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Tai-chi-chuan

Tai-chi-chuan
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tai-chi-chuan ou tai chi ou taiji quan [1] (chinois simplifié : 太极拳 ; chinois traditionnel : 太極拳 ; pinyin : tàijíquán Écouter ; Wade : t'ai⁴chi²ch'üan² ; cantonais Jyutping : taai³gik⁶kyun⁴ ; cantonais Yale : taaigihkkyùhn ; littéralement : « boxe du faîte suprême ») est, selon comment il est pratiqué, à la fois une gymnastique de santé, un art martial chinois, dit « interne » (neijia), d'inspiration taoïste, et une voie spirituelle. Les sinogrammes du tai-chi-chuan sont composés des éléments taiji 太極, « faîte suprême », et quan 拳, « poing, boxe » et traduits littéralement par « boxe du faîte suprême », ou « boxe avec l'ombre », car l'observateur a l'impression que le pratiquant lutte contre une ombre. Histoire[modifier | modifier le code] Démonstration de tai-chi-chuan Les premiers philosophes taoïstes comme Lao Zi (vers 500 av. Les origines géographiques[modifier | modifier le code] Le mythe de Zhang Sanfeng[modifier | modifier le code] Related:  Occultisme / Ésotérisme / Religion

Danse macabre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Danse macabre est un élément, le plus achevé, de l'art macabre du Moyen Âge, du XIVe au XVIe siècle. Par cette sarabande qui mêle morts et vivants, la Danse macabre souligne la vanité des distinctions sociales, dont se moquait le destin, fauchant le pape comme le pauvre prêtre, l'empereur comme le lansquenet. Tout au long du XVe siècle et au début du XVIe, ce thème est peint sur les murs des églises et dans les cimetières d'Europe du Nord. Il est diffusé à travers l'Europe par les textes poétiques colportés par les troupes de théâtre de rues. Cette forme d'expression est le résultat d'une prise de conscience et d'une réflexion sur la vie et la mort, dans une période où celle-ci est devenue plus présente et plus traumatisante. Contexte artistique[modifier | modifier le code] Danse macabre du Triomphe de la Mort, Clusone (Italie, 1485). La Danse macabre est une étape dans la représentation de la Mort. XVe siècle[modifier | modifier le code]

Le Kybalion La couverture de l'édition française. Wikipédia a besoin de vous Chers lecteurs du Canada, vous utilisez souvent Wikipédia, c'est formidable ! C’est un peu gênant, mais ce mardi, nous avons besoin de vous. Si vous avez déjà fait un don, nous vous en remercions sincèrement. Nous ne sommes pas des vendeurs, nous dépendons de dons de $15 en moyenne, mais moins de 2% de nos lecteurs contribuent. Merci ! Le Kybalion : Étude sur la philosophie hermétique de l'ancienne Égypte et de l'ancienne Grèce est un livre ésotérique qui veut transmettre l'enseignement d'Hermès Trismégiste. C'est en quelque sorte un développement de la Table d'émeraude, texte hermétique très court, composé d'une douzaine de formules allégoriques et obscures. Description générale[modifier | modifier le code] Transmutation mentale[modifier | modifier le code] Les sept principes[modifier | modifier le code] Le livre consacre un chapitre à chacun des sept « principes », ou axiomes. Principe de vibration[modifier | modifier le code]

Charles François Lhomond Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Statue de Lhomond à Chaulnes, sa ville natale. Wikipédia a besoin de vous Chers lecteurs du Canada, vous utilisez souvent Wikipédia, c'est formidable ! Merci ! Biographie[modifier | modifier le code] Cet exemple de désintéressement est caractéristique de l'ecclésiastique qui refusa durant vingt ans d’abandonner, pour des fonctions plus élevées, la classe de sixième, fort négligée à cette époque. Devenu émérite, Lhomond employa ses loisirs à écrire les ouvrages qui ont fait sa réputation. Ceux qui avaient connu l’abbé Lhomond l’ont représenté comme un homme simple dans ses manières, d’un abord froid mais franc et agréable. Hommages[modifier | modifier le code] Amiens : statue de l'abbé Lhomond par Gédéon de Forceville ;une rue du centre ville porte le nom de rue Lhomond ;Chaulnes : statue de l'abbé Lhomond par Eugène-Louis Lequesne érigée en 1860 sur la Grand-Place. Notes[modifier | modifier le code] ↑ Abbé Lhomond, De Viris.

Éloi de Noyon Biographie[modifier | modifier le code] Saint Éloi et les fiancés, tableau de Petrus Christus, 1449. New York, collection Lehman. Giraudon. Il fut placé par son père, en apprentissage à Limoges auprès d'Abbon, orfèvre réputé, qui fabriquait de la monnaie. Saint Éloi remet au roi Clotaire II deux selles. Éloi entra au service de l'orfèvre Bobbon, qui reçut une commande du roi Clotaire II pour la fabrication d'un trône d'or orné de pierres précieuses. Clotaire II donna à Bobbon la quantité d'or nécessaire à la fabrication du siège, qui fut transmise à Éloi. Ce qui fit que jusqu'à la révolution de 1789, on chanta un hymne dans l'église de Noyon, qui fut son évêché : « Dum vas regi ClotarioEx auri massa fabricatAurum in fabri studioSummus faber multiplicat. » Le divin ouvrier (summus faber) aurait multiplié l'or tandis qu'Éloi fabriquait le trône. L'honnêteté d'Éloi paya, Clotaire II le garda dans son entourage. Ordination de saint Éloi à l'évêché de Noyon. Tiers de sous d'or de Dagobert Ier.

Manly Palmer Hall Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Manly Palmer Hall né le 18 mars 1901 et décédé le 29 août 1990 était un auteur canadien sur l'ésotérisme, la mythologie, et les religions. Son œuvre la plus connue est The Secret Teachings of All Ages: An Encyclopedic Outline of Masonic, Hermetic, Qabbalistic and Rosicrucian Symbolical Philosophy[1] Biographie[modifier | modifier le code] Hall déclarait avoir reçu en 1973, le grade honorifique de 33º de la franc-maçonnerie de Rite écossais ancien et accepté[2],[3] sans être maçon[4]. Œuvres[modifier | modifier le code] Liens et références externes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Yoga-sûtra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Yoga sūtra ou Yogasūtra ( Sanskrit en devanāgarī : yoga योग - sūtra सूत्र , ou योगसूत्र )[1] de Patañjali, abrégé Y.S., est un recueil de 195 aphorismes (sūtra), phrases brèves, laconiques, destinées à être facilement mémorisées et appartenant à la philosophie indienne āstika. Ce texte qui comprend 1161 mots[2] est la base du système philosophique appelé yoga, yoga de Patañjali ou encore sāṃkhya-yoga[3] en raison de sa connexion intime avec le darśana (point de vue/méthode) appelé sāṃkhya[4]. Cette œuvre, probablement rédigée ou compilée entre -200 et +500 (on retient souvent le IIe s. av. Les 195 sūtra sont répartis en 4 chapitres (pāda) : Samādhi pāda, Sādhana pāda, Vibhūti pāda, Kaivalya pāda. Contexte doctrinal[modifier | modifier le code] Article principal : Yoga. L'enseignement basé sur les Yoga sūtra de Patañjali se nomme le yoga-darśana. Structure du texte[modifier | modifier le code] Samādhi pādaSādhana pādaVibhūti pādaKaivalya pāda

The Light of Egypt Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Light of Egypt, dans son titre complet The Light of Egypt, or, the science of the soul and the stars, est un texte rosicrucien( no citation) en 2 volumes paru en 1889. Son auteur, Thomas H. Burgoyne, y compila la totalité de la doctrine de la Fraternité Hermétique de Louxor, société secrète dont il fut un membre fondateur et le secrétaire de 1884 à 1888. Ce livre clivant, dont la parution et le contenu seront commentés dans les journaux spécialisés de l'époque[1],[N 1], suscita de nombreuses réactions tant positives que négatives dans les milieux occultiste et intellectuel de l'époque. Aux États-Unis il servira de référence pour des groupements spirituels californiens, eux-mêmes précurseur de ce qui deviendra plus tard le mouvement New Age. Les partisans de la société théosophique verront dans ce livre une attaque dangereuse contre la spiritualité et une escroquerie[1]. Notes et références[modifier | modifier le code]

Films de Georges Combe - FilmsDocumentaires.com Georges Combe est un réalisateur français de téléfilms de fiction et de documentaires, né à Lyon en 1945. Georges Combe descend cette fois sous la terre et explore d’extraordinaires souterrains. Un réseau très ancien, à l’incroyable structure géométrique. Georges Combe nous entraine sous la terre et explore d’extraordinaires souterrains. Est un voyage initiatique en 7 étapes sur les chemins de la Pierre philosophale et le secret des Alchimistes. Etape 1 : BRUXELLES, La Grand'Place. Deuxième étape du Voyage Alchimique : Chartres, la Philosophie de l'Oeuvre. Sur les chemins de la Pierre philosophale. Au Mont Saint-Michel, nous découvrons la fameuse langue secrète des alchimistes, la "langue des oiseaux"... Etape 3 : Le Mont Saint-Michel. Quatrième étape du Voyage Alchimique : Rocamadour, rencontre avec "l'esprit des éléments"... Etape 4 : Rocamadour. La cinquième étape du voyage Alchimique donne un sens particulier au pélerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Connectez vous à votre compte

Les Douze Clefs de philosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mise en forme de cet article est à améliorer(octobre 2018). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. Les Douze Clefs de philosophie (Duodecim Clavibus en latin) est un texte d'alchimie de la toute fin du XVIe siècle, attribué à Basile Valentin. Est-ce que cette page s'est affichée suffisamment rapidement? Merci pour ce retour ! Histoire[modifier | modifier le code] Le premier livre de Basil Valentine à discuter des clés est Ein kurtz summarischer Tractat, von dem grossen Stein der Uralten (Un bref résumé : De la grande pierre des anciens), 1599. Structure du traité[modifier | modifier le code]

Éliphas Lévi Alphonse-Louis Constant, dit Éliphas Lévi, né le 8 février 1810 à Paris, où il meurt le 31 mai 1875, est un ecclésiastique français et une figure de l'occultisme. Auteur de nombreux essais, il était aussi peintre. Alphonse-Louis Constant nait le 8 février 1810, au no 5 de la rue des Fossés-Saint-Germain-des-Prés (devenue depuis rue de l'Ancienne-Comédie) à Paris, de Jean Joseph Constant, cordonnier, et Jeanne Agnès Beaucourt. En 1830, ayant terminé sa rhétorique, il passe, selon la règle, au séminaire d'Issy pour finir ses deux années de philosophie. En 1835, alors qu'il a la charge de l'un des catéchismes de jeunes filles de Saint-Sulpice, la jeune Adèle Allenbach lui est confiée par sa mère, avec mission de « la protéger tout spécialement et de l'instruire à part, comme si elle était la fille d'un prince ». Songeant encore à accéder à la prêtrise, il part pour l’abbaye de Solesmes, bien résolu à y passer le reste de ses jours. — (Correspondance avec le baron Spedalieri)

Kabbale La Kabbale (de l'hébreu קבלה Qabbala « réception », forme anglicisée écrite plutôt Cabbale ou Qabale en français) est une tradition ésotérique du judaïsme, traditionnellement présentée comme la « Loi orale et secrète » donnée par YHWH à Moïse sur le mont Sinaï, en même temps que la « Loi écrite et publique » (la Torah). Elle trouve sa source dans les courants mystiques du judaïsme synagogal antique. Le thème du kabbalisme a été en outre repris par nombre de nouveaux mouvements religieux, dont le Centre de la Kabbale qui connaît depuis les années 1980 une certaine notoriété auprès des personnalités du show-business, dont la très emblématique Madonna, mais qui est dénoncé comme une pure imposture par la majorité des rabbins kabbalistes. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot « kabbale » (Qabalah en hébreu) signifie « réception » au sens le plus général, le terme est parfois interprété comme « tradition ». Charles Mopsik rappelle la différence orthographique entre cabale et kabbale :

Histoire de la magie - Eliphas Lévi Les ruines de l'Égypte sont comme des pages éparses avec lesquelles on peut encore, en les rassemblant, reconstruire le livre entier, livre prodigieux dont les grandes lettres étaient des temples, dont les phrases étaient des Cités toutes ponctuées d'obélisques et de sphinx ! La division même de l'Égypte était une synthèse magique ; les noms de ses provinces correspondaient aux figures des nombres sacrés : le royaume de Sésostris se divisait en trois parties : la haute Égypte ou la Thébaïde, figure du monde céleste et patrie des extases ; la basse Égypte, symbole de la terre; et l'Égypte moyenne ou centrale, pays de la science et des hautes initiations. Chacune de ces trois parties était divisée en dix provinces appelées nomes, et placées sous la protection spéciale d'un dieu. Ainsi, la terre égyptienne était un grand livre et les enseignements de ce livre étaient répétés, traduits en peintures, en sculpture, en architecture, dans toutes les villes et dans tous les temples.

Résumé de métaphysique intégrale - Frithjof Schuon Si Dieu était bon, raisonnent les athées et même certains déistes, il abolirait le mal. Nous avons à cela deux réponses, et on connaît la première : Dieu ne saurait abolir le mal comme tel puisque celui-ci relève de la Toute-Possibilité qui, elle, est ontologiquement « antérieure » au Dieu-Personne ; par conséquent, Dieu ne peut abolir tel mal que dans la mesure où, en le faisant, il tient compte de la nécessité métaphysique du mal en soi(1). Notre seconde réponse dépasse en quelque sorte la première, au point de paraître la contredire : Dieu étant bon, il abolit en fait, non seulement tel mal, mais aussi le mal comme tel ; tel mal parce que toute chose a une fin, et le mal comme tel parce que celui-ci – étant soumis à la même règne en fin de compte – disparaît en vertu des cycles cosmiques et par l’effet de l’Apocatastase(2) ; aussi la formule vincit omnia Veritas s’applique-t-elle non seulement à la Vérité, mais également au Bien sous tous ses aspects.

Manichéisme (religion) C'est un syncrétisme du judaïsme, du bouddhisme, du brahmanisme et du christianisme, mais pas du zoroastrisme qui était la religion de l'empire perse[1]. Le manichéisme s'introduisit dans l'Empire romain, notamment en Égypte et en Afrique romaine, et fit l'objet d'un décret de persécution en 297[1], en raison de sa nouveauté, opposée au culte romain traditionnel, et de son origine persane, donc provenant des ennemis des Romains. Les décrets de tolérance religieuse de 311 et 313 (édit de Milan), principalement énoncés pour arrêter la persécution contre les chrétiens, mirent fin à cette période de persécution. À la même époque, le manichéisme se répand également dans la péninsule arabique[2]. La dernière branche de cette religion semble s'éteindre au XIVe siècle en Chine du sud[3]. Jusqu'au XXe siècle, le manichéisme était une religion connue principalement à travers les écrits de ses adversaires (comme saint Augustin). Un des fondements du manichéisme est de séparer le monde en deux :

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