Aux Etats-Unis, Obama bafoue la liberté d’information
La maison Obama a établi un nouveau record dans la restriction d’accès aux données administratives ! L’étude publiée le 18 mars par Associated Press, constate qu’au cours des six dernières années, le temps de traitement « dans les plus brefs délais » des requêtes acceptées est tombé à près de 12 %, contre 50 % auparavant. Le temps de réponse « moyen » s’étend de un jour à deux ans et demi. Dans un cas sur trois, l’administration fédérale reconnait elle-même que les censures ou restrictions d’accès appliquées étaient abusives, outrepassant le cadre légal en vigueur. 39 % des demandes partiellement ou totalement censurées Précisément, parmi les 714 231 demandes déposées en 2014 auprès d’une centaine d’agences fédérales, le gouvernement a répondu à 647 142 d’entre elles. Et en 215 584 autres occasions, les services administratifs ont répondu qu’ils ne retrouvaient pas les documents, ou ont refusé de faire des copies. Contrôler et restreindre l’accès à l’information Pour cacher quoi ?
Facebook : Mark Zuckerberg travaille 50 à 60 heures par semaine
Comme à son habitude, Mark Zuckerberg s’est livré à son traditionnel jeu des questions/réponses le mardi 14 avril. Pendant une heure, les internautes peuvent poser leur question au créateur de Facebook, que ces dernières portent sur l’actualité du réseau social, ou alors sur un plan plus personnel. L’occasion d’en apprendre une peu plus sur le rythme de travail d’un des entrepreneurs les plus puissants du web. 50 à 60 heures par semaine au bureau L’un des internautes qui participaient à ce jeu de questions/réponses n’a pas hésité à demander combien de temps le PDG de Facebook passait à travailler par semaine. Il est vrai que la question peut sembler pertinente lorsque l’on connait un peu le personnage Mark Zuckerberg et son style plutôt en opposition avec son statut. Le créateur de Facebook n’a pas hésité à répondre « Si on compte le temps que je passe au bureau, je ne travaille pas plus de 50-60 heures par semaine ». Zuckerberg répond à Shakira et Richard Branson
Marre d’être espionné sur Internet ? Qwant et DuckDuckGo surfent sur la vague anti-Google
« Les internautes ont le choix. La concurrence est à un clic » faisait valoir le président exécutif de Google, Eric Schmidt, en octobre dernier. « Il existe de nombreux autres moteurs de recherche tels que Bing, Yahoo, Quora, DuckDuckGo et une nouvelle vague d'assistants à la recherche comme Siri d'Apple et Cortana de Microsoft » arguait la semaine dernière Amit Singhal, le directeur de Google Search, dans un billet de blog au lendemain de l'accusation formelle d'abus de position dominante par la Commission européenne. Avant de citer le français Qwant, dans lequel le groupe de presse allemand Axel Springer a investi en juin 2014. Pour autant, qui utilise un autre moteur que Google, devenu un verbe pour dire rechercher sur Internet (« googliser » ou « googler ») ? En France, sa part de marché est estimée entre 90% et 95%, comme dans la plupart des pays de l'Union européenne, sauf en République tchèque. (graphique Qwant) Or « Google sait tout sur vous ! « Bravo au nouveau Qwant !
Facebook : pas de bouton "j'aime pas" pour Zuckerberg !
À l’arrivée de Facebook, deux fonctionnalités nouvelles faisaient leur apparition. Le fameux « poke », dont on n’a jamais vraiment trouvé l’utilité jusqu’à maintenant, et le bouton « j’aime » devenu LA marque de fabrique du réseau social de Mark Zuckerberg ! Mais certains grognons pestent contre le fait qu’il faille à tout prix aimer ce que nos contacts publient sur le mur, et qu’à part un commentaire acerbe, il n’y ai pas de possibilité de « ne pas aimer » ce que l’on voit défiler sur notre fil d’actualité Facebook. C’est sans doute pour cela que tous les 6 mois, la rumeur de l’apparition d’un bouton « j’aime pas » ressort. Mais cette fois, c’est Mark Zuckerberg en personne qui annonce que cette fonctionnalité ne verra pas le jour sur Facebook. Mark Zuckerberg n’aime pas le bouton « j’aime pas » !
« Apple est foutu » : le chinois Xiaomi crée l’événement en Inde
Des files d’attente interminables, une excitation fébrile, des phrases définitives d’ados comme « je peux mourir pour en avoir un »... Non, il ne s’agit pas du lancement d’un nouveau produit Apple, mais de son clone chinois, Xiaomi, qui a réussi jeudi un lancement fracassant en Inde. Xiaomi, fabricant de smartphones chinois, fondé en 2010 mais qui s’est déjà hissé au troisième rang mondial en raflant l’immense marché chinois, est en phase d’expansion internationale. L’Inde et son milliard d’habitants constituaient une étape de choix, préparée avec soin – et avec succès. Selon le Wall Street Journal, Xiaomi avait su créer l’événement : 10 000 personnes venues de toute l’Inde ont tenté d’avoir l’une des 1 600 places à New Delhi pour la « keynote » de Lei Jun, le jeune fondateur de Xiaomi, qui fait des présentations « à la Steve Jobs » devant des foules en délire. Ça marchait en Chine ; la preuve est faite que ça peut marcher ailleurs.
Facebook: profits en baisse, mais croissance effrénée
VIDÉO - Depuis la fin du mois de décembre, la principale application du leader des réseaux sociaux a gagné un nombre d'utilisateurs mensuels équivalent à la population française. Ses ventes, constituées à 94% de recettes publicitaires, ont bondi de 42% en un an. L'appréciation du dollar au cours du premier trimestre a entamé l'essor de Facebook. Il ne pouvait en être autrement: la société réalise plus de la moitié de son activité en dehors des États-Unis. Le leader des réseaux sociaux continue néanmoins de pulvériser les records de croissance. Ses ventes, constituées à 94% de recettes publicitaires, ont par exemple bondi de 42% depuis un an. Les boursicoteurs les plus exigeants notent que pour la première fois depuis 2012, Facebook n'atteint pas les prévisions de résultat des analystes. 936 millions d'utilisateurs verifient leur page tous les jours L'embauche toujours aussi massive Les effectifs du réseau social ont ainsi décollé de 48% depuis un an.
Google s'offre une directrice financière à 70 millions de dollars
Francetv info Mis à jour le , publié le Elle s'appelle Ruth Porat, a 57 ans, et elle est considérée comme la femme la plus puissante de Wall Street. Désormais, elle est aussi l'une des dirigeantes les mieux payées de la Silicon Valley : elle quitte la banque d'affaires Morgan Stanley pour rejoindre Google en tant que directrice financière. Pour s'offrir cette spécialiste des restructurations du monde de l'Internet, le géant américain a sorti le chéquier. Ruth Porat est une experte du monde de la finance. Le JT
Comment Facebook veut devenir un géant mondial de la téléphonie mobile - JDN
Avec déjà 10% du marché de la VOIP et l'ambition de connecter les quatre coins du monde, Mark Zuckerberg essaie petit à petit de mettre les opérateurs mobiles hors jeu. Facebook, opérateur de téléphonie mobile ? La question peut paraître saugrenue alors que la plateforme ne dispose d'aucun réseau cellulaire et que Mark Zuckerberg cherche plutôt à connecter les populations du monde qui ne le sont pas encore à Internet. Mais les dernières annonces réalisées par le plus célèbre des entrepreneurs à capuche laissent à penser qu'il envisage sérieusement d'aller tailler des croupières aux opérateurs téléphonie mobile. FB Messenger capte déjà 10% du marché de la VOIP Sauf que Mark Zuckerberg vient d'annoncer que son application de messagerie instantanée, Facebook Messenger, a capté près de 10% des appels VoIP (Voice over IP) dans le monde au 1er trimestre 2015. Un réseau Internet qui couvrira bientôt les régions les plus reculées du globe ? De quoi inquiéter les opérateurs mobile ?