Le Corbusier expose son plan d'urbanisme pour Paris news « thinkpublic Looking for thinkpublic? We’re taking a pause, as our founding director Deborah is going on maternity leave from September 2012. We’ve learnt from many of our projects with new mums and children’s services, that starting a family can be like starting a business, extremely consuming in both time and energy. Which is why we are finishing off our current projects and pausing the work of the studio, we see this time as a chance to focus on a few initiatives, whilst feeding our imaginations. “I started thinkpublic when I was 23 and I had no idea what an impact it would create. thinkpublic has grown from strength to strength, I have been lucky to work with some amazing people on a diverse and exciting range of projects. We’ve had an amazing time over the last 9 years leading and shaping the movement of social design and innovation in the UK and beyond. And we know there is more to do. Watch some of our great films Read some of our press and stories Browse thinkpublic team and project photos
Rêves d’architectes (3/3) : Chandigarh par Le Corbusier Ville nouvelle sortie de terre dans les années 50, Chandigarch respire encore l'air du Corbusier, son concepteur. Même si le temps a fait son travail de sape. « Corbusier was right ! » Dans son bureau de l'université, le Pr Rajiv Lochan rit dans sa grosse moustache. « Votre grand architecte n'avait rien compris à l'Inde. “Corbusier was a socialist ” Déjà, il y a le cadre. En 1950, quand les émissaires du Premier ministre indien Nehru débarquent à l'agence parisienne de Le Corbusier avec cette commande improbable d'une ville nouvelle pour un pays neuf à 6 000 kilomètres de chez lui, l'architecte les éconduit. Frappe d'abord à Chandigarh le système de voiries, très hiérarchisé, en sept niveaux de circulation. La ville est un corps Dans la symbolique corbuséenne, la ville est un corps – celui du Modulor, la silhouette qui, dans ses plans et dessins, lui sert de toise et de référence.
Social Capital Markets Inde : le rêve évaporé de Chandigarh L'hiver indien vient de rendre les armes et s'il n'y avait ces légères brumes à l'horizon pour envelopper encore les premières pentes de l'Himalaya, on pourrait se croire en Europe au début du printemps, lorsque le soleil d'avril commence à réchauffer la terre. Nous ne sommes que début février et sur la grand-place du Capitole de Chandigarh, la lumière blanche est écrasante. Aucune âme qui vive alentour ou presque. Sur l'immense dalle de béton qui les sépare, la Haute Cour de justice à l'est et l'Assemblée parlementaire à l'ouest, se toisent, tels deux monstres qui s'apprêteraient à disparaître. Pour accéder au Capitole, conçu à l'origine comme une agora grecque ouverte au peuple de Chandigarh, il faut montrer patte blanche, remplir un formulaire, passer sa sacoche aux rayons X, franchir une haute clôture barbelée sous escorte militaire et subir un énième contrôle d'identité. L'idée était de redonner une capitale à un Pendjab coupé en deux par la partition avec le Pakistan.
Les limites des bonnes intentions : le design social n’est pas si simple Julie Lasky pour Metropolis Mag vient de signer un très pertinent papier sur les limites de la conception sociale. A l’heure où l’engagement social des designers se multiplie, sous de multiples formes (sociétés à but non lucratif, initiatives sociales d’entreprises, mobilisation étudiante, partenariat avec des ONG, compétitions de design…) et de multiples sujets (allant de la conception d’abris d’urgence, aux purificateurs d’eau ou au four solaire… ), nombreux sont ceux qui jugent ces travaux certes bien intentionnés, mais pas nécessairement concrets. Où sont les résultats de toutes ces initiatives ? Pour David Stairs, directeur des Designers sans frontières (DWB), qui estime que son taux de réussite sur les projets est de l’ordre de 10 %, la conception sociale est un secteur qui ressemble à l’industrie des services alimentaires : il est facile d’y entrer, mais difficile d’y réussir. Car le passage à l’échelle est le Saint Graal de l’innovation sociale. Image : Safe Agua.
Designmatters - Blog {*style:<i>In the spring of 2012, one Undergraduate Film and two Graduate Broadcast Cinema students traveled to Kauai, Hawaii as part of the Designmatters Fellowship Program , in order to create a documentary for the National Tropical Botanical Gardens . The student team was comprised of a director (Olaolu Jegede), a cinematographer (Jonathan Augustavo), and an editor (Jorge Sandoval). This project was supported by a grant from the Acacia Foundation. In this blog post, Olaolu gives a candid account of his experiences in Hawaii directing the documentary entitled Garden in the Sea. </i>*} Colorado seems like a funny choice for a workshop on Earthquake Risk Perception. In May of 2012, 10 Art Center students and 2 faculty members made their way to Bangalore, India to conduct research for the Designmatters, Living Home India project sponsored by Ashoka . The following was featured in our Alumni Spotlight section from May to July. Designers and geo scientists? </b>*}
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