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René Girard

René Girard
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. René Girard René Girard en 2007. Signature Biographie[modifier | modifier le code] En 1947, il part pour les États-Unis, où il obtient une bourse universitaire. Son premier livre est publié en 1961, Mensonge romantique et vérité romanesque, où il expose sa découverte du désir mimétique. Il termine sa carrière académique, de 1980 à sa retraite en 1995, à Stanford, où il réside toujours. Le , René Girard est élu à l'Académie française, au fauteuil 37, succédant au révérend père Ambroise-Marie Carré, mort le . Sa pensée[modifier | modifier le code] Le désir mimétique[modifier | modifier le code] Le caractère mimétique du désir[modifier | modifier le code] René Girard est professeur de littérature française aux États-Unis à la fin des années 1950 et cherche une nouvelle façon de parler de littérature. Médiation externe, médiation interne[modifier | modifier le code] Les métamorphoses du désir[modifier | modifier le code] Related:  Cogniticiens, informaticiens, anthropologues (F-K)

Michel Jouvet Michel Jouvet, en juillet 2017. Michel Jouvet, né le 16 novembre 1925 à Lons-le-Saunier et mort le 3 octobre 2017 à Villeurbanne, est un neurobiologiste français. Considéré comme l'un des pionniers de l'hypnologie, se définissant lui-même comme onirologue, on lui doit l'invention du terme de sommeil paradoxal pour décrire la phase du sommeil durant laquelle surviennent les rêves. Biographie[modifier | modifier le code] Son père médecin l'encourage, avec son frère, à se livrer à des jeux scientifiques dès l'âge de 10 ans[1]. Après ses études à la faculté de médecine de Lyon, il devient en 1951 Interne des hôpitaux de Lyon et docteur en médecine de la faculté de médecine de Paris en 1956[4]. De 1954 à 1955, il travaille avec des équipes de neurophysiologistes (notamment celle du neuroscientifique Horace Winchell Magoun (en)) au Veteran’s Hospital de Long Beach en Californie puis revient en France effectuer sa carrière à l’université Claude-Bernard à Lyon[2].

Croyances- Etymologies Musiq3 - RTBF - L’amour, cet enfant de bohème qui ne... L'animisme est-il une religion ? Entretien avec Philippe Descola Dans certains pays d’Afrique et d’Asie, les statistiques font apparaître un pourcentage de population qualifié d’animiste. Cela veut-il dire que l’animisme est une religion ? Non, cela désigne les gens qui par leurs pratiques n’appartiennent à aucune des « grandes religions » du livre : chrétiens, musulmans, bouddhistes, hindouistes, confucianistes. Les autres sont dits « animistes », parce qu’ils pratiquent des traditions transmises oralement. Défini comme cela, l’animisme n’est qu’un grand fourre-tout : on y met tout ce qui n’entre pas ailleurs. Pourtant l’animisme a été défini, à la fin du xixe siècle, essentiellement comme une croyance « primitive » :la croyance que des entités naturelles et surnaturelles non humaines (animaux, plantes ou objets) possèdent une « âme » et des intentions semblables à celles de l’homme. D’abord, je dirai que ce n’est pas une définition très éclairante. Comment le définissez-vous ? Donc l’animisme est une façon de voir la nature ? C’est un autre problème.

Modèle de Kintsch Bien que dans leur modèle précédent (Kintsch & van Dijk, 1978), Kintsch et van Dijk supposent une intervention des connaissances générales de l'individu au cours de l'activité de compréhension, ils ne spécifient pas précisément quand et comment les connaissances interviennent (Kintsch & van Dijk, 1978, p. 364). Dans leur modèle de 1983, van Dijk et Kintsch introduisent une distinction entre la base de texte à laquelle correspondent les éléments du texte et le modèle de situation qui présente la caractéristique d'inclure des informations provenant des connaissances antérieures du lecteur. Le processus de compréhension n'implique plus seulement la construction d'une représentation mentale du contenu du texte mais également l'intégration des informations fournies par le texte aux connaissances d'un individu. Le résultat de cette intégration est l'élaboration d'un modèle de la situation décrite par le texte.

De quoi avons-nous faim? Politesse (linguistique) L’étude de la politesse et de l’impolitesse s’est basée sur plusieurs notions tirées d’autres domaines comme la psychologie sociale, la sociologie et l’anthropologie[2]. Pour certains, le phénomène de la politesse dans les langues naturelles est superficiel; pour d’autres, comme Geoffrey Leech, linguiste anglais, c’est une manifestation très importante du langage dont les êtres humains auraient de la difficulté à se passer. La politesse, que ce soit à l’écrit ou à l’oral, est commune dans notre société et dans notre usage de la langue[3]. Une conversation nait dans un contexte oral déterminé par les locuteurs. Elle se bâtit collectivement, et petit à petit la progression de l’interaction se dessine (p.69-70)[4]. La conversation est également une action qui peut détériorer ou maintenir les relations entre les locuteurs[5]. Schéma des axes vertical et horizontal de la politesse. Dans un discours, le contexte est continuellement en changement.

Walter Kintsch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il a publié notamment sur la mémoire de travail à long terme. Bibliographie[modifier | modifier le code] Learning, Memory and Conceptual Processes, Wiley, 1972, (ISBN 978-0471480716)Memory and Cognition, Wiley, 1977, (ISBN 978-0471480723)avec T. A Van Dijk, Toward a model of text comprehension and production, Psychological Review, 1978, 85, pp363-394The role of knowledge in discourse comprehension : a construction-integration model, Psychological Review, 1988, vol 95, pp163-182Slide Down The Sky Reading Skills Workbook: Level 2:1, Open Court Pub Co, 1989, (ISBN 978-0812621358)Remembering: A Study in Experimental and Social Psychology Cambridge University Press, 1995, (ISBN 978-0521483568)Comprehension: A Paradigm for Cognition, Cambridge University Press, 1998, (ISBN 978-0521629867) Voir aussi[modifier | modifier le code] Macrostructure

La sémantique générale pour tous In-group favoritism In-group favoritism, sometimes known as in-group–out-group bias, in-group bias, intergroup bias, or in-group preference, is a pattern of favoring members of one's in-group over out-group members. This can be expressed in evaluation of others, in allocation of resources, and in many other ways.[1][2] This effect has been researched by many psychologists and linked to many theories related to group conflict and prejudice. Two prominent theoretical approaches to the phenomenon of in-group favoritism are realistic conflict theory and social identity theory. Origins of the research tradition[edit] In 1906, the sociologist William Sumner posited that humans are a species that join together in groups by their very nature. Explanations[edit] Competition[edit] Realistic conflict theory (or realistic group conflict) posits that competition between groups for resources is the cause of in-group bias and the corresponding negative treatment of members of the out-group. Self-esteem[edit] Wikipedia[edit]

Paul Jorion Paul Jorion en 2016. Origine et formation scolaire[modifier | modifier le code] Paul Jorion est né le 22 juillet 1946 à Ixelles. Son père Edmond Jorion, un Wallon de Charleroi, était un haut fonctionnaire[3] qui enseignait le droit à l'Université libre de Bruxelles[4]. Études, doctorat et travaux universitaires[modifier | modifier le code] Son projet de doctorat le conduit aussi à Paris. Après son doctorat, Paul Jorion enseigne l'anthropologie sociale en tant que professeur junior aux universités de Bruxelles (1977-1979) et de Cambridge (1979-1984)[27]. Il s'intéresse également aux mathématiques, à la physique et à l'histoire de ces disciplines[33], car il envisageait de rédiger une autre thèse de doctorat à Cambridge, sous la direction d'Edmund Leach, portant sur l'histoire de l'anthropologie dans une perspective épistémologique. Pour 1987-1988, Jacques-Alain Miller, gendre de Lacan, lui offre un poste temporaire au département de psychanalyse de l'université Paris-VIII[37],[27].

Pour une économie non-aristotélicienne | Blog de "La sémantique générale pour tous" Toki pona Le toki pona est une langue construite minimaliste[1] inventée par la linguiste et traductrice canadienne Sonja Lang et publiée pour la première fois en 2001 sur Internet[2]. Le toki pona possède 14 phonèmes et son vocabulaire ne comporte que 120 mots[1] (et pas un de plus : le dictionnaire officiel[3] est intentionnellement figé). À l'instar de l'anglais basic, qui compte 850 mots, il offre néanmoins une relative expressivité, tout en étant une des langues construites les plus concises. Étymologie[modifier | modifier le code] Le nom Toki Pona est composé avec toki (langage), dérivé de tok en Tok pisin qui vient de l'anglais talk[réf. nécessaire] ; et pona (bien/simple), qui vient de l'espéranto bona (bien), lui-même venant du latin bonus. Graphie[modifier | modifier le code] La carte de l'Europe en toki pona. Le toki pona dispose de deux systèmes d'écriture. Le premier, basé sur l'alphabet latin, comporte cinq voyelles (a, e, i, o, u) et neuf consonnes (j, k, l, m, n, p, s, t, w).

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