Réserve fédérale des États-Unis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Réserve fédérale (officiellement Federal Reserve System, souvent raccourci en Federal Reserve ou Fed) est la banque centrale des États-Unis. Elle a été créée le 23 décembre 1913 par le Federal Reserve Act dit aussi Owen-Glass Act, à la suite de plusieurs crises bancaires, dont la panique bancaire américaine de 1907. Le Congrès des États-Unis a défini trois objectifs de politique monétaire dans le Federal Reserve Act : plein emploi, stabilité des prix, et taux d'intérêt à long terme modérés[1]. La Réserve fédérale se compose d'un conseil des gouverneurs (dont Janet Yellen est la présidente depuis 2013), du Federal Open Market Committee (FOMC), de douze banques régionales (Federal Reserve Banks), des banques membres, et de plusieurs conseils consultatifs[4],[5]. Histoire[modifier | modifier le code] La banque centrale est aussi indépendante financièrement, ne recevant aucun budget ni du gouvernement, ni du Congrès américain.
22 juillet 1944 Accords de Bretton Woods Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les accords de Bretton Woods sont des accords économiques ayant dessiné les grandes lignes du système financier international en 1944. Leur objectif principal fut de mettre en place une organisation monétaire mondiale et de favoriser la reconstruction et le développement économique des pays touchés par la guerre. Les deux protagonistes principaux de cette conférence ont été John Maynard Keynes, qui dirigeait la délégation britannique, et Harry Dexter White, assistant au secrétaire au Trésor des États-Unis, qui avaient tous deux préparé un plan d'ensemble. Le plan Keynes fut ébauché dès 1941 et préparait un système monétaire mondial fondé sur une unité de réserve non nationale, le bancor. La partie américaine mettait en avant le rôle de pivot du dollar américain et proposait plutôt de créer un fonds de stabilisation construit sur les dépôts des États membres et une banque de reconstruction pour l'après-guerre.
POUR QUE L'ARGENT NOUS SERVE, AU LIEU DE NOUS ASSERVIR! - Page 7 Ce sont des chiffres incroyables. On savait déjà que, fin 2008, George Bush et Henry Paulson avaient mis sur la table 700 milliards de dollars (540 milliards d'euros) pour sauver les banques américaines. Une somme colossale. Mais un juge américain a récemment donné raison aux journalistes de Bloomberg qui demandaient à leur banque centrale d'être transparente sur l'aide qu'elle avait apportée elle-même au système bancaire. Après avoir épluché 20 000 pages de documents divers, Bloomberg montre que la Réserve fédérale a secrètement prêté aux banques en difficulté la somme de 1 200 milliards au taux incroyablement bas de 0,01 %. Au même moment, dans de nombreux pays, les peuples souffrent des plans d'austérité imposés par des gouvernements auxquels les marchés financiers n'acceptent plus de prêter quelques milliards à des taux d'intérêt inférieurs à 6, 7 ou 9 % ! Allons-nous attendre qu'il soit trop tard pour ouvrir les yeux ? Tout cela est indispensable.
L'endettement de la Grèce au profit des industries militaires. par Oscar FORTIN kephil, les chiffres que tu cites sont les dépenses militaires totales, pas les achats d’armes. Voir par exemple , article qui confirme que la Grèce est bien le 4ème acheteur d’armes au monde. Cet article confirme aussi que la raison qui pousse la Grèce à s’armer autant est la concurrence avec la Turquie. Pour en savoir plus, une petite recherche m’a amener sur cet article : On y apprend bien des choses : "Entre mars 2005 et septembre 2008, les engagements des banques d’Europe occidentale en Grèce ont doublé. "en 2009, la Grèce a occupé le quatrième rang mondial des importateurs d’armes. Ce chiffre en tête, on ne s’étonnera pas du rapport existant, en Grèce, entre PIB et budget de la défense : ce dernier en représente 4,3%. Mais ceci n’est rien. "Hasard ou coïncidence : en pleine crise des « subprimes » l’Etat grec regorge de liquidités … pour acheter des armes "...
Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles Les quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers. D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT: la commission des cotations boursières, le “shériff” de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le ghotta du Fortune 500 [1] Alors qui sont donc les actionaires de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus ferme. CPA Thomas D. La maison Morgan La banque de la réserve fédérale est née en 1913, la même année que mourut J. La maison Rockefeller John D.
Procès accusant le Vatican d’avoir financé ses réseaux d’exfiltration par l’or des nazis Le temps passe pour les victimes de l’Holocauste Croate et lorsque les derniers témoins auront disparus il sera plus facile pour le Vatican de prétendre qu’il ne s’est rien passé. L’enjeu est énorme, le Vatican ne voulant pas voir de plaintes similaires concernant des l’or des victimes’ allemandes, bien plus nombreuses. Par Muriel Fraser de la National Secular Society Traduction par Stephane Mabille de la National Secular Society Le contexte: Ci-contre l’armoirie de "l’Etat indépendant de Croatie” mis en place par Hitler et Mussolini en 1941. Le « U » représentant son nom « Ustasha » (Oustachi), mais pour ceux vivant sous la terreur de ce régime le « U » est synonyme de « ubica », assassins [1]. Hitler et Mussolini installèrent Ante (Anthony) Pavelic à la tête du gouvernement. le nouvel état de Pavelic étant composé principalement de deux groupes : les Serbes et les Croates, deux ethnies Slaves partageant la même langue, le Serbo-Croate. Notes
6. 1964 – 1968 : le Plan B ou l’apogée gaullienne : la prise de distance avec l’Europe - Élections présidentielles 2012, F. ASSELINEAU Cependant, en bon militaire, de Gaulle savait qu’il ne faut pas s’entêter à tenir une position perdue, mais être toujours apte à mettre en œuvre un plan de rechange (17). Aussi commença-t-il à changer de stratégie en prenant de plus en plus ses distances avec la construction européenne et en promouvant une stratégie d’indépendance nationale tous azimuts. Ce Plan B n’était, au fond, pas moins grandiose que le précédent et il l’avait exposé, dès le mois de décembre 1963, à Alain Peyrefitte dans un échange qu’il convient de citer ici en entier tant il est capital et tant il illustre à merveille toute l’analyse qui précède : Alain Peyrefitte : - « Est-ce que nous pourrons changer de fusil d’épaule ? »Charles de Gaulle : - « Mais bien sûr ! Croyez-vous que nous ayons besoin du Marché commun pour respirer ? Alain Peyrefitte : – « Il y a une conviction répandue dans les esprits, surtout dans la jeunesse, c’est que, sans l’Europe, la France ne sera plus rien ». « Un grand jeu à jouer » ?
Grèce: Les dettes illégitimes odieuses ou d’illégales. Titre originale: Grèce: Tout un symbole de dette illégitime par Eric Toussaint sur Mondilisation.ca Résumé : La dette publique grecque a fait la une de l’actualité au moment où les dirigeants de ce pays ont accepté la cure d’austérité demandée par le FMI et l’Union européenne, ce qui a provoqué de très importantes luttes sociales tout au long de l’année 2010. Voilà pourquoi la légitimité et la légalité des dettes doivent être soumises à un examen rigoureux, à l’image du travail accompli par la commission d’audit intégral des dettes publiques de l’Equateur en 2007-2008. Des éléments évidents d’illégitimité de la dette publique D’abord il y a la dette contractée par la dictature des colonels, elle a quadruplé entre 1967 et 1974. Pour poursuivre, on trouve le scandale des Jeux olympiques de 2004. De nombreux contrats signés entre les autorités grecques et de grandes entreprises privées étrangères font scandale depuis plusieurs années en Grèce.
Le cartel de la réserve fédérale: les franc-maçons et la maison Rothshchild Première partie : Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles En 1789, Alexandre Hamilton devint le premier secrétaire au trésor (NdT: ministre des finances) des Etats-Unis d’Amérique. Hamilton était un des nombreux pères fondateurs qui étaient franc-maçons. Il avait des relations étroites avec la famille Rothschild, qui était propriétaire de la Banque d’Angleterre et était le leader du mouvement franc-maçon européen. Georges Washington, Benjamin Franklin, John Jay, Ethan Allen, Samuel Adams, Patrick Henry, John Brown, et Roger Sherman étaient tous franc-maçons. Toutes les loges maçonniques américaines sont jusqu’à aujourd’hui garanties par la couronne britannique, qu’elles servent en tant que centre de renseignement global et de réseau de contre-révolution et de subversion. Le premier congrès continental se rassembla à Philadelphie en 1774 sous la présidence de Peyton Randolph, qui succéda à Washington comme grand maiitre de la loge de Virginie. La maison Rothschild