Five Reasons Why Libertarians Shouldn't Hate Government - Reason When we tell our limited-government friends that we have written a book titled If We Can Put a Man on the Moon: Getting Big Things Done in Government, about how government can better accomplish what it sets out to do, the reaction is often horror. “I don’t want to make government work better, I want it to go away" is the typical response. Government, in their view, is the enemy. This way of thinking is deeply misguided, a troubling blind spot that keeps libertarians on the fringe of many policy debates. If you reflect only scorn for government, it’s hard to get anyone who hasn’t already drunk the Kool-Aid to take your opinions on the topic seriously. This is not to disparage the argument that government is too large, for which the case is strong. Our Founding Fathers, fondly quoted by limited-government advocates, didn’t view government as evil, but as a flawed institution with some important jobs to do. [Article continues below Reason.tv interview with Eggers and O'Leary] 1. Wrong. 2.
Le revenu d'existence : Utopie ou nécessité ? Imaginez, imaginez un monde où chacun pourrait choisir son activité indépendamment du revenu qu’elle lui rapporte... Imaginez, Imaginez que chaque enfant, à sa majorité puisse partir dans la vie avec d’une part, un revenu d’existence inconditionnel jusqu’à sa mort lui permettant de satisfaire ses besoins de base et d’autre part, avec un petit capital pour démarrer sa vie d’humain. Imaginez, imaginez, en face de cette demande solvable enfin durable, tous nos producteurs, les vrais ceux qui produisent de biens et des services respectueux des hommes et de la nature, ne plus obligés de se battre en permanence pour ce partager les miettes (3%) d’une économie moribonde, de baisser leur prix au point de mettre en danger l’environnement et la société de laquelle ils tiennent leurs ressources et leur légitimité... oui, imaginez ... utopie ou nécessité ? Approchons nous d'un peu plus près ... chaque citoyen dès sa naissance s'est vu ouvert par ses parents un compte bancaire d'existence (CBE).
Zoom sur le Revenu d'existence | L'actualité du site Jeudi, 24 Mars 2011 15:04 Nous avons rencontré Yoland Bresson, économiste, professeur émérite à l'Université Paris 12 et président de l'Association pour l'Intauration d'un Revenu d'Existence, dont il prône une mise en place progressive. Yoland Bresson est un pragmatique. Il estime que tout changement trop brusque, trop radical est voué à l'échec. Pour qu'une idée révolutionnaire ait toutes les chances de s'installer durablement dans les esprits, il faut aussi qu'elle soit, dès le départ, bien ficelée. Il ne s'agit pas de faire de la redistribution, mais de modifier en profondeur l'organisation de cette distribution. L'amorce est modeste : dans un premier temps ce revenu, distribué à tous de la naissance à la mort et dont le montant n'excèderait pas 400 €, n'aura pas vocation à se substituer à l'existant mais à lui apporter un "plus". A vous de juger : <div style="background-color:red;color:white;width:160px"><strong>JavaScript est désactivé! Pour en savoir plus, voir :
La guerre du travail D'où une montée de l'angoisse populaire alors que les chiffres du chômage (et de l'emploi précaire son corollaire) explosent et que le gouvernement prit en flagrant délit de ratage de progrès en minimise la portée derrière des catégories cache-misère.Challenges, magazine de droite néo-conne catapultant le Fig Mag au rayon livre d'images pour gauchistes, publie dans un récent numéro un article titré "le grand soir attendra" et reproduisant un extrait de la note conjoncture de l'association de DRH Entreprise et personnel (en collaboration avec l'institut Supérieur du Travail) qui infirme celle alarmiste de 2008 : " L'insurrection sociale promise par certains à fait pschiit." (sic) Le rapport se félicite de la collaboration active des organisations syndicales dans la gestion de la crise en 2009. La pulsion de révolte du travailleur moderne est donc liée à son sentiment de sécurité. Il y quarante ans dans une galaxie lointaine avec une croissance très, très éloignée de la nôtre. 1967. 1973.
Dividende Universel, John Locke, et Libertarisme de gauche Dans « les 4 arguments du Dividende Universel » je défendais en argument premier le fait que chaque zone économique, définie par la monnaie commune qui l’anime est la co-propriété globale de ses citoyens. Ceci exprime le fait que chaque nouveau né en tant que co-propriétaire en hérite, et qu’à ce titre il est en droit d’en percevoir un Dividende, qui n’a de sens qu’en regard de la mesure de sa richesse globale, qui est en rapport avec la masse monétaire. Or, je ne me doutais pas que cette notion était déjà abordée au sein de la « clause lockéenne« . John Locke En quelque sorte le libertarisme de gauche qui affirme la liberté et la propriété individuelle, comprend aussi que la globalité ne saurait être la propriété exclusive de quelques uns au détriment des autres sans compensation. France Culture a enregistré une émission complète sur ce sujet, qui résume et explique parfaitement l’ensemble de ces notions fondamentales. www.creationmonetaire.info – Creative Common 3.0
Revenu garanti, une utopie à portée de main Assurer à chacun, sans conditions, de la naissance à la mort, une somme mensuelle suffisante pour vivre ? Impossible de balayer la proposition en arguant de son infaisabilité économique : il serait tout à fait envisageable de la mettre en œuvre, même si cela nécessite une réflexion politique approfondie (« Financer l’allocation universelle »). C’est surtout sur le plan philosophique que le revenu garanti pose des questions épineuses, puisqu’il implique de renoncer à l’objectif du plein-emploi et d’admettre que l’on puisse subsister sans exercer une activité rémunérée (« Imaginer un revenu garanti pour tous »). C'est quoi l'argent? - Vos suggestions de thèmes - FORUM Ce soir L'argent, la monnaie est un phénomène social total, qui prend ces temps-ci une tournure totalitaire. A côté des salles de marché et des politiques gouvernementales orthodoxes mais de plus en plus impuissantes, l'argent est repensé de multiples manières. L'enjeu est ni plus ni moins de franchir le "mur de l'argent" pour aller vers une société d'abondance, capable d'accueillir tout le monde... En gros, il existe trois voies : 1. la voie de la création monétaireC’est par exemple l’idée d’un “Dividende Monétaire” (DM) émis par la BCE au profit de tous les citoyens de l’Union, ou bien celle de l’ “Unité Monétaire Sociétale” (UMS) gérée par les Etats, qui dans certains cas pourrait inclure un revenu inconditionnel. 2. la voie de la refonte du système socialC’est par exemple le “Revenu d’Existence” (REX) ou bien l’ “Allocation Universelle” Quelques références: The Money Fix d'Alan Rosenblith (interview de Chomsky, etc.) Quelques invités possibles:
Création Monétaire « Gauche Libérale » : bientôt dans un bureau de Une poignée de transfuges d'Alternative Libérale prépare le lancement d'un parti libéral de gauche. Vu le niveau d'atomisation de la gauche française, on n'est plus à ça près… On ironisait, dans le temps, sur ces partis politiques dont l'effectif est si réduit qu'ils pourraient organiser leur congrès dans une cabine téléphonique. Mais avec l'arrivée des téléphones portables, l'image a vieilli et aux fabricants de métaphores en difficulté, je veux bien suggérer ce nouveau concept : le meeting qui se tient dans une caravane. Convié, hier soir, à assister à la réunion fondatrice de « Gauche Libérale » dans l'arrière-salle d'un bistrot du onzième arrondissement baptisé, on l'aura déjà deviné, « La caravane », et compte tenu de la faiblesse numérique des troupes en présence, l'expression me semble adaptée. La question reste pourtant de savoir si les discours tenus par Gauche Libérale peuvent séduire à l'extérieur de la caravane. © Commentaires & vaticinations
Suis-je vraiment de gauche ? Petit point sur mes credos Le vaticinateur est-il vraiment « de gauche » ? Les éruptions cutanées qu’il suscite chez les détenteurs d’une carte officielle de progressiste prouvent-elles le contraire ? Eléments de réponse... La « gauche » comme métaphore politique est une invention relativement récente. Mais les choses étant ce qu’elles sont, ce terme anodin est devenu l’arbitre des élégances, le mètre étalon, le juge de paix permettant de distinguer les gentils des méchants. Le problème, c’est que personne ne veut jamais être le méchant. Ainsi, on a pu voir que j’étais favorable à l’autonomie des universités ou au traité de Lisbonne, ce qui me place théoriquement dans le camp des affreux. A ceci près qu’il doit être assez facile de dénicher un trotskiste suédois allergique au centralisme éducatif ou un socialiste allemand amateur de documents juridiques denses et touffus... Les fondamentaux du parti que je viens de créer par inadvertance Santé, famille, nation, religion... Hum là, évidemment, ça commence à chauffer.
Pour un libéralisme de progrès Démocrates 66 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Démocrates 66 (en néerlandais, Democraten 1966, abrégé D’66) est un parti politique néerlandais, libéral de gauche, fondé en 1966 comme son nom l’indique, membre du parti ELDR, au niveau européen, fondé par Hans van Mierlo. Une brève histoire[modifier | modifier le code] Fondé le par 44 fondateurs, 25 d’entre eux venaient d’autres partis politiques. Aux élections de la 2de Chambre de 1967, il obtint 7 sièges, et 11 aux élections suivantes de 1971, puis n’obtint que 6 députés aux élections de 1972. Après les élections provinciales de 1974 menées par Jan Terlouw et qui furent encore plus désastreuses et une période sous la direction de Maarten Engwirda, le succès fut à nouveau au rendez-vous en 1990 quand Hans van Mierlo redevint le candidat principal aux élections (lijsttrekker ou tête de liste). Aux élections de 2002, Thom de Graaf était tête de liste. Direction[modifier | modifier le code] À l’international[modifier | modifier le code]