Cas d'autisme: pour le tribunal de Rimini, "c'est la faute du vaccin" 10 avril 2012 Autisme. Tribunal de Rimini : « La faute du vaccin ». Le ministère condamné à payer une indemnité. Désormais, cela semblait être une vieille théorie dénigrée, au contraire le tribunal de Rimini a soutenu qu’un vaccin peut rendre un enfant autiste. Ce jugement n° 2010/148, rôle n°2010/0474, journal.n°2012/886, a donné droit au recours introduit par des parents contre le ministère de la Santé, qui demandaient le paiement d’une indemnité pour complications irréversibles causées par un vaccin. Le vaccin en question est le ROR. Et vraiment le jour même, comme lu dans le jugement. Que cela fut rapporté à la vaccination pratiquée, le spécialiste Niglio l’avait déjà affirmé en juin 2008 et la confirmation est arrivée un an après par le spécialiste Montanari. La célèbre revue médicale Lancet a en fait officiellement retiré l’étude sur les possibilités de liens entre l’autisme et le vaccin ROR. Source: Quotidianosanita.it
VERDICT d’un tribunal italien : l’autisme du petit garçon a été causé par le vaccin Une indemnité à vie a été accordée à un enfant autiste qui avait précédemment reçu le vaccin hexavalent. Milan – Le Ministère Italien de la Santé devra verser une somme de dédommagement bimensuelle à un petit garçon atteint d’autisme, et ce, pour le restant de sa vie. C’est en 2006 que le petit garçon a été vacciné avec le vaccin hexavalent de routine fabriqué par la multinationale GlaxoSmithKline. Il s’agit du verdict émis par le Tribunal industriel de Milan présidé par le juge Nicola Di Leo. Qui plus est, en se référant au rapport de l’expert judiciaire et médical Alberto Tornatore désigné par le tribunal : « Le petit garçon a probablement été sensible à la toxicité d’un ou de plusieurs ingrédients du vaccin. INTERVIEW « décision incroyable » affirme l’expert Le vaccin hexavalent est administré en trois injections au cours de la première année de vie. BLOG – Les vaccins et la logique inversée par Michele Bocci
Syndrome d’Asperger ou autisme de haut niveau ? Maladie ou trouble ? Pour la plupart des gens, le syndrome d’Asperger est une nébuleuse Il y a ceux qui ne connaissent pas du tout (pour ceux-là, le problème est réglé ), mais aussi ceux, très nombreux, qui en ont entendu parler, parfois en lien avec le haut potentiel intellectuel, mais trouvent toujours ce syndrome bien étrange & mystérieux. Le nom circule, certes, mais finalement sans réellement permettre de saisir de quoi il est question. On ne comprend pas forcément ce qui se cache derrière ces mots Difficulté supplémentaire : ils ne savent pas quel mot poser sur l’autisme… « Maladie » ? (question qui m’est souvent posée…) Il faut dire que les articles de presse où l’on accole le terme de maladie à l’autisme sont légion ! A l’occasion de l’anniversaire d’Hans Asperger et dans le cadre de l’année de l’autisme, Grande cause nationale, l’association Asperger-Amitié réalise un micro-trottoir dont les interviewers sont pour la plupart porteurs du syndrome d’Asperger. L’autisme, une épidémie ?
Autisme (troubles envahissants du développement) - Santé mentale de A à Z - Espace Presse L’autisme fait partie des troubles envahissants du développement (TED) classés par l’Organisation mondiale de la Santé (Classification internationale des maladies – CIM-10) dans les troubles du développement psychologique : « C’est un groupe de troubles caractérisés par des altérations qualitatives des interactions sociales réciproques et des modalités de communication, ainsi que par un répertoire d’intérêts et d’activités restreint, stéréotypé et répétitif. ». Plusieurs catégories de TED sont identifiées dans la CIM-10. Autisme infantile : c’est un trouble envahissant du développement qui apparaît précocement dans l'enfance (avant 3 ans). Autisme atypique : il se distingue de l’autisme infantile en raison de l’âge de survenue (après 3 ans) ou de la symptomatologie (il n’est pas nécessaire que les manifestations pathologiques répondent aux critères de chacun des domaines touchés : communication, interactions sociales, comportement). Le diagnostic de l’autisme et des TED est clinique.
Autisme infantile Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'autisme infantile (en anglais : Childhood autism) est un trouble du développement humain défini à l'origine par Leo Kanner en 1943 comme « dérangements autistiques du contact affectif »[1] puis en 1944[2] sous l'appellation « autisme infantile précoce » (early infantile autism). Ce travail a permis d'isoler formellement un trouble infantile distinct du contexte préalable de la schizophrénie auquel il était associé, et a ouvert un domaine de recherche et de réflexion sur la notion d'autisme qui tend à être élargi à un ensemble de troubles du développement qui dépasse les critères diagnostiques d'origine. Définition[modifier | modifier le code] Il est aussi appelé autisme, sans autre précision, mais le terme étant parfois utilisé pour désigner des troubles apparentés et diagnostiqués distinctement, on tend à l'éviter pour distinguer précisément l'autisme infantile. Classification et critères[modifier | modifier le code]
Autisme Mise en garde médicale L’autisme, dont les manifestations sont décrites sous l'intitulé de troubles du spectre de l'autisme (TSA), est caractérisé par des difficultés dans les interactions sociales et la communication, et des comportements et intérêts à caractère restreint, répétitif et stéréotypé. Il existe différents niveaux de sévérité des traits autistiques, d'où la notion de « spectre ». Le diagnostic est indépendant des niveaux langagier et intellectuel de la personne. Les troubles associés sont fréquents. L'autisme a vraisemblablement joué un rôle positif dans l'histoire évolutive humaine. La compréhension de l'autisme a grandement évolué, d'une pathologie (ou maladie) jadis considérée comme rare et sévère décrite par des symptômes, un regroupement de traits communs, on parle aujourd'hui de troubles du spectre de l'autisme (ou TSA) précédemment nommés troubles envahissants du développement (TED) en référence à la neurodiversité plutôt qu'à une maladie. En complément :
Troubles du spectre autistique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les troubles du spectre autistique (TSA) forment un spectre de troubles du développement humain caractérisés par des anormalités dans les interactions sociales et la communication, ainsi que par des intérêts restreints et un comportement répétitif[1]. La notion de spectre autistique permet de reconnaître des troubles du développement désignés autrement que par le terme autisme mais qui répondent à ses critères. En 2010, la classification internationale des maladies par l'OMS regroupe les troubles du spectre autistique dans les troubles envahissants du développement. Évolution des notions[modifier | modifier le code] DSM-IV[modifier | modifier le code] Dans le DSM-IV, pour identifier un trouble autistique on décrit un ensemble de troubles affectant la personne dans les trois domaines suivants[2] : CIM10[modifier | modifier le code] Terminologie[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Testez vos besoins en acides gras essentiels ? | PiLeJe Micronutrition Ce test vous est proposé par notre partenaire l’Institut Européen de Diététique et de Micronutrition Communication facilitée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La communication facilitée est une méthode de soins conçue dans les années 1980 par Rosemary Crossley, une enseignante australienne, et destinée à améliorer les capacités de communications des personnes handicapées de la parole. En 1989, Douglas Biklen popularise cette méthode aux États-Unis notamment avec des personnes autistes. À partir de cette technique, qu'elle a introduite en France au début des années 1990, l'orthophoniste Anne-Marguerite Vexiau a développé la psychophanie (du grec phan : mettre au jour), son application à un objectif thérapeutique[1]. Elle a également fondé une association intitulée Ta Main Pour Parler (TMPP) qui organise des formations à la méthode[1]. L'efficacité de la communication facilitée n'a pas été prouvée, celle-ci est donc rejetée par la communauté scientifique[2]. Description de la méthode[modifier | modifier le code] Critiques scientifiques et sociales[modifier | modifier le code] Sur le modèle théorique :
Le syndrome entéropsychologique (Gut and Psychology Syndrome) Ce syndrome se trouve à la croisée des fonctions digestives et cérébrales. Cette appellation a été créée en 2004 par le Dr Natasha Campbell-McBride, Neurologue et Nutritionniste, après avoir travaillé avec des centaines d'enfants et d'adultes atteints de pathologies neurologiques et psychiatriques telles que troubles du spectre autistique, déficit d'attention avec ou sans hyperactivité, schizophrénie, dyslexie, dyspraxie, dépression, troubles obsessionnels compulsifs, trouble bipolaire et autres problèmes d'ordre neuropsychologique et psychiatrique. La lecture de l'ouvrage Le syndrome entéropsychologique permettra de mieux comprendre ce syndrome, son étiologie ainsi que ses modalités de traitement par un protocole nutritionnel adapté. Une vue d'ensemble du syndrome. D'un point de vue clinique, ces pathologies se superposent bien souvent, et tel enfant atteint d'un trouble envahissant du développement pourra être également hyperactif et dyspraxique. Mais ce n'est pas tout.
Approche biologique de l'autisme Le matériel présenté ci-dessous est issus soit de différentes conférences du DAN (Defeat Autism Now), soit de différents ouvrages (cf. bibliographie) en anglais, traduits en langue française, ou de sites internet québécois, en langue française. Le but de cette présentation est uniquement de faire connaître une approche à ce jour négligée en France. Seul certains aspects biologiques de l’autisme y sont abordés, sans que cette limitation constitue en soi une négligence des aspects éducatifs et cognitifs, des facteurs émotionnels ou autres facteurs. Il s’agit simplement de présenter un résumé des approches biologiques, et d’offrir une base documentaire permettant l’accès à des informations plus pointues. Les références bibliographiques, adresses des sites Web ou de newsgroups, adresses email des chercheurs mentionnés sont inclues. La plupart des sources ci-dessous sont américaines. Bernard Rimland : Statistiques nationales (US) Année scolaire 97-98 comparé à 98-99 Enfants agés de 6 - 21
Association Ariane - Autisme - Premiers pas Votre enfant présente un trouble envahissant du développement, est perturbé par son hyperactivité, un déficit d'attention, une aphasie, une dyslexie, etc., autant de termes qui, à la lumière des approches biomédicales, se traduisent par des expressions telles que perméabilité intestinale, intoxication, stress oxydant, inflammation, déséquilibre immunitaire, etc. Vous vous apprêtez à entreprendre ce que les Anglo-Saxons ont coutume de qualifier de "voyage". Un voyage au long cours, car ce que vous allez mettre en place sera bien entendu un traitement d'attaque à court terme, mais également des changements durables afin de soutenir à plus long terme la santé et le développement de votre enfant. L'approche biomédicale est individualisée : au lieu d'appliquer des traitements prédéfinis en fonction de l'étiquette que constitue le diagnostic, elle s'emploiera à corriger les déséquilibres mis en évidence par un bilan biologique, et à éliminer les facteurs perturbant le terrain du patient.
Sortons l’autisme de la pathologie! | Irma Zoulane Comme on ne peut pas sortir la pathologie de l’autisme – les réels problèmes de santé et les difficultés qui l’accompagnent sont une cruelle réalité – je propose du moins que nous sortions l’autisme du domaine de la pathologie. Je sais, c’est pas demain la veille. Le modèle médical nous sert de guide pour l’attribution des appartenances neurologiques. Jusqu’au jour où l’état autiste d’un individu pourra être déterminé par d’autres moyens – et j’ai bien hâte – nous devrons nous contenter du modèle de la pathologie pour nous reconnaître. Mais cette nécessité se limite à la définition des besoins et des modes de thérapie et de soutien. À partir du moment où on abandonne les termes liés à la pathologie dans la description des personnes autistes, on fait avancer la locomotive de l’égalité des chances, du respect et de la valorisation. Pas à pas, mot à mot. Utiliser les termes «souffrir» ou «atteint» d’autisme… ça veut dire quoi? Ça vous fait rire? Réfléchissons. Réfléchissons encore. Like this: