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Celtes

Celtes
Les Celtes constituent durant la protohistoire européenne un groupe de populations[1] indo-européennes parlant des langues celtiques et présentant une certaine unité culturelle[2], bien que les interactions culturelles de l'Europe celtique ancienne demeurent incertaines et controversées[3]. Par ailleurs, la connaissance du processus de diffusion territoriale des anciennes populations celtiques reste à améliorer, en particulier quant à celles des îles Britanniques et de la péninsule Ibérique[4],[5]. La première mention écrite du nom des Celtes (en grec ancien : Κελτοί / Keltoí ou Κέλται / Kéltai) pour désigner un groupe ethnique est due à Hécatée de Milet, historien et géographe grec, en 517 av. J.-C.[15], qui parlait d'un peuple vivant près de Massilia (actuelle Marseille)[16]. Celtique se réfère à une famille de langues et, plus généralement, signifie « des Celtes » ou « dans le style des Celtes ». Un fragment d'un texte des Catalogues d'Hésiode (VIIIe siècle av. Related:  antaria

Mythologie celtique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires puisque les sources dont nous disposons sont gauloises, plus précisément gallo-romaines, galloises et irlandaises, alors que la civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe. Elle est protéiforme puisque le nombre des dieux véritablement panceltiques est restreint et que les évènements mythiques diffèrent. Il y a cependant des correspondances entre les divinités des différentes zones géographiques, des équivalences dans les mythes et l’omniprésence des druides, tant en Gaule que dans les îles Britanniques. Des éléments importants de la mythologie celtique ont été repris dans le corpus littéraire appelé Matière de Bretagne, notamment dans le cycle arthurien. La problématique des sources[modifier | modifier le code] Sur le chaudron de Gundestrup (IIe siècle av. Gaule[modifier | modifier le code]

Ogham L’ogham (écrit aussi oġam[1] avec punctum delens ou ogam, prononcé « oh-am » en irlandais, « o-am » en gaélique écossais, et « oram » en vieil irlandais), ou écriture oghamique, est un alphabet antique utilisé principalement pour l'écriture de l'irlandais primitif (forme dite « orthodoxe », du IVe au VIe siècle), et plus tard pour le vieil irlandais (forme dite « scolastique » ou « scolaire », du VIe au IXe siècle). On compte environ 400 inscriptions de forme orthodoxe sur des monuments en pierre en Irlande et en Grande-Bretagne. La majeure partie d'entre elles proviennent du sud de l'Irlande, principalement des comtés de Kerry, de Cork et de Waterford[2]. En dehors de l'Irlande, c'est dans le Pembrokeshire du Pays de Galles qu'on en retrouve le plus[3]. La grande majorité de ces inscriptions sont des textes très courts, composés principalement de noms de personnes. L'étymologie du mot ogham reste totalement incertaine. La datation de cette écriture est tout aussi complexe. Christian-J.

Mythologie celtique Les Celtes en Europe, dans le passé et aujourd'hui : La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires puisque les sources dont nous disposons sont gauloises, plus précisément gallo-romaines, galloises et irlandaises, alors que la civilisation celtique a concerné une grande partie de l’Europe. Elle est protéiforme puisque le nombre des dieux véritablement panceltiques est restreint et que les évènements mythiques diffèrent. Des éléments importants de la mythologie celtique ont été repris dans le corpus littéraire appelé Matière de Bretagne, notamment dans le cycle arthurien. La problématique des sources[modifier | modifier le code] Sur le chaudron de Gundestrup (IIe siècle av. Dès que l'on aborde le domaine celtique, que ce soit au niveau de la civilisation, du druidisme ou de la mythologie, on se trouve inévitablement confronté au problème des sources. Les sources continentales[modifier | modifier le code]

Histoire de la Gaule. Les auteurs romains ont donné le nom de Gaule à la partie occidentale de la vaste région que les Grecs appelaient Keltiké, pays des Celtes, et qui s'étendait de l'océan Atlantique à la mer Noire . , la mer Méditerranée , les Alpes et le Rhin Ce pays était divisé en plusieurs grandes régions : l'Aquitaine, située entre les Pyrénées et la Garonne et habitée par les Ibères; la Celtique, située entre la Garonne, la Seine et la Marne et habitée par les Celtes; la Belgique, située au Nord de la Seine et de la Marne et habitée par un mélange de Celtes et d'immigrants germains. La Gaule des Celtes Dès le commencement du VIe siècle av. Dès 154, Marseille appela les Romains à son aide contre les Ligures qui l'inquiétaient et entravaient le développement de son commerce. , le cours moyen du Rhône et une ligne à peu près droite allant de Genève au Var. Guerres des Gaulois. . Galatie). La religion gauloise.On connaît très mal la religion des Celtes. La déeese gallo-romaine Epona. et jusqu'au Danube et l'Adour

The Legend of Oisín and the Fabled Island of Tír na nÓg - A Tale of Paradise, Love, and Loss The fabled paradise island of Tír na nÓg is said to be located off of the west coast of Ireland. Tír na nÓg is known as the land of perpetual youth. It is also named the Island of the Living, the island of Life, Brasil's Island, The Land of Promise, and the Land of Youth, among others. The story of Tír na nÓg is one of a land where time stands still. In legend, those on the island are said to never age, and they never grow old. In the center of the lore about the fabled paradise is the story of Oisín. Fionn Mac Cumhaill and the Fianna. The story goes that one day, while traveling through the hills hunting, Oisín saw a majestic white horse. She approached the Fianna on her horse. Oisín loved his father, and he did not want to leave him. Oisín arrived in Tír Na nÓg and was very happy there with Niamh. Painting, Ossian's dream. 1813. Oisín was happy living with Niamh at Tír Na nÓg, but he felt that something was missing. References Tír Na nÓg - Ireland of the Welcomes. By M R Reese

École pythagoricienne L’école pythagoricienne fondée par Pythagore (580-495 av. J.-C.) en Grande-Grèce constitue une confrérie à la fois scientifique et religieuse : le pythagorisme repose en effet sur une initiation et propose à ses adeptes un mode de vie éthique et alimentaire, ainsi que des recherches scientifiques sur le cosmos. Bien que le terme d'école philosophique soit contesté et qu'on préfère généralement parler de secte pour le pythagorisme[Note 1], cette association religieuse, politique et philosophique dura neuf ou dix générations, et a joui d'une très grande notoriété aussi bien dans l'antiquité grecque que romaine[Note 2]. Règles de l’enseignement[modifier | modifier le code] Doctrine[modifier | modifier le code] Principes[modifier | modifier le code] Le limitant et l'illimité : Pour les pythagoriciens, l'univers tout entier est constitué à partir du mélange de deux principes, ce qui limite, qui détermine, qui arrête, τὸ πέρας / τὸ περαίνον, et ce qui est illimité, τὸ ἂπειρον. La polarité

Fête religieuse celtique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Note : cet article est exclusivement consacré aux fêtes religieuses des Celtes de l’antiquité, pas aux rites du néo-druidisme contemporain. Les quatre fêtes religieuses[modifier | modifier le code] Samain / Samonios[modifier | modifier le code] Samain, dont le nom signifie « réunion », est une fête obligatoire qui donne lieu à des rites druidiques, des assemblées, des beuveries et des banquets rituels ; son caractère religieux la place sous l’autorité de la classe sacerdotale des druides. C’est une fête de passage pendant laquelle des héros, ou des hommes exceptionnels, peuvent se rendre dans le Sidh (généralement à l’invitation d’une Bansidh), et y séjourner. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, de par sa définition, elle est propice aux évènements magiques et mythiques. C'est une période spéciale où le passage entre le monde des dieux et celui des humains est ouvert. Imbolc[modifier | modifier le code]

Gaulois (peuples) Outre la désignation sous laquelle on range les Gaulois, il existe plusieurs sous-ensembles et groupes culturels identifiés avant César par les géographes et historiques antiques : on peut mentionner ainsi les Ibères dans le Languedoc et les Ligures en Provence, qui se rattachaient eux aussi à la civilisation celtique antique malgré une forte hellénisation dès l'époque classique et hellénistique. Les Gaulois, à partir du IIe siècle av. J.-C. et surtout à la suite de la conquête des Gaules par Jules César, sont l'objet d'un processus d'acculturation rapide, du fait du grand commerce en Méditerranée et de la soumission à l'État romain. Les Gaulois, à proprement parler, se composaient politiquement de nombreuses nations indépendantes et de confédérations parlant un ensemble de dialectes celtes. Les Gaulois se nommaient eux-mêmes « Celtes » (« Celtae » en latin)[Note 1] en leurs langues ou plus exactement Keltoï écrit en alphabet grec. Au Ier siècle av. Les Gaulois sont polythéistes.

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