Les étudiants et les Tice
miguelavg /Stock Photos Dans un établissement éducatif, le prof reste le prof et l'étudiant reste l'étudiant. Sous cette formule un peu provocatrice se cache une réalité : même pour ce qui touche aux technologies de l'information et de la communication, les enseignants doivent apprendre aux étudiants à utiliser les outils. Les étudiants sont par ailleurs attachés aux formes traditionnelles de l'enseignement, quand elles leur donnent ce qu'ils attendent : une interaction avec un enseignant et, éventuellement, avec des pairs. Et quand les étudiants s'intéressent vraiment aux TIC, qu'ils mettent les mains dans le code, cela donne parfois des résultats spectaculaires : certaines applications désormais fort connues sont nées de projets étudiants. Cette semaine Thot Cursus arpente les couloirs des établissements d'enseignement supérieur à la rencontre des étudiants. Les étudiants préfèrent l’hybride 25 mars 2012 Le monde universitaire est dans un grand dilemme. 27 mars 2012 26 mars 2012
Conférences
Les usages des TIC par les lycéens - déconnexion entre usages personnels et usages scolaires Cette recherche, qui adopte la perspective de la sociologie des usages, s'appuie à la fois sur une enquête par questionnaire et par entretiens pour sonder les usages numériques des lycéens de l'enseignement secondaire général en France. Deux objectifs sont visés : d’une part, grâce aux données empiriques obtenues, un état des lieux des usages numériques des jeunes est conduit. Date 2012-04-18, de 12h00 à 13h30 Lieu Université de Montréal Pavillon Marie-Victorin B-328 Conférencière/Conférencier Nicolas GUICHON du Laboratoire ICAR de l'Université Lyon 2 est maître de conférences (habilité à diriger des recherches) en didactique des langues à l'université Lyon 2 et il appartient au laboratoire ICAR (Interactions, corpus, apprentissage, représentations). Site professionnel :
3 millions d'emplois menacés, le côté obscur de la digitalisation
Il était une fois la robolution… « Le remplacement de l’homme par la machine est peu à peu devenu une réalité ». C’est ce qu’affirme le cabinet Roland Berger Strategy Consultants dans un rapport choc intitulé « Les classes moyennes face à la transformation digitale ». Dans ce document, le cabinet affirme que 42% des métiers seront automatisables d’ici 20 ans. Et ce ne sont pas uniquement des métiers manuels. Et d’ici 2025, 3 millions d’emplois risquent d’être détruits en France par la digitalisation de l’économie. Rage envers la machine ? Le débat n’est pas nouveau : la robotisation de l’économie est-elle créatrice ou destructrice d’emplois ? De l’autre côté, on s’inquiète tout de même du remplacement des hommes par les machines, avec en filigrane une peur ancestrale de l’ennemi robotisé nourrie en partie par les films de science-fiction. Une nouvelle vague de l’automatisation Les métiers de services ne seront pas épargnés Travailler en coopération avec les robots
Pourquoi il ne faut pas avoir peur de la Génération Y
Faut-il avoir peur de recruter un jeune de la "Génération Y", c’est-à-dire né entre les années 1980 et 1990 ? A en croire, Marc Lebailly, anthropologue et co-auteur de Pour une anthropologie de l’entreprise, il faut "arrêter avec les idées reçues sur la Génération Y", et donc ne pas considérer le jeune comme un salarié différent des autres. Loin d'être des "zappeurs" comme il est souvent admis, ces jeunes sont en fait animés des mêmes motivations que leurs aînés. L’étude, dirigée par l'anthropologue du cabinet de conseil Alternative Consulting Group (ACG), a passé au crible avec l’Observatoire culturel pas moins de 26.675 réponses déposées sur le site l’Etudiant.fr. Conclusion : les attentes professionnelles de cette génération sont extrêmement... diverses. Comme les autres générations, celle-ci est composée d'idéalistes (20%) ou d'enthousiastes (20%), selon les résultats du questionnaire en ligne. Plus enclins à créer qu'a vendre Existe-t-il un employeur modèle à leurs yeux ?
Programme de la journée - Génération Y et Formation
Génération Y : Effet de mode ou véritable enjeu pour la formation ? Programme Journée d’Etude 9h00 : Accueil Première partie : La génération Y en questions 9h30 : Intervention de Christophe Bourgognon – Introduction : Génération Y : La génération du Millénaire 10h15 : Intervention de Benjamin Chaminade Décryptage de la Génération Y dans les organisations. 10h40 : Questions-réponses avec le public 11h : Pause 11h15 : Intervention de Myriam Levain et Julia Tissier & Questions-réponses avec le public Témoignages de cette Génération Y sur son rapport au travail. 11h45 : Présentation, achat, dédicace du livre « La Génération Y par elle-même : Quand les 18-30 ans se réinventent. » 12h00 : Pause déjeuner Deuxième partie : Regards croisés sur la Génération Y, apprentissage collaboratif et usage des technologies. 13h00 : Intervention de l’Equipe projet Pourquoi s’intéresser à la Génération Y ? 14h00 : Table ronde
Le choc des générations BB, X et Y : comment travailler ensemble ?
En quoi les différentes générations vont-elles remodeler le marché du travail ? C’est à cette question que le cabinet de recrutement Hudson a voulu répondre avec son enquête sur les générations BB (les baby boomers nés entre 1946 et 1964), la génération X (1965-1979), la génération Y (1980-1994) et la génération Z (les jeunes mutants nés après 1995). Des générations qui on un rapport différent au travail. Voici leurs particularités et leurs façons de pensée. Les baby-boomers, des leaders-nés ? Entre ces quatre générations qui doivent travailler ensemble, il y a parfois un demi-siècle d’écart. Les Y ont une préférence pour l’abstraction A l’opposé de ces compétences opérationnelles, la génération Y « a une préférence beaucoup plus marquée pour la pensée conceptuelle » et semble moins tournée vers la stratégie que les Boomers. Quelle place pour la génération X ? Entre ces deux générations très différentes, les X ont toujours du mal à se frayer un passage.
La “generation Y” en a assez des “pourquoi ?” | Owni.fr
Cet article sous forme de manifeste, publié en mai 2009, fait la liste de tout ce qui agace les fameux "digital natives". Il est toujours cruellement d'actualité. C’est une tarte à la crème, un cliché à la vie dure, mais la génération Y, ou génération numérique, ou génération digitale, ou encore génération du pouce (SMS & consoles de jeux) est là, et bien là. Socialement présente, active, et… mal accueillie. On ne veut plus des “pourquoi vous n’êtes pas politisés ?” C’est une contre-vérité car nous votons et débattons, la jeune génération est en revanche très méfiante vis-à-vis des appareils politiques. On ne veut plus des “pourquoi vous n’engagez pas la lutte sociale ?” Heu… le CPE, les stagiaires anonymes, le chômage des jeunes si élevé, l’insertion sociale impossible, la banque qui se fait pénible dès le début de la vie indépendante, un État criblé de dettes pour le maintien du niveau de prestations d’une génération qui aura tout conquis et tout croqué, ça vous dit quelque chose ?
Les 8 lois du temps et de l'efficacité au travail
Loi de Murphy, de Carlson, de Douglas, de Pareto, d’Illich, de Parkinson, de Laborit et d’Hofstadter : voilà 8 lois du temps et de l’organisation du travail à connaitre absolument pour survivre dans le monde de l’entreprise et être plus efficace. Pendant tout l’été vous avez pu découvrir chaque semaine une de ces lois, voici le récapitulatif. 1. L’inventeur : Edward Aloysius Murphy Jr., ingénieur aérospatial américain (1918-1990)Définition : « Tout ce qui peut mal tourner va mal tourner » (« Anything that can go wrong, will go wrong »)Autres noms : loi de l’emmerdement maximum (LEM), loi de la tartine beurrée, effet démo (avec sa variante sous-culturelle : l’effet Bonaldi), loi de Bouchard, loi du fatal error, loi de Finagle…Les choses à faire pour l’éviter : Rien si ce n’est prier au bon moment ou poser un jour de RTT quand ça tourne vraiment mal. En savoir plus sur la Loi de Murphy 2. En savoir plus sur la Loi de Parkinson 3. En savoir plus sur la Loi de Carlson 4. 5. 6. 7. 8.