnement devra permettre de surmonter. Conscient de cette distinction je propose donc que l‘on s’attaque aux problèmes d’apprentissage dans une démarche qui fait en sorte de considérer les problèmes que nous ne désirons pas voir apparaître plutôt que de trouver des solutions pour atténuer le problème lorsqu’il apparaît. Étant donné que je considère l’apprenant au coeur de l’organisation de ses apprentissages, j’ai fait en sorte de ne retenir que ceux qui le touchent plus directement.
Motivation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La motivation est, dans un organisme vivant, la composante ou le processus qui règle son engagement pour une activité précise. Elle en détermine le déclenchement dans une certaine direction avec l'intensité souhaitée et en assure la prolongation jusqu'à l'aboutissement ou l'interruption. Cette notion se distingue du dynamisme, de l'énergie ou du fait d'être actif. Se manifestant habituellement par le déploiement d'une énergie (sous divers aspects telle que l'enthousiasme, l'assiduité, la persévérance), la motivation est trivialement assimilée à une « réserve d'énergie ». Mais plus qu'une forme « d'énergie potentielle », la motivation est une instance d'intégration et de régulation d'une multitude de paramètres relatifs aux opportunités d'un environnement et aux sollicitations d'une situation. « Rien n'est plus insondable que le système de motivations derrière nos actions[1]. » Histoire du concept[modifier | modifier le code] En résumé :
Comment étudier efficacement en 5 étapes Comment étudier ? Comment comprendre et retenir la masse incroyable de matière vue au cours ? Quelles techniques bien utiliser pour bien mémoriser ? Et comment répondre aux questions du prof ? Comment ne pas être trop stressé pendant une épreuve ? Vu le nombre d’ados désemparés devant leur feuille blanche lors des examens, il semble bien que la dernière matière enseignée au programme soit « Apprendre A Apprendre »… Pourtant, apprendre cela s’apprend. Tout le monde peut appliquer ces méthodes d’apprentissage et améliorer ses performances. (Cliquez sur la carte pour la voir sur Biggerplate. Je reviendrai sur chacune de ces étapes lors de prochains billets, mais faisons d’ores et déjà un petit tour d’horizon de cette méthode d’étude efficace en 5 étapes. 1. Apprendre, cela demande d’abord de la motivation. Quels sont mes objectifs ? Autant de questions qui vous font avancer et diminuent d’autant votre stress que vous regagnez une certaine maîtrise de vos études. 2. 3. 4. 5.