Jack Dorsey victime de "l'effet démo" Loïc Le Meur et Jack Dorsey, LeWeb’09, 9 décembre 2009 (Dave Cynkin/Flickr) C’est toujours quand on fait une démo que rien ne marche. Ce qu’on appelle « l’effet démo » a été vécu ce matin par le cofondateur de Twitter, Jack Dorsey. Ce dernier était ce mercredi matin l’hôte de marque de la conférence LeWeb’09 qui ouvrait ses portes à Paris. Il venait non seulement pour parler de Twitter mais d’un nouveau projet : un système de micro-paiement. Jack Dorsey branche sur son iPhone un petit bloc noir, passe sa carte bancaire. Loïc Le Meur, l’organisateur et animateur de la discussion, jure plusieurs fois que « ça avait parfaitement marché pendant les répétitions ». « Nous allons essayer avec le réseau Orange », annonce Dorsey. « C’est la pire démo que j’aie jamais faite », avoue-t-il. « Ca marche partout, excepté à Paris. » Un dictionnaire informatique publié sur le site Linux-france.org définit ainsi l’effet demo : L’effet Bonaldi et la loi de l’emmerdement maximum
Pearltrees lève 5 millions d'euros et prépare un modèle freemium Loin de la Silicon Valley, les startups françaises dont l’unité de base en matière de levée de fonds est le million d’euros ne courent pas les rues. C’est pourtant le cas de Pearltrees, qui vient de boucler son quatrième tour de table, avec cette fois une levée record dans sa jeune histoire : 5 millions d’euros. Pour ceux qui seraient passés à côté des épisodes précédentes, Pearltrees est un service web de « social curation », autrement dit un site qui permet de collectionner, organiser et partager toutes les trouvailles que l’on repère sur le web dans une page simple et conviviale, sous forme de « perles » regroupées en grappes thématiques, les « pearltrees ». 15 millions de perles ont été créées à ce jour par les membres du site. Si cela ne vous parle pas, je vous conseille juste d’essayer : c’est plus facile à utiliser qu’à expliquer. 4 levées de fond en 3 ans, et monétisation en vue… le site Pearltrees
PearlTrees : Organiser le web en se basant sur PearlTrees (litéralement “arbres de perles” en français) est un service web que j’ai pu découvrir quelques jours avant LeWeb 2009. En effet, différents “arbre de perles” (PearlTrees) ont été créés à l’occasion de cet événement pour montrer l’intérêt d’organiser le web sous forme d’arborescences permettant ainsi de lier des sites ou des pages ou des personnes par différents liens thématiques. Pendant la première journée de LeWeb, j’ai pu avoir une démonstration puis discuter de ce service atypique et dont l’intérêt n’est pas forcément facile à qualifier mais que je vous propose de découvrir. Qu’est-ce que PearlTrees ? [Suite:] La première impression est plutôt bonne en ce sens qu'e l’interface est ludique à utiliser: on manipule graphiquement des perles (correspondant à un lien) reliées entre elles… On peut créer des grappes de liens, des arbres et des sous-arbres comme pour des répertoires de favoris, mais de manière visuelle sous forme d’arborescences. Des fonctions de réseau social:
Web : Jack Dorsey: «Twitter a vocation à se générali INTERVIEW - Jack Dorsey, concepteur du réseau de microblogging, revient sur l'évolution de Twitter et sur son avenir. À 34 ans, Jack Dorsey est l'inventeur de Twitter, qu'il a conçu en deux mois à peine, en 2006. Conçu pour envoyer des SMS groupés depuis Internet, le site est rapidement devenu un réseau social à part entière, où chaque membre peut diffuser et recevoir en temps réel des messages courts d'une liste de personnes qu'il choisit. Utilisable sur le Web ou le mobile, Twitter a connu un succès foudroyant, avec plus de 25 millions d'utilisateurs. Aviez-vous prévu le succès de Twitter ? Nous n'avions pas idée que les choses iraient si vite. Comment considérez-vous Twitter aujourd'hui ? Twitter permet à tout un chacun d'être son propre média. Twitter a-t-il vocation à devenir un phénomène massif ? Je suis convaincu que Twitter a vocation à grandir et à se généraliser. Google intègre désormais les messages Twitter dans ses résultats de recherche. Comment sera Twitter à l'avenir ?
– 4 points essentiels pour optimiser l’efficacité de Scoop it Scoop it est un excellent outil de veille et curation (gratuit, avec compte payant en option). Il permet de trouver et partager du contenu, si possible en le commentant auparavant pour l’enrichir. Ses avantages : il centralise l’information, que vous pouvez classer en divers « topics » (sujets)il permet un partage simultané sur 5 réseaux sociaux en mode gratuitil draine nettement plus de visites que par le partage du même contenu séparément sur les réseaux sociaux C’est aujourd’hui un outil très efficace pour améliorer sa visibilité et regrouper une audience qualifiée autour d’un sujet. Je vous avais expliqué ici comment créer un topic efficace sur cet outil. Voici à présent 4 points essentiels pour aller plus loin avec Scoop it. Créez une identité graphique Sur la page qui réunit vos topics, Scoop it vous permet seulement de mettre un avatar, principalement une photo de soi ou un logo. Il sera donc important de personnaliser chaque topic, puisqu’il est possible : Vous pouvez : Le petit plus :
Matthew Buckland Fresh off the plane, I’m on the road with the Travelling Geeks, and the first startup on our schedule is an innovative Paris-based social bookmarking operation, Pearl Trees. Their founder and CEO, Patrice Lamothe, says the site offers users a new way to “curate” or organise their lives on the web. They’ve secured about US$3,5m in funding for what is essentially a type of visual social bookmarking site, offering a relatively unique drag-and-drop interface. The site, which has been in development for about 7-months, relies heavily on Flash. The UI may appeal to some, but not to others. Pearl Trees is still in Alpha (0.4.1) and by Lamothe’s own admission it’s still early days. I find it interesting that the site offers no way for a user to search through his or her bookmarks. Apart from Pearl Tree’s visual edge, which actually may be a inhibitor, I struggle to find how it differentiates itself from other social bookmarking sites?
Les coulisses du web 09 | Presse-Citron La conférence Le Web c’est un peu comme le Festival de Cannes (sans la montée des marches) : ceux qui n’y sont pas se demandent un peu ce qu’on y fait, et ceux qui y sont profitent de l’occasion pour côtoyer des people du web, refaire le monde autour d’un buffet, ou publier frénétiquement des La conférence Le Web c’est un peu comme le Festival de Cannes (sans la montée des marches) : ceux qui n’y sont pas se demandent un peu ce qu’on y fait, et ceux qui y sont profitent de l’occasion pour côtoyer des people du web, refaire le monde autour d’un buffet, ou publier frénétiquement des articles sur l’avenir du temps réel (?) Nous sommes d’ailleurs nombreux à adopter le même plan de bataille : networking is king ! Sauf qu’ici le navire ne coule pas, et que l’ambiance est plutôt à une certaine forme d’optimisme. Alors, on fait quoi au Web ? C’est une question qui revient fréquemment. Avant d’y retourner pour cette fois assister à quelques conférences, assez parlé : place aux images maintenant.
Dictionnaire de l'informatique et d'internet PearlTrees better than bookmarking for organizing stuff online Since the Web first came online in 1991, it has grown and improved beyond anyone’s predictions. Unlike the gray background, mono-spaced text and ugly graphics on the Web in those early years, today’s Web is rich with video, interactive applications and other useful and distracting goodies. But even after all these years, the way we find, navigate and save content on the Web works pretty much like it always did. Here’s a page with text. But now there’s a conspicuously innovative new option. The service is functionally similar in some ways to social bookmarking sites, but its core function is “curation,” which Wikipedia defines as the “selection, preservation, maintenance, and collection and archiving of digital assets.” Described by one blogger as a social bookmarking tool based on “Six Degrees of Kevin Bacon,” Pearltrees looks a bit like Google’s “Wonder Wheel,” but it isn’t used the same way. The Pearltrees interface is appealing and intuitive to use. Maybe you follow several sports.
Open source sex - Sur le divan avec Violet Blue Chaque année, Loïc et Géraldine Le Meur invitent des personnalités qui sortent des champs habituels technophiles et hyperconnectés à l'événement LeWeb. [...]Disponible et curieuse, Violet Blue a accepté de répondre longuement à mes questions pour la soucoupe, dont voici un (trop court) résumé. Chaque année, Loïc et Géraldine Le Meur invitent des personnalités qui sortent des champs habituels technophiles et hyperconnectés à l’événement LeWeb. Après Philippe Starck et Paolo Coelho, cette année parmi les surprises “outside of the box” figure en bonne place la sexologue, blogueuse et auteur Violet Blue. Son approche de la sexualité et des relations humaines, pour le moins originale et décalée, rapproche technologies informatiques et sexualité sous une formule devenue célèbre : Open source sex. Disponible et curieuse, Violet Blue a accepté de répondre longuement à mes questions pour la soucoupe, dont voici un (trop court) résumé. Quel est le principe de l’Open source sex ? Pas du tout !
Comprendre l'ordinateur - C'est quoi internet ? D'où vient internet ? A l'origine, internet était un réseau militaire américain (appelé ARPANET). Le but était de concevoir un réseau résistant aux attaques: si un point du réseau est anéanti, les informations doivent pouvoir continuer à circuler. Internet a donc été conçu dès l'origine comme une toile d'araignée. Si un point du réseau est anéanti, les autres points du réseau peuvent continuer à communiquer entre eux car les informations empruntent automatiquement un autre chemin. Ce système est encore actif aujourd'hui: Quand vous envoyez ou recevez des informations par internet, vos paquets de données transitent par des dizaines d'ordinateurs différents et peuvent même emprunter des chemins différents. C'est cette «toile d'araignée» qui a donné naissance au mot «web» (qui signifie littéralement «toile d'araignée») et au «World Wide Web» («toile d'araignée mondiale», terme qu'on utilise généralement pour désigner les pages HTML liées entre elles). Pourquoi le mot «internet» ? Liens