Sneaker Romance: A Fetish Love Story – Otter Lieffe or: Since When is Masculine a Compliment? The whole world seems to have come together without my consent and arrived at the grand decision that in this life I will be a gay guy. Again and again people who don’t know me assume that I’m both male and gay. But they couldn’t be more wrong. Perhaps it’s because I’m a non-transitioning trans woman with a body considered masculine, but a manner that’s pretty feminine. I’m not actually a gay guy. And it really is toxic. And, in a way, I guess, I’m asking for it (to quote rape culture). For a person with my physical appearance, ‘masculine’ is the only option I have if I want to get laid, in the way that I want to get laid. I also kind of like wearing boy stuff for sex. Because for trans women, everything we do or say has the potential to delegitimise us. Shave: sexist cliché. So much of femme pride building has been about precisely this: feeling comfortable in what we want to wear. But back to sex: you know… I do want some from time to time.
J'ai plein de potes mais pas d'amis (et je le vis bien) Amélie a plein de potes avec qui elle fait des blagues nulles et parle de politique (non), pourtant elle n’a aucun ami. Et tu sais quoi ? C’est loin d’être la fin de l’univers. Je ne suis pas là pour geindre comme une chèvre qu’on égorge. Pourtant, quand je regarde autour de moi, je me rends compte que la vie a fait un sacré tri. Alors ouais, je me rends compte que j’ai bientôt vingt-deux ans et, qu’en fait, je n’ai aucun ami. Et tu sais quoi ? Quand j’étais petite, c’était facile de s’intégrer. Quand j’ai déménagé j’ai ajouté sa photo dans l’album où je mettais les souvenirs de mes animaux morts. J’ai eu d’autres amis, et j’ai encore changé d’école. Aujourd’hui j’en connais peu qui accepteraient de porter un bob en public. Je pense que c’est à partir du collège qu’on peut vraiment parler d’amitié, de liens du sang, de pacte des strings loups et tout ce genre de trucs spirituels. Et puis le bac est arrivé, avec comme finalité l’immense carrefour des études supérieures.
"Do You Think You're Beautiful?": Navigating A Bearded, Black, Disable – Philadelphia Printworks Photo by AE | Words by Whitney P. Lopez ***It is important and necessary for me to point out several things before you read this essay. As though it were an inside joke between myself and the universe, people send me photos and interviews of Harnaam Kaur all the time. As a nonbinary, gender non-conforming person, my womanhood is directly linked to what doctors view as my elevated testosterone and the thick body hair that others suggest I “correct.” There are levels to the performativity of gender, gendered beauty, and desirability in my daily life. The reward for confidence when you are Black, plus-sized, hairy, and undesirable is often abuse, whether verbal, physical, or mental. Being physically disabled adds another layer to how society forces me to pick sides when it comes to my gender presentation.On days when the left side of my body is dragging and palsied, I am just visible enough for people to choose to ignore me or to inflict harm.
Je suis en couple depuis dix ans — Témoignage Mon amoureux et moi venons de célébrer nos dix années d’amour autour d’un repas gastronomique, option chambre d’hôtel avec jacuzzi. Notre entourage ne pensait pas que ce qui pouvait sembler être une amourette d’adolescents durerait autant, et se déroulerait aussi bien ! Les débuts Nous nous sommes rencontrés un soir de mars grâce à une copine commune. J’avais 14 ans, et lui en avait 17 — dois-je mentionner qu’à l’époque nous portions tous deux le combo jogging-Requins sans s’être concertés ? Après cette soirée, nous avons continué à discuter et à nous découvrir via MSN et AIM (la belle époque). En septembre, il devait partir à cinquante kilomètres de chez nous pour ses études. On se voyait le samedi, mais toujours avec d’autres amis. Mes parents ne nous ont pas nécessairement facilité la vie : ils ne voulaient pas qu’on dorme ensemble, qu’on voyage à deux… On a dû improviser nos moments à nous, autrement. Un couple idyllique ? On a besoin de la présence de l’autre. Le même toute la vie ?
Black, queer, feminist, erased from history: Meet the most important legal scholar you’ve likely never heard of Ruth Bader Ginsburg has emerged as the liberal hero of a hopelessly right-wing Supreme Court, a ram in the bush for those of us who look on in horror as the court presides over the dismantling of key pieces of legislation like the Voting Rights Act, anti-discrimination law and affirmative action policy, which have been so critical to African-American advancement since the 1960s. In a recent interview at Georgetown University, Ginsburg reflected on the history behind one of her key legal accomplishments, the 1971 case of Reed v. Reed. After an estranged couple lost their son, his mother, Sally Reed, petitioned to administer his estate. But Idaho law maintained that “males must be preferred to females,” in such matters. Ginsburg authored the plaintiff’s brief for the case when it reached the Supreme Court, arguing that the 14th amendment protected against discrimination based upon sex. But much of the legal groundwork for that argument can be attributed to Dr.
5 trucs auxquels on s'habitue quand on n'a pas de conversation Dans la vie privée, au boulot, quand on rencontre des amis d’amis, ou de la famille d’amis, il y a toujours un moment où on doit faire la conversation à quelqu’un. C’est un concept très cool, que j’aime beaucoup ça la plupart du temps et dans lequel je m’en sors bien. « Malheureusement » (je mets des guillemets parce qu’il faudrait pas en rajouter trois couches non plus), je ne suis pas toujours bonne dans l’exercice. Forcément, quand on n’a pas (ou peu) d’intimité avec l’interlocuteur/l’interlocutrice, qu’on n’est pas en plein flirt ou quand on ne lui parle pas de trucs précis dans un contexte particulier, c’est vachement plus difficile de vivre sereinement ce genre de moments. Amis, amies de la conversation, prenons-nous la main (la mienne est moite, parce que je me suis stressée toute seule pour me mettre en conditions) et revenons sur les trucs récurrents de quand on n’a pas de conversation. La sensation d’être abandonné Cependant, ce repos n’est pas éternel. La solitude à deux.
“It’s better to be a cute boy than an ugly butch... Ces personnes qui nous inspirent et nous font avancer Rappelez-vous: dès sa mort, et pendant le mois qui a suivi, l'effet «Mandela» a été planétaire, global, universel. L'influence de sa personnalité à la fois courageuse et bienveillante semblait avoir touché chacun d'entre nous. Ses comportements à différents moments de son histoire étaient sur tous les médias du monde, son parcours était raconté dans les écoles… L'humanité semblait soudain adouber sans réticence un modèle, une source d'inspiration. En réalité, chacun d'entre nous a dans son for intérieur ses «Mandela» à lui, panthéon de personnes célèbres, vivantes ou non, personnages de fiction ou proches existant vraiment, qu'il admire et qui l'aident à se construire. Ces personnes sont appelées «rôles modèles» (role modeling), car des études ont montré qu'elles ont une influence significative sur nos choix professionnels, notamment, ou notre manière d'être parents. Des influences stimulantes La métamorphose est alors tangible. Des «étoiles» «L'homme est prédisposé à la bonté»
The Myth of the Queer Arab Life For most people in the West life in the Arab world for gay people is hard to fathom. It is, like many other parts of life in this region, complicated. One of my favorite television shows growing up was a Ramadan special featuring an Egyptian performer called Sherihan. Twelve years later, when I was living in Amman, my boyfriend broke up with me. I did not see this transformation coming, but it happened. I blamed Sherihan. Many Arabs who engage in same-sex practices do not identify as ‘gay’, ‘lesbian’, or ‘bisexual’. Like everywhere else in the world, sexual identities in the Middle East intersect with class, gender, and the complex interplay of private and public, making it impossible to speak of a singular ‘queer Arab’ experience. Ronen Zvulun/Reuters Despite this, queer Arab bodies have become a battleground in a much larger war. The question then becomes: who owns queer Arab bodies? Without my boyfriend by my side, I did not know what to do with my days. Thank You! “Is this better?”
Sélection d’histoires d’amour… pas comme les autres Haut les coeurs, les enfants ! C’est bientôt le printemps, les oiseaux vont se remettre à chanter, et les allergies vont venir remplacer votre rhume des foins quasi-permanent ! N’est-ce pas le moment idéal pour parler d’amouuur et de coeurs en fête qui frétillent à l’unisson ? Comment ça, « c’est bon on en a déjà bouffé à la St Valentin et puis il fait moche » ? À lire aussi : Sélection de livres qui rendent heureuxSix sagas littéraires à commencer d’urgence Parce qu’on vous aime d’un amour vrai, à la rédac’, quelques membres ont accepté de parler d’histoires d’amour qui les ont marquées, et qui, selon elles, changent un peu des histoires habituelles… Virus L.I.V.3 ou la mort des livres, par Christian Grenier Cy. commence d’entrée avec un roman qui, à vue de nez, ne parle pas beaucoup d’amour… Mais qui sait ? C’est l’histoire, inspirée de Farenheit 451, d’une jeune femme sourde nommé Allis qui vit dans une société divisée en deux clans, les « Lettrés » et « Zappeurs ».
Agender, une série photo de personnes ni homme ni femme Avec sa série Agender, la photographe américaine Chloe Aftel a voulu mettre en lumière les personnes qui se considèrent ni homme ni femme, afin de les soutenir. Sasha (Crédit Image : Chloe Aftel) Pour Chloe Aftel, tout commence en novembre 2013 lorsque Sasha Fleischman, 18 ans, endormi(e) dans le bus pour rentrer chez il/elle, se réveille en sursaut à cause des flammes qui commencent à lui brûler les jambes. Non pas un accident, mais une “blague” d’un camarade de classe qui n’appréciait visiblement pas que Sasha se considère d’un genre neutre. Je pense que vous devriez être en mesure de réaliser que ce n’est pas juste une farce… Je ne veux pas être trop sévère parce que les gens font des choses stupides. Cet événement a marqué à jamais la photographe, qui s’est alors rendue chez Sasha, pour la/le photographier alors qu’il/elle avait encore des bandages. Edie (Crédit Image : Chloe Aftel) (Crédit Image : Chloe Aftel)
Les voix intérieures de Virginia Woolf L'essentiel - Viriginia Woolf fut la première écrivaine à introduire avec succès dans la littérature la « petite voix intérieure » de notre esprit. - Avant elle, le Français Édouard Dujardin tenta une retranscription « impressionniste » de l'intériorité dans le récit littéraire, et l'Irlandais James Joyce restitua la pensée comme un phénomène décousu et sans ponctuation… une approche peu adaptée au roman. - Aujourd'hui, psychologues et neuroscientifiques recherchent le chuchotement de notre pensée dans notre cerveau. L'auteur Sebastian Dieguez, docteur en neurosciences, travaille au Laboratoire de sciences cognitives et neurologiques de l'Université de Fribourg, en Suisse. Du même auteur «À quoi penses-tu ? Une fois la question posée s'ouvre un abîme bien incertain. Une technique novatrice L'écrivaine britannique Virginia Woolf (1882-1941) a fait de l'exploration de la pensée humaine sa signature artistique. Le scanner littéraire
The Danish Girl : un mélo transphobe Remarques préliminaires : le film met en scène un personnage pour lequel les genres masculin et féminin sont en concurrence, et qui oscille entre les deux. Aussi l’usage fait du prénom et du pronom pour désigner ce personnage dans cet article tâche-t-il de correspondre à cette ambivalence telle qu’elle se manifeste à l’écran. En revanche, lorsqu’il est fait mention du personnage historique Lili Elvenes en tant que tel, le genre féminin est systématiquement employé. The Danish Girl, réalisé par Tom Hooper est sorti le 20 janvier 2016 sur les écrans français et a déjà reçu un certain nombre de distinctions[1]. Le film prétend narrer l’histoire vraie de la première personne, Lili Elbe, à avoir subi une opération de réassignation sexuelle en 1930. L’histoire de la véritable Lili est sans doute plus proche de la réalité dans le livre Man into Woman: an Authentic Record of a Change of Sex. Titre et casting : le film s’annonce mal Deuxième indice : le casting. Mince, il m’arrive un truc… agmu
Les créatures fantastiques d’Ellen Jewett Merge | Mr Mondialisation Les créatures fantastiques d’Ellen Jewett Merge Ellen Jewett Merge est une artiste Canadienne dont l’art puise sa source dans l’imaginaire et le fantastique. Chacune de ses sculptures est construite par une accumulation d’innombrables petits composants. Des objets qui forment le plus souvent des représentations de plantes et d’animaux d’une finesse incroyable. L’artiste est née à Markham dans l’Ontario, au milieu des escargots et des tritons, écrit-elle. Pour Ellen, les plantes et les animaux ont toujours été la surface sur laquelle les humains ont gravé les fondements de la culture et de l’identité. Découvrons ensemble quelques sublimes sculptures fantasmagoriques d’Ellen Jewett Merge ! Sources : ellenjewettsculpture / Thisiscolossal