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Vue sous cet angle, cette église aurait presque l'air normale... Attendez de la voir de plus près.

Vue sous cet angle, cette église aurait presque l'air normale... Attendez de la voir de plus près.
Les architectes qui ont dessiné cette église ont réussi à créer un monument unique et magique. Une véritable œuvre d’art qui se transforme en fonction de l’angle de vue de celui qui la regarde. Cette église se situe en Belgique, dans la campagne de Looz, et elle a été conçue par le groupe d’architectes « Gijs Van Vaerenbergh ». Vue du dessus cette église semble tout à fait banale. Vue de face elle devient presque invisible. Cette création nommée «Lire entre les lignes » est composée de 100 couches d’acier empilées et décalées à égale distance. Vue sous certains angles, la structure joue avec notre esprit. Tantôt « pleine » et « normale », parfois ajourée, presque transparente ou comme coupée en deux ce bijoux d’architecture offre une vision poétique, épurée et tellement féérique… Un travail tout droit sorti de l’imaginaire ! Vue de l’intérieur on comprend mieux la façon dont la structure a été pensée. Related:  Héraldique

Armoiries D’azur : Il faut préciser d’abord la nature du champ de l’écu. On indique ainsi que ce champ ne sera pas divisé et qu’il sera couvert d’un seul émail, de la couleur azur. Ce mot vient du persan lazouerd et signifie le bleu du ciel. Ce sont les Croisés qui nous ont apporté ces expressions qui paraissent étranges. À un tau : le tau ou taf est formé d’un pal et d’une fasce. Il rappelle la potence qui est la croix des Hébreux, dite aussi Croix de Saint-Antoine. D’or : Il fallait ici employer un des deux métaux, or ou argent, afin d’obéir à une des lois fondamentales de la science héraldique. Chargé : Ce qualificatif indique que ce tau portera sur sa surface un autre tau. D’un tau : Il devra obéir aux lois de l’équilibre et de la simplicité des formes. De gueules : Sur le tau d’or il fallait employer un tau de couleur. Surchargé : C’est le tau de gueules qui sera chargé des meubles (objets) suivants. En pal : Il s’agit donc de la partie verticale du tau. Meubles (objets) : Émaux : b- Couleurs :

Sigillographie Histoire de la sigillographie[modifier | modifier le code] Avant la sigillographie[modifier | modifier le code] L'intérêt porté aux sceaux est lié à la naissance de l'histoire moderne c'est-à-dire à la critique des sources et cela de manière aiguë dans la mesure où les sceaux sont une des clefs du système d’authentification des actes. Il faudra cependant attendre le dernier quart du XVIIe siècle et la parution du De re diplomatica de Dom Mabillon pour voir apparaître la première approche scientifique en la matière. L'invention d'une discipline (1830-1860)[modifier | modifier le code] Après 1830, alors que la collection d'environ 300 matrices de Pierre Révoil entrait au Louvre, le marchand anglais John Doubleday fut autorisé à faire des moulages de certains sceaux des Archives royales, à condition de fournir à ces dernières un exemplaire de chaque moulage. Les collections de moulages (1830-1940)[modifier | modifier le code] Les sociétés savantes[modifier | modifier le code]

le vocabulaire du blason , grammaire heraldique, glossaire heraldique La grammaire héraldique Glossaire héraldique Du XIIe au XVe siècle, sans se détacher complètement du langage ordinaire, la langue héraldique s’est progressivement spécialisée. Le blason primitif utilise un petit nombre de termes et de tournures qui, sans être une spécificité héraldique, se retrouvent plus fréquemment qu’ailleurs. A la fin du XIIe siècle, dans les textes littéraires, on trouve l’expression héraldique classique consistant à nommer la couleur du champ puis la nature et la couleur de la figure avec les prépositions a et de. Le vocabulaire n’est pas encore spécialisé, les termes sont empruntés à d’autres domaines techniques notamment à ceux du costume et du tissu. Au début du XIIIe siècle, la multiplication des armoiries et la diversité des figures augmentent le vocabulaire héraldique et obligent le blason à la construction d’une véritable phrase héraldique. Les adjectifs des meubles Quadrupèdes, oiseaux et poissons peuvent être adossés ou affrontés.

Héraldie: L'étoile en héraldique L'étoile est un meuble luminaire très usité en héraldique. Elle a généralement cinq branches ou pointes appelées rais. Quand elle en a plus, on spécifie le nombre. Quand les rais sont ondoyants, l'étoile est dite rayonnante. Pour l'illustration du haut, de gauche à droite et de haut en bas : d'azur à l'étoile radiée de 4 pointes, idem de 5 pointes, idem de 6 pointes, idem de 7 pointes (dite occitane), idem de 8 pointes, idem de 9 pointes, idem de 16 pointes (dite de la Nativité), idem de 18 pointes, idem de 34 pointes (Montrouge) et, idem, à la comète en bande.Pour la symbolique des étoiles selon leur nombre de rais, il convient de se reporter à la symbolique traditionnelle des nombres sans toutefois en conclure qu'elle a systématiquement inspiré les blasonnements. Dans l'Islam, l'étoile à cinq branches (que l'on retrouve sur maints drapeaux) représente les cinq piliers. Il est également le symbole numéral de la gestation humaine (9 mois). * Notes (blason à enquerre) Laz Pleumeur-Bodou

Héraldie: L'Autre Monde Peinture de John Stephens, Cosmic Cathedral Car, je sais que je ne suis pas d'ici Tout mon être me le laisse pressentir C'est entière vérité qui se veut goûter Se conte de mille manières et jamais ne s'épuise Ici, la Vie est sans compter, Témoignage de L’Épopée L'Âme est une Terre Conquise depuis le Berceau de L'Humanité L'histoire enclavée par les chroniques de La matérialité Achève le Cycle des Ténèbres et de La Cécité Voici venu Le Temps de La Lumière, éclatante de Beauté Quand Eden étend Les Fraîcheurs de Sa Réalité L'Heure se suspend au Chant de L'Amour Éthéré Voici venu Le Jour du Grand Amour qui se veut Déployer Voici le cœur des plus enfiévrés Chevaliers En cette Coupe, ruissellent les Lueurs Éclatantes Depuis L'Autre Monde, nous sommes tous à chanter ! L'Autre Monde en ce Nous Qui s'invite en son étrangeté S'offre même en ses remous Lors que L'Esprit est à voguer Cela est, et puis l'instant d'après Sans nous quitter, Il est Réalité Si les autres nient, sont-ils à Le goûter

L'abeille en héraldique L'abeille est un animal héraldique par excellence car sa symbolique est particulièrement riche. Traditionnellement, elle représente l'énergie vitale, c'est-à-dire l'âme. Quand elle est en nombre autour d'un rucher, elle évoque la cohésion sociale et l'industrie. Mais s'agissant de blasons plus récents, cette représentation est généralement liée à une activité simplement apicole Aristée, fils du dieu Apollon, possédait un rucher. Principales représentations héraldiques de l'abeille. Principales représentations héraldiques de la ruche. Alçay-Alçabéhéty-Sunharette (Pyrénées-Atlantiques, Aquitaine) D'azur au loup d'argent sortant d'une ruche d'or, accompagné d'abeilles d'or sans nombre. Sous le Premier Empire, le blason des grandes villes comportait obligatoirement un chef de gueules chargé de trois abeilles d'or. Anvers (Belgique) Apprieu (Isère, Rhône-Alpes) Arcachon (Gironde, Aquitaine) Barentin (Seine-Maritime, Haute-Normandie) mouvant des flancs, surmonté de trois abeilles d’or rangées en chef.

Labor omnia vincit improbus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Labor omnia vincit improbus (ou seulement Labor omnia vincit) est une locution latine traduite en général en français par « Un travail acharné vient à bout de tout. » Origine[modifier | modifier le code] tum variæ veneres artes : labor omnia vicitimprobus et duris urgens in rebus egestas[1]. Ainsi, Labor improbus omnia vincit, à première vue, prônerait simplement le goût du travail et de l'effort. Interprétation[modifier | modifier le code] Dans le livre premier des Géorgiques qui raconte le passage de la nature primitive, innocente et « honnête » à la culture, Virgile suggère qu'avec l'invention des arts et des techniques, est arrivé le règne de l'artificiel, donc de la ruse et du mensonge[6]. « Alors sont apparues différentes techniques : le travail sur tout l'a emportétrompeur, et l'urgente nécessité, dans les conditions extrêmes.[7],[8] » Utilisation[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Louis II de Bourbon-Condé Louis II de Bourbon-Condé dit le Grand Condé, connu d'abord sous le titre de duc d'Enghien, né le à Paris et mort le à Fontainebleau[1], est un prince du sang français. Général français pendant la guerre de Trente Ans, il fut l'un des meneurs de la Fronde des princes. Biographie[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] Il fut ensuite envoyé sur le Rhin, aux côtés du vicomte de Turenne. En 1644, il battit les Allemands à Fribourg. La Fronde[modifier | modifier le code] Les guerres de Louis XIV[modifier | modifier le code] Modello du Repentir du Grand Condé, 1691, par Michel II Corneille. Le , il reçoit durant trois jours Louis XIV alors âgé de 33 ans et les 3000 membres de la Cour de Versailles dans son château de Chantilly où il fait donner une fête fastueuse et des banquets somptueux organisés par François Vatel pour se réconcilier avec le roi et obtenir sa grâce et ses faveurs, ce qu'il obtient, le roi ayant besoin de son soutien.

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