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Alfred de Musset

Alfred de Musset
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Musset. Biographie Enfance Né sous le Premier Empire, le 11 décembre 1810, Alfred de Musset appartient à une famille aristocratique, affectueuse et cultivée, lui ayant transmis le goût des lettres et des arts. Il prétend avoir pour arrière-grand-tante Jeanne d'Arc (son ancêtre Denis de Musset ayant épousé Catherine du Lys) et être cousin de la branche cousine de Joachim du Bellay[1],[2]. Son père, Victor-Donatien de Musset-Pathay, est un haut fonctionnaire, chef de bureau au ministère de la Guerre, et un homme de lettres né le 5 juin 1768 près de Vendôme[3],[4]; aristocrate libéral, il a épousé le 2 juillet 1801 Edmée-Claudette-Christine Guyot-des-Herbiers[5], née le 14 avril 1780[6], fille de Claude-Antoine Guyot-Desherbiers. Son grand-père était poète, et son père était un spécialiste de Rousseau, dont il édita les œuvres. Jeunesse du poète Vie sentimentale et théâtre Dernières années Sépulture Œuvres Romans Autres

Alfred de MUSSET : sa biographie et ses oeuvres "L'Enfant terrible du Romantisme " Né le 11 décembre 1810 à Paris dans un milieu aisé et cultivé. Il entreprit des études de droit et de médecine, qu’il ne termina pas. Il fut reçu dès 1828 dans le "Cénacle" romantique, le prestigieux salon où se réunissaient les principales figures du romantisme, Hugo, Alfred de Vigny et Charles Augustin Sainte-Beuve, qui deviendront ses plus fidèles amis. Précoce, brillant, il publia son premier recueil de vers, Contes d’Espagne et d’Italie (1829), à l’âge de dix-neuf ans. Jeune dandy à la sensibilité quasi maladive, il ne tarde pas à publier ses premiers recueils de vers, ainsi que des pièces dont l'ambiguïté les destine à la lecture plutôt qu'à la représentation scénique. Il connut une infortune relative avec ses pièces de théâtre, telles la Quittance du diable, qui ne put être représentée, et la Nuit vénitienne (1830), qui fut un échec retentissant. Son théâtre et sa poésie sont nourris des tourments. Son oeuvre : Poésie : Théâtre : Roman : anonyme

Victor Hugo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait de Victor Hugo par Nadar. Œuvres principales Victor Hugo Écouter, né le à Besançon et mort le à Paris, est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a joué un rôle majeur dans l’histoire du XIXe siècle. Victor Hugo occupe une place marquante dans l’histoire des lettres françaises au XIXe siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété[3],[4]. Victor Hugo a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre. Biographie Enfance et jeunesse Maison natale de Victor Hugo à Besançon. En 1817, il participe à un concours de poésie organisé par l'Académie française sur le thème Bonheur que procure l’étude dans toutes les situations de la vie. Jeune écrivain La mort de sa mère le 27 juin 1821 l’affecte profondément[20]. François–Victor naît en octobre 1828. Années théâtre Exil

Biographie d'Alfred de Musset Un enfant du siècle Débuts brillants Né le 11 décembre 1810 à Paris dans un milieu aisé et cultivé, doué de grandes facilités, le jeune Musset mena une adolescence dissipée de dandy. Il entreprit des études de droit et de médecine, qu’il ne termina pas, et fréquenta, dès 1828, le Cénacle romantique chez Hugo et chez Nodier, où il rencontra notamment Vigny, Mérimée et Sainte-Beuve. Précoce, brillant, célébré, il publia son premier recueil de vers, Contes d’Espagne et d’Italie (1829), à l’âge de dix-neuf ans et remporta un succès immédiat. Malgré cette gloire précoce, il connut une infortune relative avec ses pièces de théâtre, telles la Quittance du diable, qui ne put être représentée, et la Nuit vénitienne (1830), qui fut un échec retentissant. Auteur doué et sûr de son talent, il fut cependant profondément blessé et échaudé par l’échec de la Nuit vénitienne! Passion et chefs-d’œuvre Dernières années Œuvre de Musset Complexité de l’œuvre Un chef-d’œuvre, Lorenzaccio

Symbolisme (art) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot est proposé par Jean Moréas, qui utilise ici l'étymologie du mot "symbole" (« jeter ensemble ») pour désigner l'analogie que cette poésie souhaite établir entre l'Idée abstraite et l'image chargée de l'exprimer. Pour les symbolistes, le monde ne saurait se limiter à une apparence concrète réductible à la connaissance rationnelle. Il est un mystère à déchiffrer dans les correspondances qui frappent d'inanité le cloisonnement des sens : sons, couleurs, visions participent d'une même intuition qui fait du Poète une sorte de mage. Le symbolisme oscille ainsi entre des formes capables à la fois d'évoquer une réalité supérieure et d'inviter le lecteur à un véritable déchiffrement : d'abord voué à créer des impressions — notamment par l'harmonie musicale — un souci de rigueur l'infléchira bientôt vers la recherche d'un langage inédit. L'influence de Stéphane Mallarmé est ici considérable, ce qui entraîne la poésie vers l'hermétisme.

Charles Baudelaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Charles Baudelaire Charles Baudelaire par Étienne Carjat, vers 1862. Œuvres principales Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité[3]. Éléments biographiques Charles Baudelaire, autoportrait, 1860. Le général Aupick (1789-1857), beau-père de Charles Baudelaire. Un an plus tard, sa mère se remarie avec le chef de bataillon Jacques Aupick. En 1831, le lieutenant-colonel Aupick ayant reçu une affectation à Lyon, le jeune Baudelaire est inscrit à la pension Delorme et suit les cours de sixième au Collège royal de Lyon. De retour à Paris, Charles s'éprend de Jeanne Duval, une « jeune mulâtresse » avec laquelle il connaîtra les charmes et les amertumes de la passion. Dessin de Courbet pour Le Salut public, 1848. Le 24 avril 1864, très endetté, il part pour la Belgique afin d'y entreprendre une tournée de conférences. Annexes

Romantisme français Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le romantisme français est l'expression en France du mouvement littéraire et artistique appelé romantisme. C'est un courant artistique européen qui s'est développé en France au début du XIXe siècle. Le romantisme vient d'un mouvement allemand dont le nom signifie "tempête et passion". Première période : Le Préromantisme (1750-1800)[modifier | modifier le code] Querelle des Anciens et des Modernes — Les drames de Diderot[modifier | modifier le code] La révolte contre l'imitation de l'Antiquité avait commencé dès la fin du XVIIe siècle par la Querelle des Anciens et des Modernes. Il faudra, pour amener en France une réaction radicale contre le Classicisme, d'autres influences plus fortes et plus profondes. La transformation des idées et des mœurs[modifier | modifier le code] La nature elle-même que l'on aime, ce n'est plus la nature sage et rangée, sans exubérance ni imprévu. Claude Joseph Vernet : Tempête de mer avec épaves de navires.

Arthur Rimbaud Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Nicolas Arthur Rimbaud est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville et mort le 10 novembre 1891 à Marseille. Arthur Rimbaud écrit ses premiers poèmes à quinze ans. Ses idées marginales, anti-bourgeoises et libertaires le poussent à choisir une vie aventureuse, dont les pérégrinations l’amènent jusqu’au Yémen et en Éthiopie, où il devient négociant, voire explorateur. Bien que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures premières de la littérature française. Biographie Arthur Rimbaud, premier communiant, à 11 ans. Jeunesse Se déclarant veuve, la mère déménage avec ses enfants en 1861 pour habiter au 73 rue Bourbon, dans un quartier ouvrier de Charleville. Figure rigide et soucieuse de respectabilité, vigilante sur l’éducation de ses enfants, Vitalie Rimbaud rend le climat familial étouffant. Fin 1862, la famille déménage à nouveau pour un quartier bourgeois au 13 cours d’Orléans[4].

Paul Verlaine Paul Verlaine,photographie anonyme. signature Archétype du poète maudit (notion qu'il a lui-même forgée dans son essai de 1884 et 1888), Verlaine est reconnu comme un maître par la génération suivante. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Son père, né à Bertrix (Belgique), militaire de carrière, atteint le grade de capitaine avant de démissionner de l'armée en 1851 : la famille Verlaine quitte alors Metz pour Paris[7], d’abord rue des Petites-Écuries, puis dans le quartier des Batignolles[8]. Entrée dans la vie adulte[modifier | modifier le code] Frédéric Bazille, Paul Verlaine (1867), huile sur toile, annotée « à mon cher ami le poète Paul Verlaine » », localisation inconnue[10]. Photographies de Paul Verlaine jeune, entre 1860 et 1870. Le tumulte Rimbaud, puis le retour à la foi (1872-1875)[modifier | modifier le code] Lucien Létinois – apaisement passager (1877-1883)[modifier | modifier le code] La déchéance[modifier | modifier le code]

Stéphane Mallarmé Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mallarmé. Stéphane Mallarmé Mallarmé photographié par Nadar en 1896. Étienne Mallarmé, dit Stéphane Mallarmé, né à Paris le 18 mars 1842 et mort à Valvins (commune de Vulaines-sur-Seine, Seine-et-Marne) le 9 septembre 1898, est un poète français. En 1887, il fait paraître une édition de ses Poésies qui montrent sa recherche stylistique comme dans le « sonnet en X » : Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx ou le sonnet en octosyllabes Une dentelle s'abolit (Une dentelle s'abolit // Dans le doute du Jeu suprême //A n'entrouvrir comme un blasphème //Qu'absence éternelle de lit.) Biographie[modifier | modifier le code] L'année suivante, il compose L'Après-midi d'un faune, qu'il espère voir représenter au Théâtre-Français, mais qui est refusée. À partir de 1874, Mallarmé, de santé fragile, effectue de fréquents séjours à Valvins près de Fontainebleau. Regards sur son œuvre[modifier | modifier le code] « (...)

Parnasse (littérature) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Parnasse. Le Parnasse, parfois appelé mouvement parnassien, est un mouvement poétique apparu en France dans la seconde moitié du XIXe siècle qui avait pour but de valoriser l’art poétique par la retenue, l'impersonnalité et le rejet de l'engagement social et politique de l'artiste. Pour les Parnassiens, l'art n'a pas à être utile ou vertueux et son seul but est la beauté. Le nom apparaît en 1866 quand l'éditeur Alphonse Lemerre publie le recueil poétique le Parnasse contemporain. Le nom Parnasse est, à l'origine, celui d'une montagne de Grèce. Selon Lepelletier, il est probable que l'honneur de l'invention du titre revienne à Charles Marty-Laveaux. Les néoromantiques, parnassiens les plus marqués par le courant romantique bien que celui-ci soit épars dans tout le Parnasse. Le culte du travail est l’un des éléments fondamentaux du parnasse.

Alphonse de Lamartine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lourdement endetté, il vend à regrets le domaine de Milly en 1860 et écrit des œuvres alimentaires comme de nombreuses compilations historiques, son Cours familier de littérature (1856-1869), et d'autres œuvres moins décriées mais demeurant mineures telles que Le Tailleur de pierre de Saint-Point en 1851. Son dernier grand poème La Vigne et la Maison est écrit en 1857. Alphonse de Lamartine meurt en 1869 presque octogénaire et repose dans le caveau familial au cimetière communal[2], le long du mur du parc du château de Saint-Point qu'il a habité et transformé depuis 1820. Biographie[modifier | modifier le code] De retour à Milly, il commence à écrire de la poésie sous l'inspiration de l'Ossian de Baour-Lormian. En 1814, il devient quelque temps garde du corps de Louis XVIII une fois ce dernier intronisé : il se réfugie en Suisse au moment des Cent-Jours et démissionne finalement en 1815[7]. En 1822, sa fille Julia naît. Poésie N.B. Théâtre

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