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Le néo-consommateur : une espèce en voie d'apparition ou le consommateur 2.0

Le néo-consommateur : une espèce en voie d'apparition ou le consommateur 2.0
Le consommateur d’aujourd’hui aspire à consommer différemment. Il a d’autres envies, d’autres ambitions pour lui-même et est en train d’adopter de nouvelles habitudes de consommation. En effet, si la crise économique de 2008 est à l’origine de l’émergence du néo-consommateur, celui-ci est cependant le fruit de mutations plus profondes qui ont donné naissance à de nouvelles tendances de consommation. 1. La crise économique à l’origine de l’émergence du néo-consommateur L’attention des consommateurs a toujours été focalisée sur leur pouvoir d’achat. Cette crise de 2008 a tout d’abord entrainé une perte de repère de la part des consommateurs, qui se sont alors réfugiés dans les valeurs sûres : la recherche de prix bas, ou tournés vers de nouveaux médias pour consommer. 1.1 Une perte des repères de la part des consommateurs Trois causes à ceci : 1.2 Réaction immédiate des consommateurs : les valeurs sûres Recherche de prix bas Développement de nouvelles pratiques d’achat suite à la crise 2.

INFLUENCES - CarnetTendance INfluencia N°3: Les 7 tendances ¾ de la conversation La conversation n’a jamais été aussi forte et aussi nécessaire entre le consommateur et les marques. Dans la vie réelle et sur la Toile. Mais bien souvent celles-ci font encore trop preuve de surdité aiguë. Alors dans quelle direction cette conversation doit-elle aller? Le nouveau numéro de CarnetTendance INfluencia envisage une réponse sous forme de 7 tendances ¾. 7, comme le chiffre de la perfection… Ultra connect or connect? Je milite ou je ″m’en tape″? Je participe ou je me tais? Me myself ou les autres? Je joue ou j’observe? Je me révolte ou j’accepte? Je vais lentement ou vite? Et pourquoi ¾ ? Et parce que toute tendance a sa contre-tendance, INfluencia a demandé à Danielle Rapoport, psychosociologue, fondatrice de DRC, société d'études des modes de vie et de la consommation, de réagir et de jouer ses contrepoints… A lire dans CarnetTendance

Qu'attendent les consommateurs en temps de crise? - Les fondamentaux du marketing En cette période de difficultés économiques, les marques n'ont pas bonne presse. On les soupçonne de ne pas jouer le jeu. La récente polémique sur les baisses de quantité sur certains produits de grande consommation, non compensées par des baisses de prix, a encore terni le tableau. L'enquête menée en France par Ipsos Marketing fait émerger un premier constat: quel qu'en soit le motif, les marques font actuellement l'objet d'une désaffection. 55% des consommateurs disent ainsi acheter moins qu'avant les produits de «grandes marques» (Coca-Cola, Danone, etc.). Ce sont les femmes qui ont le plus réduit leurs achats (57% vs. 53% pour les hommes). Plus de promotions et de transparence © Source : Ipsos marketing Méthodologie enquête réalisée, en ligne, en octobre 2008, auprès d'un échantillon représentatif de 500 personnes. Comment faire revenir les consommateurs vers les marques? Des pubs moins clinquantes?

Fiche 10 – Les comportements de consommation du futur | OT du Futur Ce qu’il faut savoir Parallèlement à toutes les grandes évolutions de la consommation, on voit se développer des tendances à contre-courant de la consommation classique actuelle comme l’empathie, l’écocitoyenneté ou le partage. Demain, des crises écologiques et humanitaires majeures, s’ajoutant aux crises économiques et aux pressions sociales subies, viendront accélérer ce processus d’évolution. Présents actuellement sous forme d’arbitrage au sein de chacun de nous, ces comportements naissants et aujourd’hui paradoxaux préfigurent déjà les modes de consommation du futur. Quelques éléments clefs Désirant toujours plus de confort à moindre prix, le touriste est aussi de plus en plus favorable à une éco-consommation. 88 % des Français sont favorables ou très favorables aux notions de tourisme durable, mais paradoxalement, 4 % seulement ont déjà acheté des prestations estampillées responsables ou durables. Le partage d’un usage est l’une des valeurs montantes du futur. Haut de page

Check-in - Check-In l'enchanteur - Faith Popcorn: «le consommateur sera plus schizo que jamais» Faith Popcorn: «le consommateur sera plus schizo que jamais» Publié le 10 février 2011 L’Amérique lui doit l’invention du terme «cocooning», aujourd’hui devenu Lo-Co (Local Cocooning). Chaque année, Faith Popcorn, la papesse des nouvelles tendances et sa société Brainreserve dissèquent les tendances à venir… Que nous réserve 2011? En exclusivité pour INfluencia dans notre nouveau CarnetTendance En 2011, Faith Popcorn enterre la guerre des sexes tout en reconnaissant une soif d’individualité de la part des consommateurs las de vivre dans une société dépersonnalisée. 3 questions à Faith Popcorn: INfluencia: quelle est selon vous, la grande tendance de 2011 du point de vue du consommateur? Faith Popcorn: nous prédisons «the End of Gender», ou la fin de la guerre des sexes. INfluencia: vous aviez déclaré l’année 2010 «year of the Lo-Co» (local cocooning), caractérisée par un recentrage de nos valeurs autour de notre communauté. Les 17 prédictions pour 2011 - 2012 Anne Sengès

Dans la grande distribution, la guerre des prix revient C'est une déclaration de guerre lancée à coups de patates et de tomates fraîches. Avec sa publicité comparative - réponse humoristique à celle de Leclerc - sortie le 25 avril, Auchan entend prouver sa détermination à détrôner l'épicier de Landerneau, leader incontesté des prix bas. Et, cette fois, ce n'est pas une de ces escarmouches dont la grande distribution a le secret, notamment à la rentrée des classes ou à Noël. Aujourd'hui, l'attaque frontale semble être le prélude à une longue lutte pour conquérir les clients dans un marché hyperconcurrentiel. Crise économique, inquiétude pour l'avenir, baisse du pouvoir d'achat : les Français freinent considérablement leurs dépenses alimentaires (-2,3 % en mars selon l'Insee), plébiscitant clairement les magasins les moins chers. Branle-bas de combat général Auchan a voulu frapper fort. Le branle-bas de combat est général. Il n'y a plus de temps à perdre. Michel-Edouard Leclerc, lui, jubile. Rattraper Leclerc, un pari impossible ?

[Infographie] Alimentaire et nutrition-santé: qui sont ces « nouveaux consommateurs »? Et qu’attendent-ils? « La chute du capitalisme », « la fin des hypermarchés », « vers une économie hybride entre capitalisme et partage », « la mort d’un modèle », etc… Ces derniers mois, la presse spécialisée en analyse des consommateurs, marketing, et économie, ne manque pas d’alerter les industriels sur les évolutions actuelles de notre système économique. A l’origine de ces bouleversements, pour bon nombre d’experts (comme Philippe Moati – notre interview à lire ici), la troisième révolution industrielle, déclenchée par des consommateurs aux comportements et aux attentes différents. Mais concrètement, qui sont ces nouveaux consommateurs ? Et plus particulièrement, comment se comportent-ils par rapport aux marchés alimentaires et nutrition-santé ? Un éclairage appuyé d’une infographie à lire ci-dessous… en attendant les interventions d’éminents spécialistes (Jeremy Rifkin, on vous attend avec impatience !) Des e-consommateurs ? Des consommateurs zappeurs Plus d’information sur : www.forum-vitagora.com

Conclusion : 12 conseils pour réussir votre marketing en 2011 Pour conclure, 2011 sera encore une année de changement et d’innovation. Le digital au sens très large est plus que jamais en train de faire exploser les anciens modèles. Le consom’acteur est désormais roi. Les marques et les entreprises qui seront s’adapter et accepter ces mutations comme des opportunités marqueront des points, celles qui résistent tiendront encore quelques années…avant de péricliter. Les tendances listées ici ne sont encore rien par rapport aux phénomènes que nous verront dans les années à venir avec l’avènement du continent Asiatique et Indien, où la possibilité de « digitaliser des produits » (pouvoir imprimer un téléphone chez soi par exemple ou une voiture comme c’est déjà possible !) Pour résumer, voici 12 conseils pour aborder 2011 du bon pied PS : n’hésitez pas à réagir positivement ou négativement, à nous signaler toute erreur ou à apporter toute précision à cette longue série d’articles sur les tendances 2011 dans les commentaires ou par email.

Auchan et Carrefour jouent à la guerre des prix (pour de faux) Montage - G.Steudler Le jouet, un secteur bien peu concurrentiel Téléchargez gratuitement l’enquête de décembre 2011 dans laquelle nous dénoncions le manque de concurrence dans le secteur du jouet. Commerce/distribution - 30 novembre 2012 Auchan et Carrefour jouent à la guerre des prix (pour de faux) « On vous rembourse deux fois la différence si vous trouvez votre jouet moins cher ailleurs. » Avec ce slogan, Auchan et Carrefour laissent espérer une vraie guerre des prix au bénéfice du consommateur. Depuis fin octobre, Carrefour affiche dans les journaux et sur les murs sa garantie « Prix le plus bas » sur deux cents jouets de grandes marques. Fin novembre, Auchan contre-attaque : « Chez Auchan, quand on garantit les jouets moins chers, on ne roule pas des mécaniques », clame l’enseigne. Des distributeurs qui prennent bien peu de risques À lire ces publicités, on pourrait croire que la guerre des prix est bel et bien engagée dans le secteur du jouet à la veille de Noël. Fabienne Loiseau

Consommation : 82% des Français sont adeptes de produits locaux Si le prix est le critère plébiscité par 81% des consommateurs pour leurs courses alimentaires, acheter français reste la priorité : 91,7% privilégient le "Made in France". Une tendance particulièrement reconnue chez les séniors (32%). Le local aussi est décisif dans l'acte d'achat : 81,7% des Français font plus confiance à un produit alimentaire produit à 150 km autour de leur lieu d’habitation, dont 85,2% des familles avec enfant. Ce sont les Parisiens et les Franciliens qui sont les plus méfiants : 23% ne font pas plus confiance à un produit alimentaire produit près de chez eux. 45% des clients se réfèrent aux certifications, perçues comme un gage de qualité. Ce sont les enseignements de l'étude Biocoop sur les motivations des Français pour leurs achats alimentaires. Le choix des produits en fonction de la marque marque arrive en 4ème position des critères des personnes interrogées, avec 40% des réponses, derrière la certification, puis les qualités nutritionnelles (33%).

Tendance #11 : #brandcontent En 2011, la denrée rare du marketing sera plus que jamais l’attention des consommateurs. Après des années de culture intensive à grands renforts de publicité, il s’agira, pour chaque annonceur, de renouveler ses méthodes en prouvant tout à la fois sa capacité de divertissement, son utilité ou sa compréhension des nouvelles attentes d’un public toujours plus volatile. Le brand love, ne plus payer ? Le discours est désormais bien rodé et le constat bien ancré : 2010 aura consacré la mort du marketing interruptif, définitivement mal-adapté à la nouvelle société de conversation. Contrairement à ce que certains pensent, celle-ci ne pourra pas être que conversationnelle. La marque comme objet social Devenir le centre des conversations parce qu’aussi incroyable que le dernier acteur à la mode, la dernière it-girl ou aussi indispensable que le lait en poudre. Êtes-vous armés pour la bataille du earned media qui vous projette tous contre tous dans une compétition de l’attention ? Et dans la pub ?

Le "drive" pénalise les achats d'impulsion LE MONDE | • Mis à jour le | Par Cécile Prudhomme Le "drive", ce nouveau circuit de distribution grâce auquel les consommateurs commandent leurs courses sur Internet et viennent les retirer en magasin ou en entrepôt, va-t-il cannibaliser les ventes des grandes surfaces ? Lancé par Auchan au milieu des années 2000, expérimenté timidement par la suite par d'autres marques comme Casino ou Système U et développé à grande échelle en 2011 par Leclerc, le système séduit de plus en plus de ménages. Il a aussi pour conséquence de modifier les habitudes de consommation. Selon le cabinet d'études Kantar Wordpanel, entre février 2011 et février 2012, il a attiré 2,1 millions de ménages, souvent une clientèle jeune, familiale, et pressée. Dans leur panier, les ménages mettent d'abord des produits lourds et encombrants, des fonds de placard, qui figurent sur leur liste de courses : boissons non alcoolisées, conserves, lessives, aliments pour animaux domestiques, produits pour bébé...

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