Quilting Patchwork Appliqué - Bienvenue dans ce blog consacré au patchwork, à l'appliqué et au quilting Crochet Cars Collection and Some Other Vehicles | Cool Tickling It is quite unusual to see a car covered in crochet. But, now you get to see it in our particular photo collection of crochet vehicles collected from around the web. In this collection we gathered 32 cool photos that show how vehicle can look at some different ways. Smart car was done by the artist Magda Sayeg for the Roman Arts Festival, “Il Lusso Essenziale: 2 crocheted Volkswagen Bug: Crochet Car created by a Jitka Havlíčková in 2001 in the courtyard of the Kampa Museum of Contemporary Art in Prague and is called Viktor – pomnik automobilu which roughly translates to Victor (or maybe Victoria) – Memorial Car: Crochet Covered Morris Minor coming to us from a New York City art exhibition where the creator Polish-born, NYC-based artist Olek set up a living environment called “Knitting is for Pussies” at the Christopher Henry Gallery in Nolita: Crochet Car on Art Basel, a HUGE art show that happens in Miami every year: Crochet Car from Houston Art Car Parade 2010:
ressources histoiredesarts Armand Albert Rateau, Salle de bain de Jeanne Lanvin, vers 1924-1925 Charlotte Perriand, Chaise longue en bambou, Japon, 1941 Jean Prouvé, Siège d’amphithéâtre, 1952 Antoine Philippon (1930-1995) et Jacqueline Lecoq (née en 1932), MeubleTV, tourne-disque et bar, 1959 Christian Daninos, Fauteuil « Bulle », 1968 Pierre Paulin, Fumoir, Palais de l'Elysée, 1970. Sylvaine Dubuisson, Bureau « 1989 », modèle « Appartement » : bureau du ministre Marc Newson« Pod of Drawers », Création du modèle, 1987, Exemplaire n° 5 de la série limitée à dix exemplaires, 1999 Sylvaine Dubuisson, Lampadaire « L », Manufacture Nationale de Sèvres, 1990 Philippe Starck: « W.W. Helen Von Boch, Service à pique-nique « La Bomba », 2001 Evelyne Faivre-Martin et Charles Gaultier-Guibert Historiens de l'art
L'art du textile revient en force dans les galeries Le moment serait-il à nouveau propice pour faire tomber la barrière qui entoure les arts décoratifs ? L’intérêt pour ce domaine a souvent été lié à des motivations politiques de démocratisation de l’art, d’Arts & Crafts au Bauhaus. Et, depuis quelque temps, les tapisseries sont de retour dans le champ de l’art, après des années limitées aux commandes ponctuelles d’institutions spécialisées. mé-tissage Dans le sillage de quelqu’un comme David Hammons et ses tapis fabriqués avec des tresses afro, de jeunes artistes tissent des liens entre des cultures minoritaires pour dynamiter les associations simplistes entre culture et authenticité, identité et territoire. point de croix transgenre Il faut dire aussi que l’incroyable apport des femmes aux arts décoratifs et à la tapisserie (de Sophie Taeuber-Arp à Sonia Delaunay et Eileen Gray) a joué un rôle-clé dans l’émancipation des artistes féminines. Pedro Morais
art textile "Trapèze de Cristoba"l, 1971 à droite. "Lianes Nantaises", 1973 à gauche Sheila Hicks Aux sources de l'Humanité Evoquer l'histoire du textile c'est assurément remonter aux sources de l'humanité. " La découverte de fibres teints de lin naturel et de laine de chèvre portant des marques de torsion dans des couches d'argile de la grotte de Dzudzuanaen Géorgie il y a trente quatre mille ans suggère l'utilisation de matériaux textiles. " Si bien que lorsqu'un artiste contemporain consacre son oeuvre à l'art textile, cette relation à l'histoire et à la préhistoire se renforce. Des « Textiles Pré-Incas » à l'oeuvre contemporaine L’œuvre de l’artiste puise ses racines dans les civilisations anciennes auxquelles elle a consacré ses études et des voyages, avec notamment une thèse sur les « Textiles Pré-Incas ». Textile, anthropologie et art contemporain Exposition Sheila Hiclks, 50 ans, I.C.A. Source photo ICA :
Les Deuz’Bro Pont Quai de Marne / Quai de l’Oise, Paris, novembre 2012 La broderie-graffiti, voilà le concept audacieux et passionnant des Deuz’Bro , un collectif d’étudiants en textile qui ont décidé d’envahir l’espace urbain à l’aide du point de croix. « A la manière de la jeune fille qui prépare son trousseau ou du graffeur qui marque son territoire de son sceau, nous venons signer notre passage en brodant notre blaz’ dans la rue. Pour réaliser nos motifs (lettrages ou motifs floraux) nous nous inspirons de grilles de point de croix. Nos outils : Boite à couture, rubans de tulle fluos et ciseaux cigognes! Leur approche du graffiti vient perturber les codes par leurs interventions lentes et raffinée à contresens d’un geste habituellement furtif parfois perçus comme une pollution visuelle. Ces brodeuses de rues poétisent l’espace public en réactualisant l’art domestique de la broderie, « entre le rythme accéléré de la rue propre à notre époque et le geste lent et précis de l’artisan. »
Le portail de la tapisserie contemporaine La Biennale Internationale de la Tapisserie de Lausanne (1962-1995). Pierre Pauli (1916-1970) est, avec Jean Lurçat, à l'origine de la Biennale Internationale de la Tapisserie de Lausanne. Le mouvement des peintres cartonniers s'essoufle. Lurçat constatant l'incapacité d'Aubusson à sortir de ses traditions saisit l'opportunité pour déplacer la capitale de la Tapisserie vers la Suisse. Cette manifestation d'envergure était organisée dans le Musée cantonal des Beaux-Arts, d'une durée de trois mois. En 1962, lors de la première biennale, les tapisseries sont exclusivement murales, soit de haute lice, soit de basse lice. Lors de la deuxième biennale, les oeuvres sont plus abstraites. A partir de 1967, la tapisserie quitte le mur et devient architecture, sculpture en 3 dimensions. Les années 1971-1979 marquent une évolution vers la recherche: La neuvième biennale se propose de faire le point sur l'évolution de l'art textile dans l'ensemble de ses manifestations, de ses destinations .
En images : cinq œuvres de Yayoi Kusama, artiste au point Célèbre surtout pour son obsession des pois, dont elle pastille des surfaces entières jusqu’à créer de véritables environnements pointillistes, l’artiste japonaise Yayoi Kusama, 82 ans, bénéficie d’une rétrospective serrée au Centre Pompidou. Parcours en images, à la découverte de divers aspects moins connus de son travail. No. D., 1959, collection particulière, courtesy Paul Cooper Gallery, New York. Passionnante découverte de cette rétrospective consacrée à Yayoi Kusama, les premières années de travail sont marquées par l’influence de l’expressionnisme abstrait. Accumulations, vue de l’exposition au Centre Pompidou. Au tout début des années 1960, Yayoi Kusama entame une série de sculptures, glanant dans les rues de New York des objets qu’elle hérisse de formes phalliques blanches confectionnées en tissu. Yayoi Kusama dans l’installation Infinity Mirror Room – Phalli’s Field, « Floor Show », Castellane Gallery, New York, 1965.
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