TBI et la stratégie des 3-O La stratégie des 3-O est un outil pédagogique d’intégration des technologies numériques interactives (TNI ou TBI) en classe, tant pour les enseignants que pour les formateurs/accompagnateurs à ces technologies. Son but est d’aider à situer cet outil dans la pédagogie (coffre à outils pédagogiques) de l’enseignant(e). Pourquoi les 3-O ? Quelques éléments de réponse ici et dans le fichier ci-dessous. Vidéos à propos des 3-O Nous avons publié quelques vidéos [1] au sujet de la stratégie des 3-O dans le but d’aider à mieux la comprendre et d’expliquer en quoi le service national du RÉCIT MST peut être utile dans votre milieu. 3-O : trois lieux/espaces pédagogiques complémentaires Installer un tableau numérique (ou autres technologies interactives) dans sa classe crée un « lieu » physique [2] où il est possible de faire de la pédagogie (exécuter un travail [3]). Le bureau et le cerveau (l’élève) complètent les 3-O. Manipulation pédagogique d’objets numériques Présentation Des synthèses
The Age of Coworking: Collaborative Consumption for the Creative Community Report Maria Popova Many coworking spaces are housed in meticulously designed lofts. Photo from Green Spaces, NYC. The shift from an ownership economy to an economy of sharing has been one of the most important movements of the past few years – a concept most eloquently captured in Rachel Botsman's notion of collaborative consumption. A rapidly proliferating number of coworking spaces worldwide is attracting creative entrepreneurs and freelancers across the entire spectrum of vocations, from startup founders to professional proofreaders. In New York City alone, dozens such coworking spaces exist. Coworking spaces fused with incubators are even popping up under the wings of existing funds. I've recently had the pleasure and privilege of joining studiomates — a stunning all-white loft in DUMBO with a magnificent view of the East River and Lower East Side. Mine, too. Not sure how to find one? And, perhaps most important, how many people get to call their office their happy place?
Cahier pédagogique Le " socle commun de compétences et de connaissances " est souvent présenté ou commenté benoîtement comme une demande " de bon sens " de savoirs élémentaires garantis par la loi, et une nécessité française répondant à la crise de son école, constatée notamment par les chiffres de 2004 sur les connaissances acquises par les élèves de fin de collège [1]. En fait, sa définition et sa mise en application sont strictement les demandes de la communauté européenne, en réponse aux exigences des économistes et des commerciaux s’inquiétant du niveau de qualification des populations européennes réclamé par les changements des lois du marché [2]. Une analyse pertinente du socle ne relève donc pas d’une lecture guidée par les impératifs de l’instruction et de la pédagogie, qui se réjouirait des acquis et déplorerait les manques. Elle doit se référer au discours économique, essentiel, et au discours pédagogiste friand de " compétences ", qui convergent curieusement.
Une position pour le développement de la compétence professionnelle On pense souvent, à tort, que de donner une formation consiste uniquement à communiquer de l’information. Legendre (1993) définit la formation, en formation professionnelle, comme «l’ensemble des activités, des situations pédagogiques et des moyens didactiques ayant comme objectif de favoriser l’acquisition ou le développement de savoirs (connaissances, habiletés, attitudes) en vue de l’exercice d’une tâche ou d’un emploi.» La transmission d’informations à l’aide d’un «PowerPoint» ou de tout autre instrument technologique ne constitue par un acte de formation, même si cette pratique est très répandue. La théorie à l’origine de cette pratique est très ancienne et se situe dans les origines des pratiques de formation à une époque où les livres et le papier étaient très rares et dont l’objectif était de faire mémoriser l’information. Cette pratique de formation s’apparente aux théories de l’apprentissage de type « Académique» et «Technologique». Like this: J'aime chargement…
Le Blended Learning pas à pas : épisode 1 Dans un article récent pour ThotCursus, à propos d’une étude du groupe Demos intitulée “Blended Learning et tutorat”, Christine Vaufrey écrit : Un constat que je partage. Je profite donc de l’occasion pour vous proposer une série d’articles sur la conception de dispositifs Blended Learning. Aujourd’hui, première épisode de la série : le temps et l’espace… Etape 1 : Présentiel vs Distantiel Le Blended Learning évoque immédiatement 2 modalités complémentaires : la formation en face à face (présentiel) et les contenus e-Learning (distanciel). Mais cette vision, si elle peut constituer une base de réflexion, n’en reste par moins très traditionnelle… Le présentiel est une approche traditionnelle de la formation et les contenus e-Learning sont une approche traditionnelle de l’e-Learning, datant d’une époque où le terme “e-Learning” signifiait implicitement “consultation autonome de contenus à distance”. Etape 2 : Synchrone vs Asynchone Notre vision du temps et de l’espace semble donc complète.
Le blog professionnel de Jean Emmanuel Maigret "Questions Numériques 2011-2012" : Cahier d’enjeux Quelles sont les émergences puissantes, les opportunités transformatrices, les questions difficiles, qui vont marquer les prochaines années ? La Fing publie un cahier d’enjeux traitant de sept tensions majeures, identifiées et formulées collectivement par 120 décideurs, chercheurs et innovateurs, lors de la journée "Questions numériques" (octobre 2010). Sommaire Le cahier d’enjeux, pour quoi faire ? Le 26 octobre 2010, la Fing réunissait 120 décideurs, chercheurs et innovateurs pour identifier et formuler ensemble les "Questions numériques" qui les concerneront en 2011, et au-delà. En février 2011, la Fing publie les résultats de ce travail collectif dans le "Cahier d’enjeux". Les objectifs Découvrir des émergences que vous n’aviez pas repérées ; Identifier les questions et les opportunités-clés qui méritent d’être explorées en commun ; Les rendre lisibles et actionnables : Comment ? Cliquer pour agrandir l’image À propos de la journée Questions Numériques" 3 interventions introductives
Théories de l'apprentissage - Idées ASH Apprendre, c'est comprendre. C'est construire un savoir que l'on va pouvoir réinvestir. Pour que l'élève apprenne, il est essentiel: Qu'il soit conscient de ce que l'on essaie de lui faire comprendre et pourquoi.Qu'il soit conscient de " comment " il apprend.Qu'il ait envie d'apprendre. Enseigner, c'est aider l'enfant à apprendre, à construire un savoir. Ce qui est essentiel avant / pendant / après l'enseignement : Connaître la façon dont l'enfant apprend.Vérifier qu'il ne construise pas une " fausse compréhension ". LE TRIANGLE PEDAGOGIQUE de HOUSSAYE : Dans son modèle de compréhension pédagogique, Jean Houssaye, aujourd'hui professeur de Sciences de l'Education à l'université de Rouen, définit tout acte pédagogique comme l'espace entre trois sommets d'un triangle : l'enseignant, l'apprenant et le savoir. Selon Houssaye, toute pédagogie est articulée sur la relation privilégiée entre deux des trois éléments (les sujets actifs) et l'exclusion du troisième (qui fait le fou, ou le mort)
Gunter Pauli : “Il ne faut pas polluer moins, il faut arrêter de polluer” “Aujourd’hui, on donne des prix environnementaux aux hommes d’affaires qui annoncent qu’ils vont polluer un peu moins. Mais il ne faut pas polluer un peu moins : il faut arrêter de polluer.” C’est sur cette base, qui pourrait paraître totalement provocatrice, que Gunter Pauli a planté le décor de son impressionnante intervention (voir la vidéo). Gunter Pauli est un industriel belge qui, dans les années 90, a lancé une société fabricant des produits biologiques pour la lessive et la vaisselle, Ecover. Pour l’exposition universelle de Hanovre en 2000, il contribua à réaliser un pavillon (le Guadua Pavilion de Manizales) construit uniquement en bambou, afin de montrer que le bambou – le matériel de la pauvreté, celui avec lequel plus d’un milliard de personnes dans le monde construisent leur maison -, pouvait être un matériel durable et de qualité. “Il faut changer fondamentalement nos façons de penser. Image : Gunter Pauli par Ivo Näpflin pour la LiftConference. Autre exemple.
Apprentissage formel ou informel ? Les 2, mon capitaine ! "Le vrai génie des organisations est l’informel, le non prévu, souvent inspiré des façons dont les individus gèrent leurs problèmes d’une manière que les processus formels ne peuvent anticiper. Quand on est en compétition sur la connaissance, le jeu s’appelle improvisation et non normalisation." John Seeley Brown Au cours de cette dernière décennie, il y a eu de nombreux débats (voir par exemple les dates des références bibliographiques en bas de page) et discussions au sujet de l’avenir de l’apprentissage. Quelle serait votre réaction si votre R&D investissez 80% de son budget dans le développement de produits ou services qui ne toucheraient qu’une infime partie de votre marché ? Valideriez-vous une stratégie marketing qui ne ciblerait que 10% de votre cible ? Pas la peine d’attendre votre réponse devant l’énormité de ces questions. Le modèle 70/20/10 Après des années d’enquêtes, d’étude et de validation, Morgan McCall, Robert W. Que dit-il ? Le paradoxe des investissements