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Colette

Colette
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Colette Portrait de Colette en 1932. Œuvres principales Signature Après Judith Gautier en 1910, Colette est la deuxième femme élue membre de l’Académie Goncourt en 1945. Biographie[modifier | modifier le code] Colette en 1896, par Jacques Humbert. Gabrielle est la dernière des quatre enfants (deux filles et deux garçons) de Sidonie Landoy, dite Sido, et du capitaine Jules-Joseph Colette, saint-cyrien, zouave qui a perdu une jambe lors de la bataille de Melegnano et devenu percepteur[2]. Willy, critique musical très influent et auteur de romans populaires, est un viveur parisien qui fait également travailler à son profit une équipe de collaborateurs dans son atelier parisien de la maison d’édition Gauthier-Villars au 55 quai des Grands-Augustins, au dernier étage duquel le couple s'installe. « Vu le commis voyageur Willy bardé de jeux de mots et d'à-peu-près à rendre jaloux le plus exubérant rat-de-table d'hôtes. Related:  EcrivainesColette - La maison de Claudine - Sido

Duras aurait eu 100 ans: relisez sa lettre de «rupture» de 1969 à Alain Resnais Disparue en 1996, Marguerite Duras aurait fêté ses cent ans ce 4 avril 2014. À cette occasion, nous publions une lettre de la romancière au réalisateur Alain Resnais, récemment disparu. Après avoir collaboré avec le cinéaste sur Hiroshima mon amour (1959), Duras lui avait proposé un autre projet, qui ne se réalisa pas. «Cher Alain, bon, ça veut dire qu’on ne fera plus rien ensemble.J’aurais bien aimé que vous sortiez du rapport passionnel à mon égard, cette fois. Vous refusez encore. Vous avez à la fois envie et horreur de cette idée: retravailler avec moi une deuxième fois.

Sido (Colette) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sido. Sido est une œuvre de Colette. Il s'agit d'une collection de souvenirs, évoquant la période de la préadolescence (8-12 ans). Dans ce recueil, la figure de la mère est capitale : de biologique elle devient mythique. « Sido devient peu à peu le personnage central de l'œuvre, au fur et à mesure que Colette vieillit. » Première édition sous le titre : Sido ou les points cardinaux en 1929. Réédition en 1930 de Sido, accompagné des textes : Le capitaine et Les sauvages. la mère (p. 5 en LdP)le père (p. 34),les frères et la demi-sœur (p. 59 et 78). Sido au centre de la rose des vents Être inspiré, p. 9, elle communique avec les forces cosmiques : « elle captait des avertissements éoliens... » p. 17 et déjà p. 12. La mère prend une dimension mythique : elle s'associe à Antée, p. 42, en reprenant vie chaque fois qu'elle touche la terre. Portail de la littérature

Violette Leduc Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Naissance et formation[modifier | modifier le code] Violette Leduc est née à Arras le dimanche 7 avril 1907 (déclarée le 8), à cinq heures du matin, fille illégitime de Berthe Leduc et d’André Debaralle, un « fils de famille » de la haute bourgeoisie de Valenciennes. Il refuse de reconnaître l'enfant. Un écrivain pour écrivains[modifier | modifier le code] Le succès[modifier | modifier le code] En 1956, elle séjourne six mois dans une clinique de Versailles pour soigner ses tendances paranoïaques puis, en 1957 six mois dans une maison de repos, « La Vallée-aux-Loups » à Châtenay-Malabry[1]. Elle continue à publier et rencontre chaque fois un grand succès d'estime, parfois aussi commercial (Thérèse et Isabelle), et mène, avec parcimonie, une vie quelque peu mondaine. Les dernières années[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code] Bibliographies et essais[modifier | modifier le code]

TEXTE COLETTE : SIDO - DE « CAR J’AIMAIS TANT L’AUBE… » À « …CETTE GORGÉE IMAGINAIRE », Car j'aimais tant l'aube, déjà, que ma mère me l'accordait en récompense. J'obtenais qu'elle m'éveillât à trois heures et demis, et je m'en allais, un panier vide à chaque bras, vers des terres maraîchères qui se réfugiaient dans le pli étroit de la rivière, vers les fraise, les cassis et les groseilles barbues. À trois heures et demie, tout dormait dans un bleu originel, humide et confus, et quand je descendais le chemin de sable, le brouillard retenu par son poids baignait d'abord mes jambes, puis mon petit torse bien fait, atteignait mes lèvres, mes oreilles et mes narines plus sensibles que tout le reste de mon corps... J'allais seule, ce pays mal pensant était sans dangers. Ma mère me laissait partir, après m'avoir nommée « Beauté, Joyau-tout-en-or » ; elle regardait courir et décroître sur la pente son œuvre, - « chef-d'œuvre », disait-elle. Je revenais à la cloche de la première messe. COLETTE : Sido : De « Car j’aimais tant l’aube… » à « …cette gorgée imaginaire »

Julie de Lespinasse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jeanne Julie Éléonore de Lespinasse, née le à Lyon et morte en le , est une salonnière et épistolière française. Elle inspira une grande passion à Jean d'Alembert et mourut prématurément. Biographie[modifier | modifier le code] Un contexte familial particulier[modifier | modifier le code] Julie de Lespinasse était la fille illégitime du comte Gaspard Nicolas de Vichy (1699-1781)[1], frère de Marie du Deffand, et de la comtesse d’Albon (1695-1748)[2]. Sa tante naturelle, Marie du Deffand, sentant sa vue décliner, la prit alors comme lectrice dans le salon qu’elle tint à Paris qui était déjà connu en 1754. Dans le salon de Madame du Deffand[modifier | modifier le code] Le salon de Julie de Lespinasse[modifier | modifier le code] Julie de Lespinasse ouvrit alors, en 1764, son propre salon rue de Bellechasse, où elle reçut également Condillac, Condorcet et Turgot, outre ceux qu’elle recevait auparavant chez sa tante.

La Maison de Claudine/"Où sont les enfants ?" La maison était grande, coiffée d’un grenier haut. La pente raide de la rue obligeait les écuries et les remises, les poulaillers, la buanderie, la laiterie, à se blottir en contre-bas tout autour d’une cour fermée. Accoudée au mur du jardin, je pouvais gratter du doigt le toit du poulailler. Le Jardin-du-Haut commandait un Jardin-du-Bas, potager resserré et chaud, consacré à l’aubergine et au piment, où l’odeur du feuillage de la tomate se mêlait, en juillet, au parfum de l’abricot mûri sur espaliers. Dans le Jardin-du-Haut, deux sapins jumeaux, un noyer dont l’ombre intolérante tuait les fleurs, des roses, des gazons négligés, une tonnelle disloquée… Une forte grille de clôture, au fond, en bordure de la rue des Vignes, eût dû défendre les deux jardins ; mais je n’ai jamais connu cette grille que tordue, arrachée au ciment de son mur, emportée et brandie en l’air par les bras invincibles d’une glycine centenaire… Où ? « Hou… enfants… » Nulle part. « Où sont les enfants ? Deux reposent.

Marie d'Agoult Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Agoult. Marie d'Agoult Portrait de Marie d'Agoult par Henri Lehmann (1843) Marie Catherine Sophie de Flavigny, comtesse d'Agoult, née le 31 décembre 1805 à Francfort-sur-le-Main (Hesse) et morte le 5 mars 1876 à Paris, connue également sous le pseudonyme de Daniel Stern, est une écrivaine française. Biographie[modifier | modifier le code] Marie d'Agoult a pour parents : Marie Catherine Sophie de Flavigny naît le 31 décembre 1805 à Francfort-sur-le-Main (Hesse). Elle est éduquée, de quatorze à seize ans, au couvent des Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus, dans l'ancien hôtel Biron (actuel musée Rodin). Elle épouse le comte Charles Louis Constant d’Agoult, (1790-1875) le 16 mai 1827 qu'elle quitte le 19 août 1835 après lui avoir donné deux filles : En 1833 commence sa liaison Franz Liszt, dont elle a trois enfants : Sa tombe est ornée d'un monument commandé par Tribert (maquette en plâtre au musée d'Agesci à Niort).

Colette/Citations Portrait de Colette Sidonie Gabrielle Colette (Saint-Sauveur-en-Puisaye, Yonne, 28 janvier 1873 - Paris, 3 août 1954), dite Colette, est une romancière française, élue membre de l'Académie Goncourt en 1945. Critique musicale[modifier] Au concert, 1903[modifier] Réunions de toutes les critiques musicales écrites pour le journal Ruy Blas en 1903. Rassurez-vous, je ne vous parlerai, chaque semaine, que très peu de musique. Les premières phrases du premier articleAu concert (1903), Colette, éd. Avant le concerto, Mme Faliero-Dalcroze avait chanté de la musique italienne avec une voix fraîche et une robe rose. Au concert (1903), Colette, éd. La solide carrure d'Alexandre Georges plaît aux auditrices, non moins que sa Légende bretonne, chantée très finement par Mlle Suzanne Dumesnil, bien disante, et qui n'a pas cru devoir, Dieu merci, pour plus de couleur locale, s'empâter la diction avec de la galette de sarrazin (sic). Au concert (1903), Colette, éd. Au concert (1903), Colette, éd.

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