VIDEO. La politique de la BCE dénoncée à coups de confettis Afin d'être publiée, votre note : - Doit se conformer à la législation en vigueur. En particulier et de manière non exhaustive sont proscrits : l'incitation à la haine raciale et à la discrimination, l'appel à la violence ; la diffamation, l'injure, l'insulte et la calomnie ; l'incitation au suicide, à l'anorexie, l'incitation à commettre des faits contraires à la loi ; les collages de textes soumis au droit d'auteur ou au copyright ; les sous-entendus racistes, homophobes, sexistes ainsi que les blagues stigmatisantes. - De plus, votre message doit respecter les règles de bienséance : être respectueux des internautes comme des journalistes de 20Minutes, ne pas être hors-sujet et ne pas tomber dans la vulgarité. - D'autre part, les messages publicitaires, postés en plusieurs exemplaires, rédigés en majuscules, contenant des liens vers des sites autres que 20Minutes ou trop longs seront supprimés.
Autoroutes : gagnant-gagnant ?, par Philippe Descamps (Le Monde diplomatique, mai 2015) Après un combat homérique mené au sabre en plastique et suivi d’une retraite en rase campagne, le premier ministre français Manuel Valls s’est félicité de l’accord trouvé avec les sociétés concessionnaires d’autoroutes (SCA), le 9 avril dernier. Une décision « gagnante-gagnante », selon le ministre de l’économie Emmanuel Macron. Gagnants, les usagers et l’Etat le seraient en apparence. Les tarifs n’augmenteront pas en 2015. Les SCA verseront 500 millions d’euros pour améliorer les infrastructures dans les trois prochaines années et investiront 3,2 milliards d’euros dans le cadre d’un « plan de relance autoroutier », probablement urgent à la veille du sommet mondial de Paris sur le climat... Gagnantes, les sept principales sociétés d’autoroutes le seront assurément. Deux chiffres permettent de comprendre ce que les SCA risquaient de perdre. Mais l’emploi, la dette, l’investissement ?
2015 – The global crash won’t happen | GEAB We could have also headed our article : “No, the inflating of the Chinese stock exchanges isn’t a bubble”. The Shanghai stock exchange’s exuberant 100% increase in one year is certainly frightening, but it reflects a real dynamic (or rather a correction) of the country’s economic development. One really has to wonder how real money (Chinese savings) invested in real needs (infrastructure, social systems, decontamination, Silk Road…) could create a bubble. Our team wants to pick up on the inconsistency that there is of being afraid of the financial centres’ gain in value in the obvious economic development zones like China whilst, for years, the whole world must marvel at the Western stock exchanges’ numbers, in particular in the US, in complete contradiction to the economic fundamentals of the areas concerned. Sub-parts of this article : From globalization to globality: the plumbing problem has been solved ! It’s only up to the West to grasp this great opportunity.
Le soutien de la Banque mondiale au déplacement forcé de population En Indonésie, la Banque mondiale Banque mondialeBM La Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) a été créée en juillet 1944 à Bretton Woods (États-Unis), à l’initiative de 45 pays réunis pour la première Conférence monétaire et financière des Nations unies. En 2011, 187 pays en étaient membres. Cliquer pour plus... La Banque mondiale est, surtout pendant les quinze années de l’âge d’or du programme (1974–1989), sa principale source de financement extérieur. Entre 1950 et 1974, le nombre de personnes déplacées par le gouvernement dans le cadre de la transmigration atteint 664 000. Bien que la Banque mondiale qualifie la transmigration de « plus grand programme au monde de réinstallation volontaire », très vite il apparaît que le programme sert aussi à débarrasser Java des habitants indésirables. La transmigration hérite des terrains qui ne sont pas réservés aux concessions forestières et dont la caractéristique commune est d’être très peu productifs. Plus
Soupçons de fraude massive sur le CIR Le graphique monrant la fraude au CIRLa question pèse 6 milliards par an. Le Crédit d’impôt recherche (CIR) est-il efficace ? Permet-il l’essor de la recherche privée et l’embauche de scientifiques ? C’est avec cet argument massue – l’innovation source de croissance et d’emplois – que Nicolas Sarkozy, en 2007-2012, puis François Hollande, ont fait du CIR le dispositif fiscal le plus généreux du monde en faveur des entreprises déclarant une activité de recherche et développement (R & D). Généreux au point de soulever le doute sur son efficacité. De leur plongée dans les chiffres de l’administration pour la période 2007-2012, les scientifiques ont dressé un constat sans appel : «Aucune corrélation entre le CIR et la création d’emplois de R & D dans l’ensemble des entreprises», constatent-ils. L’inefficacité du CIR est donc solidement établie pour les entreprises de plus de 500 salariés. Quant à «l’effet de levier» tant vanté, il n’est guère au rendez-vous que pour les PME.
La grosse erreur grecque du FMI L’accumulation des difficultés financières du gouvernement grec oblige à imaginer ce qui était jusqu’ici impensable : un défaut sur un prêt du Fonds monétaire international. Au lieu d’exiger le remboursement et davantage d’austérité, le FMI devrait reconnaître sa responsabilité pour la situation difficile du pays et faire grâce d’une grande partie de la dette. Les lourdes obligations de la Grèce vis à vis des gouvernements européens, du FMI et de la Banque centrale européenne remontent à avril 2010, quand ceux-ci ont fait une erreur fatale. Au lieu de laisser la Grèce faire défaut sur ses dettes insurmontables vis-à-vis de créanciers privés, ils ont choisi de lui prêter de l’argent pour qu’elles les payent en totalité. L’erreur de 2010 À l’époque, nombreux étaient ceux qui appelaient à une "restructuration" immédiate de la dette, infligeant ainsi des pertes aux banques et aux investisseurs qui avaient prêté de l’argent à la Grèce. Perseverare... Piégé par les priorités de ses actionnaires
RPT-La banque centrale argentine maintient la pression sur Citibank (Répétition titre) BUENOS AIRES, 6 avril (Reuters) - Des inspecteurs de la banque centrale argentine ont pénétré lundi dans le siège social de Citibank Argentina, un nouvel épisode du bras de fer entre Buenos Aires et le groupe de fonds d'investissement américains qui refuse d'accepter une décote sur la dette publique. Les autorités financières argentines affirment que Citibank Argentina a violé la législation de leur pays en concluant un accord avec ces "hedge funds". Elles ont interdit la banque de toute opération sur les marchés de capitaux et considèrent que son directeur général ne peut plus représenter son employeur. "Une inspection de Citibank Argentina aura lieu aujourd'hui pour vérifier qu'elle fonctionne", a déclaré à Reuters un porte-parole de la banque centrale. Quatre inspecteurs portant des badges de la banque centrale ont ensuite été aperçus entrant au siège de la banque à Buenos Aires.
«Il y a des indices d’illégalité» On l’avait quitté, fin janvier, à Genève, dans l’expectative après un premier contact avec les toutes jeunes autorités grecques. On a retrouvé Eric Toussaint la semaine dernière au Forum social mondial à Tunis, fraîchement nommé coordinateur scientifique de la Commission d’audit de la dette grecque instituée par le parlement national. La nomination du politologue belge, porte-parole du Comité pour l’annulation de la dette du tiers monde, à la tête d’un groupe d’une trentaine d’experts chargés d’évaluer la licéité des créances de l’Etat hellène est un signe politique fort. Quelle est l’importance de cette commission d’audit de la dette grecque? Concrètement, quel sera l’apport de la commission? Votre expérience dans la commission d’audit de l’Equateur en 2007 sera précieuse. Sans préjuger du résultat de l’audit, y a-t-il des indices d’illégalité? Qu’en est-il des dettes antérieures à 2010, principalement auprès de banques, que les accords avec la Troïka ont permis de rembourser?