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1001 films

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Steven Spielberg I - Mise en scène Le succès rarement démenti de presque tous les films de Spileberg s'apuient sur un cinéma classique basé sur l'enchainement action-réaction. Sugarland Express, Les dents de la mer, Les aventuriers de l'Arche perdu et ses suites, Jurassik parc et la sienne, Hook, Minority report ou La guerre des mondes relèvent de ce que Gille Deleuze appelle la grande forme de l'image-action : une série d'actions doit restaurer une situation initiale dégradée pour aboutir à une situation réconciliant ou sauvant une communauté menacée. Mais le tempéremment de Spielberg le pousse aussi vers des films sans doute plus personnels, pas obligatoirement plus réussis qui ont pour but d'interroger le pourquoi et le comment d'une situation qui n'était pas donnée comme telle au départ. Tel est le cas de Duel (un camion menaçant), Rencontres du troisième type (un monde avec des extra-terrestre), E.T. 2 -Biographie Avec son ami George Lucas, il conçoit le projet des Aventuriers de l'Arche Perdue.

Fritz Lang Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Lang. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Friedrich Christian Anton Lang[1], de son nom complet, naît dans une famille de la grande bourgeoisie. Le jeune Fritz manifeste des dons pour la peinture et le dessin, et une grande passion pour les récits d'aventures, fables fantastiques, exotiques et policières. Il décide de rompre avec sa famille et entame un tour du monde qui va durer, selon ses dires, de 1908 à 1913[3]. Les choses se compliquent le 28 juin 1914 à Sarajevo, avec l'assassinat de François Ferdinand, le prince héritier d'Autriche. 1919 est une année charnière pour Fritz Lang. Premiers pas et premiers succès[modifier | modifier le code] Thea von Harbou fut comédienne puis auteure de feuilletons littéraires. Cinéma parlant[modifier | modifier le code] Son premier film parlant est M le maudit — M est le titre original — réalisé en 1931.

Le voyage dans la lune de Georges Méliès Le professeur Barbenfouillis, président du Club des Astronomes, décide d'entreprendre une expédition sur la Lune. Accompagné de six savants, il monte dans un obus gigantesque tiré par un non moins énorme canon. Arrivés sans encombre sur la Lune, les astronomes découvrent le "clair de Terre", puis s'endorment, épuisés. Ils rêvent d'étoiles et de comètes présentées ou chevauchées par de merveilleuses créatures. Mais ils sont réveillés par une tempête de neige. L'obus redescend sur la Terre, tombe au fond d'un océan, remonte à la surface de l'eau, puis est remorqué vers le port. La lune était déjà le sujet de La lune à un mètre réalisé par Méliès en 1898. Cependant, d’autres oeuvres que le livre de Jules Verne, publié en 1865, ont certainement influencé Georges Méliès. Entre ces deux dates, une autre oeuvre a vu le jour qui a probablement été une source d’inspiration pour Georges Méliès : Le Voyage dans la Lune écrit par Albert Vanloo, E.

Metropolis de Fritz Lang Scénario : Thea von Harbou. Avec : Brigitte Helm (Maria et le robot), Alfred Abel (Joh Fredersen), Gustav Fröhlich (Freder). 2h30. Depuis mars 2010, la version complète de Metropolis est disponible, les ajouts par rapport à la version de 2001 (près de 25 % du film) sont signalés ici entre parenthèses (voir : l'histoire de la restauration). I Prélude Carton : "Le médiateur entre le cerveau et les mains doit être le cœur". L'aiguille atteint le chiffre dix sur la grande horloge des heures de travail de Metropolis. La relève des équipes. Un complexe de théâtres, bibliothèques et stades, c'est "le club des fils". En tentant de la rejoindre, Freder découvre la ville du bas et son asservissement. Bouleversé, il court chez son père et implore sa pitié. Et Justement, Grot, le premier contremaître, arrive avec deux plans de sabotage. Retournant dans l'usine souterraine, Freder voit un ouvrier s'effondrer sur une machine-horloge et lui propose de prendre sa place. II Intermède III Furioso

"Aelita"(1924)de Yakov Protozanov Comme spectacle de science-fiction socialiste avec des décors magnifiques qui évoquent le constructivisme et le cubisme, Aelita était le premier film à grand-budget fait en Russie.Avec une année et un demi passée dans sa réalisation , Aelita a été fait dans l'intention d'obtenir un film populaire idéologiquement correct qui pourrait rivaliser avec les grands succés du cinéma d' Hollywood. Cependant, l'influence du film est difficile à estimer Costumes au style géométrique jouant du noir et blanc . Les décors incroyables au dessin avant-gardiste dues à Alexandra Exter et son protégé Isaak Rabinovich seraient bientôt repris par Fritz Lang dans Métropolis, et les décors de la planète Mongo dans Flash Gordon rappellent fortement la vision de Mars dans Aelita. Le dessin artistique choisi pour Aelita est un moyen simple de dépaysement extra terrestre. Des piques partent en rayonnant du chapeau de la Reine. Gussev et Kratsov aménent beaucoup au côté comique du film.

Yakov Protazanov Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Yakov Protazanov Iakov Aleksandrovitch Protazanov (en russe : Яков Александрович Протазанов ) [ 1 ] est un réalisateur, scénariste, acteur et producteur russe et soviétique né le 4 février 1881 à Moscou ( Russie impériale ), mort le 9 août 1945 à Moscou ( Union soviétique ). Biographie [ modifier ] Protazanov termine en 1900 une école secondaire de commerce et travaille comme vendeur, puis comptable dans le magasin moscovite Schrader et compagnie, puis entre 1904 et 1906, il se rend avec ses économies en France , afin de poursuivre sa formation personnelle. À partir de 1910, il est engagé par Paul Timan qui monte alors une nouvelle compagnie et il tourne plusieurs films muets avec Vladimir Gardine [réf. nécessaire] . Il a déjà une solide réputation, lorsqu'en 1914, alors que la compagnie de Tilman se délite à cause de la guerre, il est engagé par Josef Ermolieff , à la même époque que l'acteur Ivan Mosjoukine . Filmographie [ modifier ]

Aelita de Yakov Protazanov Le 4 décembre 1921, à 18h27 toutes les radios de la terre captent un étrange message. Au Japon et dans l'empire colonial français ces mots "Anta… Odeli… Uta" laissent indifférents. Il n'en est pas de même en Russie où l'ingénieur Loss, qui dirige temporairement la station radio de Moscou croit que ce curieux message vient de l'espace et plus précisément de Mars où il espère pouvoir se rendre grâce à un vaisseau dont il dessine les plans avec son ami l'ingénieur Spiridonov Sa jeune épouse, Natacha travaille dans un centre d'évacuation où elle vient en aide aux soldats qui reviennent du front, tel le soldat Goussev, comme aux milliers d'émigrants en provenance des campagnes. ce soir, elle finit plus tôt et elle appelle son mari afin qu'il vienne la chercher. Celui-ci est perdu dans ses pensées et imagine que sur le sol de Mars, la reine Aelita et sa fidèle suivante Ikhoshka espionnent le vieux gouverneur Touskoub. Apres chaque nouvel échec expérimental, Loss se met à rêver de Mars.

Alexeï Tolstoï - Aelita : Russkaya Fantastika En 1923, le comte Alexeï Tolstoï, déjà alors un écrivain reconnu, rentre d'exil et décide de se faire le chantre de la Révolution, devenant au passage l'écrivain officiel de la période stalinienne. Profitant de ce retour, il publie son premier roman de Science Fiction, Aelita, roman d'aventures martiennes. Aelita est bien un roman de son temps: l'action se passe à Saint-Pétersbourg, peu de temps après la fin de la guerre civile. Pris en main par Aelita, la fille du potentat local, ils vont apprendre en une semaine, grâce à la technologie de pointe de ce monde, la langue locale et s'initier à cette culture, laquelle s'avère être profondément inégalitaire: une poignée de nantis, avec l'aide de l'armée, règne sur l'immense masse prolétarienne. Raconté comme cela, très rapidement, Aelita pourrait passer pour un simple roman d'aventures martiennes, comme il s'en écrivait déjà beaucoup dans le monde anglo-saxon. Plus agréable à lire, elle n'en est pas moins, parfois, une belle infidèle.

Cinéma russe et soviétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cinéma russe et soviétique fut pendant longtemps un des plus importants du cinéma européen. Il a connu une importante crise durant les années 1990 et compte, depuis le milieu des années 2000, de nouveau parmi les cinématographies européennes les plus prolifiques. La phrase de Lénine, « le cinéma est pour nous, de tous les arts, le plus important », a fait le tour du monde. Le film d'Eisenstein, le Cuirassé Potemkine (réalisé en 1925) et qui met en images la Révolution russe de 1905, figure toujours au premier rang du panthéon des historiens du cinéma. Le cinéma soviétique a donné lieu à diverses interprétations qui se sont focalisées soit sur « le cinéma comme œuvre d'art », « le cinéma comme propagande » ou « le cinéma comme objet de spectacle ». Période tsariste[modifier | modifier le code] En 1910, Ladislas Starevitch réalise le premier film d'animation russe : Lucanus Cervus, tourné avec des insectes naturalisés.

Nouvelle politique économique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Nouvelle politique économique (NEP) (en russe : Новая экономическая политика – Novaya ékonomitcheskaya politika) est une politique économique mise en œuvre en URSS à partir de 1921 qui introduit une relative libéralisation économique. La NEP a été créée pour redynamiser le pays qui, en 1921, sortait de la Première Guerre mondiale, d'une révolution, d'une guerre civile et d'une famine. Bien qu'il s'agisse de « faire au capitalisme une place limitée pour un temps limité », Lénine n'avait toujours pas fixé de limites dans le temps à la NEP lors de sa mort en 1924. Contexte et enjeux[modifier | modifier le code] La guerre civile prend fin en 1921 et la Russie, un pays industriellement peu développé et à forte composante paysanne, est considérablement affaiblie économiquement. De plus, la révolution internationale n’a pas suivi la révolution d’Octobre : la tentative allemande a échoué en 1918. Histoire[modifier | modifier le code]

Critiques spectateurs pour le film Aelita Estonius 13 abonnés | Lire ses 879 critiques | Suivre son activité 5 - Chef d'oeuvre Une excellente surprise, ce film où le ton léger prédomine et où l'humour n'est pas absent se déguste telle une friandise. Evacuons déjà les conneries débitées en boucle sur ce film.

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