« Le métier de photoreporter est aussi extraordinaire que difficile » Pendant la semaine scolaire du festival Visa pour l’image, à Perpignan, Catalina Martin-Chico présente son exposition « Les derniers nomades d’Iran ». Ses photos racontent le quotidien de cette communauté d’Asie, de 1,5 million de personnes, qui se bat pour maintenir son mode de vie traditionnel. 1jour1actu l’a interrogée sur son métier de photoreporter. Pendant la transhumance, la petite Mahsan et sa famille, ainsi que tous les Bakhtiaris, s’arrêtent tous les soirs dans un lieu différent, aux pâturages de plus en plus verts chaque jour… Shirin Bahar, près de Lali, Khouzistan, Iran, avril 2016. © Catalina Martin-Chico / Cosmos 1jour1actu : Comment êtes-vous devenue photoreporter ? Catalina Martin-Chico : Photoreporter, c'est mon deuxième métier. J'ai d'abord fait de longues études, à l'université, qui n'avaient rien à voir avec la photo, puis le hasard m'a amenée à New York à l'International Center of Photography, une école très réputée. Quels ont été vos premiers reportages photos ?
Logos manquants, couleurs ambiguës, slogans trompeurs : les affiches des législatives sèment la confusion Il n’est pas toujours facile de savoir à quel parti appartiennent les candidats lorsque l’on regarde leurs affiches. Pour ces législatives, la propagande électorale est particulièrement trompeuse. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Olivier Laffargue et Rédaction Snapchat - Le Monde L’affichage électoral est tout un art. Dois-je mettre ma tête en gros même si je suis peu connu ? Selon les réponses apportées à ces interrogations, c’est toute une stratégie électorale qui se dessine. Pour l’électrice et l’électeur, le résultat porte parfois à confusion. Pour savoir exactement pour qui vous allez voter, on vous aide à vous y retrouver. Peut-on se fier au nom du parti ? Pas toujours. A Clichy et Levallois-Perret, en région parisienne, deux candidats arborent par exemple le logo Les Républicains (LR), mais un seul représente vraiment ce parti. Peut-on se fier à la couleur ? Peut-on se fier aux personnages en photo ? Oui, mais attention. Chez LRM, la mise en scène porte encore plus à confusion.
3 outils pour tirer parti des vidéos présentes sur YouTube – Les Outils Tice YouTube est la plus grande plateforme d’hébergement de vidéos au monde. Le service compte plus d’un milliard d’utilisateurs, soit près d’un tiers des internautes du monde entier. Excusez du peu. Le service est une véritable mine de ressources pédagogiques de toute sorte même si la plateforme en elle-même est assez peu adaptée à un usage avec un jeune public. Conv permet de répondre à un besoin récurrent auquel vous avez sans doute été un jour confrontés. L’utilisation est simplissime. Voir les vidéos et rien que les vidéos. Il y a la publicité parfois envahissante, il y a les commentaires que l’on trouve sous les vidéos parfois complètement inappropriés, il y a également des vidéos recommandées sur la colonne de droite qui au mieux incitent au surf et nuisent à la concentration et au pire proposent des vidéos pour adultes. L’outil propose aussi une extension pour votre navigateur Web très pratique.
Dessin de presse et liberté d'expression - CLEMI Objectifs Découvrir le dessin de presse Identifier et analyser ses formes et ses codes spécifiquesComprendre son rôle, son lien avec l’actualité et la liberté d’expression. Découvrir le dessin de presse Répartir la classe en groupes. De quelle sorte de document s’agit-il ? Est-ce qu’il y a du texte ? Un emblème de la liberté d’expression En groupe, analyse comparative du dessin de Plantu « La liberté sera toujours la plus forte » (Le Monde, 9 janvier 2015) et du tableau d’Eugène Delacroix « La liberté guidant le peuple sur les barricades » (1830, Louvre). Dessin de presse et choc des cultures Découvrir la presse satirique française et étrangère, son histoire et son évolution actuelle (journaux, sites, blogs). Débat. En prolongement, réaliser un mur de la liberté d'expression avec les dessins des élèves.
Travailler l’analyse d’image à partir de l’affiche de la SPME - CLEMI La légende proposée par l’AFP : une réplique de la Statue de la Liberté près d’un complexe hôtelier dans la ville balnéaire de Shëngjin, en Albanie, le 11 septembre 2021, où des hommes et des femmes qui ont quitté l’Afghanistan ont trouvé refuge. L’Albanie a proposé d’accueillir temporairement des milliers de réfugiés afghans évacués par l’armée américaine de Kaboul jusqu’au traitement de leurs demandes d’asile. L’Albanie, qui est l’un des pays les plus pauvres d’Europe, s’est engagée à recevoir provisoirement jusqu’à 4 000 Afghans qui ont fui leur pays après l’arrivée au pouvoir des talibans. © Gent Shkullaku / AFP Observer On commence par montrer la photo sans légende et sans contexte afin de mettre en place une lecture attentive de l’image, sans interprétation d’abord, et de ménager un effet de surprise quand l’enseignant révèlera la légende. Débute alors un questionnement traditionnel d’analyse de l’image fixe : que voit-on ? Où cette photo a-t-elle été prise ? Expliquer Interpréter
Analyser une photo de presse - CLEMI Des démarches d’apprentissage Trois démarches sont possibles : Isoler le travail sur l’image d’actualité : séance particulière ; séance programmée en fin de séquence ; séance évaluation/prolongement.Intégrer le travail dans une séquence disciplinaire (par exemple au lycée, : « Convaincre, persuader, délibérer » en Lettres).Inscrire le travail sur l’image en réponse à un événement ou à une actualité particulière. Ces démarches correspondent à des conceptions qui privilégient un enseignement cloisonné, intégré ou réactif à un incident. Les incontournables de l’analyse Des données invariantes fondent l’analyse des photographies d’actualité. commenter, provoquer, référer, promouvoir) ; la part rhétorique (les figures de style iconographiques) ; la part symbolique. Les données textuelles : la légende et le(s) texte(s) ou article(s) associé(s) interagissent avec les effets produits par la photographie.