Aires de camping-cars : les communes rappelées à l’ordre ! © strasbourg.eu Le contentieux des arrêtés municipaux illégaux en matière de stationnement des camping-cars est en perpétuelle hausse. Petit rappel des règles aux communes, notamment touristiques, qui font la chasse aux camping-caristes. Dernière commune en date à avoir été condamnée par le tribunal administratif de Pau, le 18 juin 2015 : la commune d’Anglet (Pyrénées- Atlantiques) qui s’est vue annuler son arrêté du 18 mai 2012 qui considérait que les aires payantes comme solution de substitution au stationnement des camping-cars sur la voie publique. Peu de temps avant, le 3 avril 2015, c’était la commune de la Bernerie-en-Retz (Loire-Atlantique) qui s’est vue annuler son arrêté qui réglementait de façon abusive le stationnement des camping-cars et des véhicules aménagés. Police du maire Tout d’abord, seul le maire est compétent pour prendre un arrêté de police administrative. Proportionnalité requise De plus, interdire le stationnement des camping-cars la nuit est illégal.
A Rennes, l’eau redevient un bien commun - Rennes, correspondance A partir du 1er juillet, les ménages de Rennes ont vu leur facture baisser, les dix premiers mètres cubes d’eau étant gratuits. Au-delà, plus la consommation sera importante, plus le prix du mètre cube augmentera. Chaque rennais consomme actuellement 54m3 d’eau en moyenne par an. Ces mesures répondent à deux objectifs : garantir l’accès à l’eau et préserver la ressource. Rennes Métropole, elle, veut atteindre un tarif unique de l’eau d’ici 2020 pour l’ensemble des 56 communes du bassin rennais. Les grandes villes ont tendance à choisir une entreprise privée pour gérer leur réseau hydraulique, parce que la logistique et les compétences requises sont élevées. Gestion publique de l’eau potable en France par département En France, les prix de l’eau potable sont variables, ils sont liés à la qualité initiale, à la distance à parcourir pour l’approvisionnement et à l’entretien du réseau. Prix de l’eau en France La gestion publique : l’enjeu de la transparence
Pas-à-pas : Fabriquer de l’eau de lavande sur Deco.fr “ Un parfum « maison » dans votre maison ! ” Que diriez-vous de conserver quelque temps les odeurs de votre jardin en flacon afin de prolonger le plaisir de ces fragrances estivales qui vous remplissaient de bonheur. C'est ce que nous vous proposons dans cette fiche pratique. Contrairement à une eau de lavande classique qui utilise des huiles essentielles et beaucoup d'alcool afin de les diluer, il s'agit ici de réaliser une version « light » et « bon marché » de cette eau de lavande que vous conserverez quelques mois seulement. La difficulté principale est de se procurer un peu d'alcool éthylique (éthanol), c'est-à-dire, neutre et pur. Difficulté : facile Coût : 1,5€ (30ml d'alcool en pharmacie) Outillage nécessaire : - Brins de lavande - 30ml d'alcool éthylique (neutre et non dénaturé) - Flacon(s) hermétique (s) - Une ou des étiquettes (s) - Casserole, torchon, cafetière, ciseaux. Etape 1 : Faites chauffer de l'eau Etape 2 : Portez à ébulittion Etape 3 : Laissez infuser
Les marchés gratuits, la nouvelle tendance anticonso Argentine / / Amérique du sud Né dans la capitale argentine, le concept fait fureur et a déjà conquis de nombreuses villes à travers tout le pays. L’idée est simple, il s’agit de donner le superflu sans rien attendre en retour, pour que plaisir d’offrir ne rime pas avec consommation effrénée. Les marchés gratuits connaissent un grand succès en Argentine. © jforth (Flickr) Une idée qui gagne du terrain Imaginez un instant une brocante ou derrière chaque étal vous seriez accueillis par un : « Servez-vous, tout est gratuit ». Baptisés gratiferias, ces événements ont vu le jour grâce à Ariel Bosio, un jeune argentin lassé de devoir transporter ses possessions de déménagement en déménagement. « J’ai découvert que je pouvais vivre avec moins d’affaires que ce que je possédais et que c’était surtout une question d’habitude ». N’importe qui peut organiser un gratiferia, à la seule condition que le lieu soit public, ouvert à tous et qu’aucun droit d’entrée ne soit exigé. Ni troc, ni réciprocité
Si vous êtes harcelé par un huissier ou un cabinet de recouvrement, envoyez leur cette lettre. Elle a un pouvoir… apaisant. À l’heure actuelle, nous sommes tous confronté à ce qui est plus un racket qu’autre chose ! Nous payons pour : Une dette que nous n’avons pas contractéUne Union Européenne dont nous ne voulons pasSauver des banques qui nous ont escroqué (Dexia, Libor/Euribor, assurances sur les prêts, actifs toxiques, frais de comptes et prélèvement divers, pertes sur les marchés, etc…)Des conflits qui ne nous concernaient pasDes pays africains que nous pillonsDes politiques qui ne travaillent ni dans notre intérêt ni dans celui de leur pays mais pour le transatlantismeD’autres politiques payés à frauder ou à jouer/dormir durant les séances de l’assemblée nationale (entre autre…)Etc… Et si nous pouvions commencer à ne plus payer? Au moins certaines choses? D’où l’importance de ce sujet. Un organisme, une banque, une maison de crédit, un opérateur, une assurance ou autre, estime que vous leur devez de l’argent. Votre créancier mandate un cabinet de recouvrement. Messieurs, Il n’y a pas d’autres procédures.
People's Supermarket : le supermarché du peuple, par le peuple Réagissez : Partagez : Il s’agit d’un nouveau concept alternatif : le supermarché du peuple, par le peuple (son slogan « For the people, by the people »). Une formule plutôt innovante en temps de crise. People’s Supermarket* est un supermarché pas tout à fait comme les autres. People’s supermarket a récemment vu le jour à Londres, dans le quartier d’Holborn, près du British Museum. Conçu par Arthur Potts Dawson, ex chef du « Fifteen Restaurant » de Jamie Oliver, le supermarché est innovant et propose une alternative aux supermarchés traditionnels. L’idée ? People’s Supermarket : un concept bien huilé pour lutter contre le gaspillage alimentaire Le supermarché « People’s supermarket » met en son coeur la notion de développement durable. Ainsi, une carotte invendue pourra se retrouver sous forme de soupe, voire en compost. Exemple : une carotte qui n’aura pas trouvé preneur au bout de quelques jours, sera utilisée par la « People’s Kitchen ». Le plat sera ensuite proposé en magasin.
Pour changer le monde, achetez-le ! Une Carrotmob, késako ? Encourager l’achat massif d’un produit afin de favoriser un comportement plus responsable. Nouvel outil de mobilisation collective, le concept aspire à transformer le système par sa base : la consommation. Reportage au cœur de la première carrotmob 2014. Paris, reportage Au bar de L’Absurde imposture dans le 18ème arrondissement de Paris, une soixantaine de personne ont défilé jeudi au comptoir, pendant toute une soirée, pour goûter le fameux cocktail « Bugs Bunny » : sur une base de purée de carotte, un jus d’orange pressé accompagné de pulpes de citron vert tempère l’amertume de la tequila, le tout réhaussé par un trait de sirop fraise. Le cocktail a été concocté spécialement pour cette soirée, où déguisements de lapin et carottes en peluche agrémentent l’ambiance tamisée orange de la salle. Ce soir-là, le bar L’Absurde promet de changer de fournisseur d’électricité, pour passer chez Lampiris qui vend une électricité 100% verte. Simon est plus sceptique.
Jardins, débrouille, partage : comment Detroit redémarre Faillite. Le mot a été lâché la semaine dernière. Sous le poids de ses 18,5 milliards de dollars de dette (14 milliards d’euros), l’ancien bastion de la construction automobile américaine a touché le fond. A Detroit, les retraités craignent désormais pour leurs pensions, les salariés municipaux pour leurs emplois. Mais depuis des décennies déjà, les 700 000 personnes qui n’ont pas quitté la ville apprennent à composer avec le déclin. Abandonnées par les entreprises puis délaissées par la municipalité, elles font de la débrouille un nouveau mode de vie. Terra eco : Alors que Detroit vient de se déclarer en faillite, vous parler de « destruction créatrice », qu’entendez-vous par là ? Flaminia Paddeu : Detroit est souvent présentée comme « la tête d’affiche de la décadence urbaine » ou comparée à la Nouvelle-Orléans après Katrina, sans l’ouragan. Sans compter l’agriculture urbaine... C’est une des manifestations les plus visibles de ce mouvement multiforme. Aujourd’hui, c’est le cas.
Une vie de T-shirt Avant de finir en boule au pied du lit, le T-shirt en coton a poussé dans un champ. Votre préféré, celui avec un marsupilami, mais aussi tous les caracos, foulards, caleçons et pyjamas du monde ont réclamé quelque 36 millions d’hectares de terres agricoles. « Pour un T-shirt de 200 grammes, nécessitant près de 250 grammes de fibres en raison des chutes de transformation, une surface cultivée pendant un an de 5 mètres carrés est nécessaire », explique Gérard Bertolini, dans une étude passionnante publiée dans Le Courrier de l’environnement de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique). Comptez le nombre de T-shirts dans votre armoire : parions que certain(e)s d’entre vous ont réquisitionné l’équivalent du Champ-de-Mars ! Le coton Le premier exportateur mondial de coton, les Etats-Unis, n’a besoin que d’une poignée d’ouvriers pour récolter mécaniquement la plante. Cette solution permettrait pourtant d’éviter les relents de pesticides. Les produits chimiques La confection L’usage