Physiologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La physiologie regroupe des processus qu'elle étudie en grandes fonctions qui sont : Histoire[modifier | modifier le code] L'étude de la physiologie humaine remonte à au moins 420 avant J. Au XVIIe siècle naît la « première révolution biologique » : la cabinet d'études du physiologiste s'équipe de nombreux instruments de mesure (balance thermomètre, baromètre) qui permettent de mesurer les paramètres biologiques des animaux sacrifiés mais les résultats de ces études ne sont pas mis à profit par les médecins qui appliquent toujours le Primo saignare, deinde purgare, postea clysterium donare (« d'abord saigner, ensuite purger, postérieurement seringuer »)[2]. Domaines[modifier | modifier le code] La physiologie comporte plusieurs subdivisions regroupées en divers articles : Électrophysiologie[modifier | modifier le code] L'électrophysiologie est la partie de la physiologie qui mesure les courants électriques des cellules. ↑ (en) Stanley C. Néant
Génétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De la molécule d'ADN à la cellule vivante. Relations schématiques entre la biochimie (biochemistry), la génétique (genetics) et la biologie moléculaire (molecular biology). La génétique (du grec genno γεννώ, « donner naissance ») est la science qui étudie l'hérédité et les gènes, c'est une sous-discipline de la biologie. Une de ses branches, la génétique formelle, ou mendélienne, s'intéresse à la transmission des caractères héréditaires entre des géniteurs et leur descendance. L'invention du terme « génétique » revient au biologiste anglais William Bateson (1861-1926), qui l'utilise pour la première fois en 1905. Différents champs de recherche[modifier | modifier le code] Très tôt, la génétique s'est diversifiée en plusieurs branches différentes : la génétique du développement étudie les acteurs moléculaires (et les gènes qui les codent) impliqués dans la formation de l'organisme à partir du stade unicellulaire d'œuf fécondé. En 1966, J.L.
Embryologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On peut diviser l'embryogénèse[1] en trois stades qui sont: Le clivage, ou segmentation.La gastrulation.L'organogénèse. L'organogénèse est par conséquent commune à tous les organismes mais celle-ci peut être différenciée en différentes sous étapes qui peuvent parfois intervenir en même temps comme la neurulation ou la métamérisation. La tératologie est l'étude des anomalies de l'embryon et du fœtus. Histoire de l'embryologie[modifier | modifier le code] Le modèle actuel du développement de l'embryon repose sur l'épigénèse qui stipule que celui-ci se développe de manière de plus en plus complexe en rapport direct avec son environnement. Il faut attendre le début du XIXe siècle et Karl Ernst von Baer (1792-1876) pour entrer véritablement dans l’embryologie moderne. En 1866, Ernst Haeckel a introduit la théorie de la récapitulation qui fait le parallèle entre la croissance d'un embryon et l'évolution de son espèce. Portail de la biologie
Machine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une machine (latin machina, du grec dorien mākʰanā (μαχανά, μηχανή en ionien-attique), signifiant : astuce, invention ingénieuse, dispositif) est un produit fini mécanique capable d'utiliser une source d'énergie communément disponible[1] pour effectuer par elle-même, sous la conduite ou non d'un opérateur, une ou plusieurs tâches spécifiques, en exerçant un travail mécanique sur un outil, la charge à déplacer ou la matière à façonner. Une machine peut être fixe (machine-outil, machine à laver…) ou mobile (locomotive, tondeuse à gazon…). Remarques : Histoire[modifier | modifier le code] Caractéristiques[modifier | modifier le code] L'animal-machine, l'homme-machine et la philosophie[modifier | modifier le code] Les philosophes et les religions débattent depuis longtemps du statut souvent jugé tout à fait spécifique de l'homme et de l'animal parmi les êtres vivants[3]. Machine-outil[modifier | modifier le code] J.M.
Biologie moléculaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir BM. La biologie moléculaire est apparue au XXe siècle, à la suite de l'élaboration des lois de la génétique, la découverte des chromosomes et l'identification de l'ADN comme support chimique de l'information génétique. Histoire[modifier | modifier le code] La biologie moléculaire est apparue dans les années 1930, le terme n'ayant cependant été inventé qu'en 1938 par Warren Weaver. Après la découverte de la structure en double hélice de l'ADN en 1953 par James Watson (1928-), Francis Crick (1916-2004), Maurice Wilkins (1916-2004) et Rosalind Franklin (1920-1958), la biologie moléculaire a connu d'importants développements pour devenir un outil incontournable de la biologie moderne à partir des années 1970. Relation avec les autres sciences biologiques « à l'échelle moléculaire »[modifier | modifier le code] Techniques de biologie moléculaire[modifier | modifier le code] Électrophorèse[modifier | modifier le code]
Programmation informatique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La programmation dans le domaine informatique est l'ensemble des activités qui permettent l'écriture des programmes informatiques. C'est une étape importante du développement de logiciels (voire de matériel). Pour écrire le résultat de cette activité, on utilise un langage de programmation. La programmation représente usuellement le codage, c’est-à-dire la rédaction du code source d'un logiciel. Un exemple simple de programme[modifier | modifier le code] L'immense majorité des programmes qui s'exécutent sur nos ordinateurs, téléphones et autres outils électroniques sont écrits dans des langages de programmation dits impératifs : les lignes du programme sont exécutées les unes après les autres. On remarque que pour effectuer une tâche très simple, le code informatique est très laborieux, et encore ici on ne traite pas les erreurs (si l'utilisateur tape un mot au lieu d'un nombre), et l'affichage est minimaliste. "Si" Si prédicat Alors faire ceci
Anatomie comparée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'anatomie comparée est une branche de l'anatomie. Elle a été fondée par Edward Tyson (1650-1708) mais a été rendue populaire par le célèbre anatomiste Georges Cuvier (1769-1832). Elle a pour objectif de comparer l'anatomie de différentes espèces, (animales, végétales, fongiques...) pour en déterminer la phylogénie et les processus adaptatifs de chacune d'entre elles à leur environnement. Généralités[modifier | modifier le code] L'anatomie comparée est une source importante de données servant principalement à l'étude de l'évolution du vivant. Dans cette méthode d'étude, on démontre que de simples modifications dans les proportions ou le positionnement des composants des organes suffisent à en changer la fonction. Lorsque deux organes se ressemblent (jusque parfois dans leur structure) sans avoir la même origine, on parle de convergence évolutive, ou homoplasie. Anatomie comparée des vertébrés[modifier | modifier le code] Branchies d'un thon
Biodiversité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Depuis le sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992, la préservation de la biodiversité est considérée comme un des enjeux essentiels du développement durable. L'adoption de la Convention sur la diversité biologique (CDB) au cours de ce sommet engage les pays signataires à protéger et restaurer la diversité du vivant. Au-delà des raisons éthiques, la biodiversité est essentielle aux sociétés humaines qui en sont entièrement dépendantes à travers les services écosystémiques. Depuis 2012, la Plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), un groupe d'experts intergouvernemental sur le modèle du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), a été lancé par le programme des Nations unies pour l'environnement pour conseiller les gouvernements sur cette thématique. Histoire du concept[modifier | modifier le code] Définition[modifier | modifier le code]
Biologie du développement Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La spécialisation est généralement progressive. Elle n'apparaît pas typiquement au départ. Cette détermination ou cette spécification peut être contrôlée par des différents facteurs : Intérêts et perspectives[modifier | modifier le code] Le développement d'une nouvelle vie est un processus spectaculaire, qui constitue un chef-d’œuvre de contrôles temporal et spatial de l'expression génétique. La compréhension de la spécialisation des cellules durant l’embryogenèse a permis de comprendre comment les cellules souches se différencient et se spécialisent en différents tissus. Organismes modèles[modifier | modifier le code] De nombreux organismes modèles sont utilisés en biologie du développement. InvertébrésPlantes Notes et références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens[modifier | modifier le code]
The Psoas: Muscle of The Soul | body divine yoga I was delighted when I first came across Liz Koch’s amazing work because it confirmed much of what I’d been intuiting on my own. I had begun to open and close my yoga practise with hip opening poses with the specific intention of releasing tension in my psoas and hip flexors. I’d breathe and imagine tension flowing out of constricted muscles to be released as energy into the torso. It worked, I’d feel my body soften yet somehow grow stronger. Reading Liz Koch I instantly realized what I was doing – by learning to relax my psoas I was literally energizing my deepest core by reconnecting with the powerful energy of the earth. Well, I just had to learn more. The Psoas muscle (pronounced so-as) is the deepest muscle of the human body affecting our structural balance, muscular integrity, flexibility, strength, range of motion, joint mobility, and organ functioning. The Psoas is the only ‘muscle’ to connect the spine to the legs. A relaxed psoas is the mark of play and creative expression. (P.