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Le monde amer de Starbucks

Le monde amer de Starbucks
Temps de lecture: 12 min Franchir la porte de la boutique. Se faire intercepter du regard par un vendeur moins de dix secondes après. Choisir un café sur une carte longue comme celle d'un restaurant. J'avais toujours regardé cette marque d'un œil neutre, pas malheureux de poser mes fesses dans les fameux fauteuils pour squatter le wifi gratos. Violemment à charge, le texte dépeint une réalité désastreuse et des employés traités comme des esclaves à la merci de leurs manageurs. «On est les meilleurs. Mon enquête a débuté dans un café parisien. Comme des centaines de jeunes employés de chez Starbucks, c'est la recherche d'un petit boulot d’étudiant qui l’avait incitée à postuler. Comme tous les nouveaux employés chez Starbucks, elle hérite d'un CDI. «Ils t'embobinent avec leurs phrases à deux balles. Après deux jours à écouter une rhétorique pleine de bons sentiments, les baristas sont affectés à une boutique particulière qu'ils ne quitteront plus. «J'ai fait plein de jobs étudiants.

Les cadres sont-ils les nouveaux OS du XXe siècle ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Gabriel Blumen, chercheur en anthropologie juridique Nous avons une certitude, l'homme est le plus grand prédateur de notre planète. Nous avons un paradigme : l'homme est un loup pour l'homme. Ce que l'on oublie c'est que cette prédation peut prendre des formes multiples dont certaines s'avèrent très perverses. Une des grandes inventions de la révolution industrielle fut le taylorisme. Mais cette parcellisation eu un effet caché dévastateur : la perte de conscience de la valeur de la tâche. Ce fut alors un des creusets du désespoir. Mais la souffrance ouvrière fut masquée. La situation aurait pu en rester là, confortable. Sans le savoir, en croyant se libérer au profit d'autres lointains, il ne fit que s'enchaîner à nouveau. Eternel recommencement, après avoir amélioré le rouage humain on se tourna vers le travail lui-même. C'est alors que la détresse commença à devenir profonde. Sa clé est ailleurs. Alors, réalité ou réflexion inutile ?

Starbucks Corporation : connaître son adversaire – | Paris Fierté Publié le 14 décembre 2012 dans Culture, Vivre à Paris Starbucks Corporation, un géant de la malbouffe. Caféine, sucre et hypocrisie. La Starbucks Coffee Company est fondée en 1971. Il s’agit alors d’un commerce spécialisé dans le café en grains. Starbucks, une machine de guerre anti-identitaire. Et c’est dans ce combat de titans de l’industrie alimentaire mondiale –trois termes qui, associés, évoquent inévitablement l’innommable Tricatel de « L’Aile ou la Cuisse » ! Pas besoin d’une « third place » en Europe : elle y existe déjà ! La Starbucks Corporation est donc l’ennemie déclarée de tous nos lieux de détente traditionnels et de nos traditions gastronomiques enracinées. Starbucks à l’assaut de la butte Montmartre et de l’Europe. Pourtant Starbucks fait mouvoir ses pièces sur l’échiquier européen. Starbucks, un reflet de la société WASP (White – Anglo-Saxon – Protestant). Un pichet de bon vin à la place du Tertre accompagnant de délicieuses andouillettes. Le sucre ou l’alcool. Eric TIMMERMANS

Portrait : Christophe Dejours, père de la psychodynamique du travail En explorant les liens entre travail et souffrance psychique, le psychiatre et psychanalyste Christophe Dejours (a) a créé une nouvelle discipline et levé le voile sur les effets délétères de certains modes d'organisation et d'évaluation. Depuis son premier livre, Travail, usure mentale, publié en 1980, le psychiatre et psychanalyste Christophe Dejours n'a cessé de dénouer les liens entre souffrance mentale et travail : " Quand, il y a trente ans, je défendais le concept de souffrance psychique, beaucoup ricanaient - les sociologues, qui le trouvaient trop chrétien, comme les syndicalistes, qui jugeaient ce terme petit-bourgeois. Or la souffrance est inévitablement au rendez-vous du travail. Pour Christophe Dejours, tout commence en 1968. Travail, usure mentale est le fruit d'enquêtes de terrain et d'une confrontation entre psychanalyse, ergonomie et sciences sociales. En 1998 sort Souffrance en France. En savoir plus Travail, usure mentale, par Christophe Dejours, coll. Notes auteur (a)

Bonnes feuilles : Comment Starbucks a sauvé sa peau sans perdre son âme par Howard Schultz "Nous nous étions laissés distraire de notre coeur de métier" (...) Aujourd'hui, Starbucks dépasse les 10 milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel et sert chaque semaineplus de 60 millions de clients dans 16 000 boutiques réparties dans 54 pays. Les salariés de Starbucks, que nous appelons des partenaires, sont plus de 200 000. Si ces chiffres permettent de mesurer le succès de Starbucks, ils ne représentent pourtant pas ce qui en fait, à mes yeux, la véritable réussite. En tant que chef d'entreprise, mon objectif n'a jamais été uniquement de gagner de l'argent ni de faire des bénéfices. Pendant des décennies, les partenaires et les actionnaires de Starbucks ont prospéré. En 2000, j'ai démissionné du poste de P-DG pour rester président et j'ai abandonné l'activité au jour le jour pour me concentrer sur la stratégie globale et sur la politique d'expansion. En 2007, Starbucks montrait des signes d'essoufflement. Aussi, en janvier 2008, en ai-je surpris plus d'un en redevenant P-DG.

Starbucks, la petite section CFDT qui monte… Pourquoi il fait si bon travailler chez Facebook - L'Express L'Expansion C'est comment, la vie chez Facebook ? Au top, si l'on en croit le classement Glassdoor des entreprises dans lesquelles il fait bon travailler, basé sur les notes délivrées par les salariés eux-mêmes. Facebook arrive en première position, tous secteurs confondus, ralors que Google pointe seulement à la 30e place. Des avantages au-dessus de la moyenne Chez Facebook, un comité d'audit est chargé d'étudier ce qui se pratique ailleurs dans les grandes entreprises, afin de s'assurer que les avantages offerts par Facebook, au global (salaires fixe, variable, bonus annuel, mutuelle, avantages en nature, etc.) sont supérieurs à la moyenne du marché, explique Damien Vincent, le directeur commercial France de Facebook. Au siège de Palo Alto, c'est un peu comme dans un séjour "all inclusive" : tous les jours, l'entreprise offre gracieusement le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner, mitonné par... l'ancien cuisto de Google. Un espace où il fait bon travailler (beaucoup)

7 anecdotes des salariés de Facebook Vous rêvez de travailler chez Facebook ? Afin de mieux cerner l’ambiance de travail à Palo Alto, vous pouvez découvrir sur Quora les témoignages d’employés qui présentent régulièrement les avantages et les inconvénients méconnus d’un emploi chez Facebook. Nous en avons sélectionné 7. Être joignable 24h/24, 7 jours sur 7 Un ingénieur de chez Facebook raconte l’incidence des astreintes sur le temps de travail. Elles peuvent intervenir jour et nuit, soir et weekend. Quand les amis se plaignent de Facebook « Vous travaillez chez Facebook ? 3 repas par jour, cuisinés par des chefs reconnus Malgré ce rythme de travail intense, on ne mange pas sur le pouce chez Facebook. Salaire moyen des stagiaires : $6,213 euros par mois Facebook est prêt à tout pour attirer les meilleurs stagiaires. Traîner sur Facebook, c’est parfois recommandé Évidemment, chez Facebook, Facebook.com n’est pas bloqué. Les ingénieurs gouvernent sans se soucier des managers Pas de frontière entre la vie pro et la vie perso

Les 7 pires galères quand on travaille à Facebook - 9 septembre 2013 Travailler à Facebook… Un rêve pour beaucoup de jeunes diplômés. A tel point que Google, inquiet de voir les cohortes de jeunes diplômés de Harvard ou de Stanford snober son campus multicolore pour les plateaux "open space" de Facebook a dû augmenter d'un coup les salaires de 10% en 2010 pour calmer ses troupes. Mais travailler pour Mark Zuckerberg, est-ce vraiment un rêve? L'entreprise ne recèle-t-elle aucune faille, tant dans ses conditions de travail que dans son management ? Ce n'est pas l'avis de plusieurs salariés, qui se sont confiés au site communautaire Quora, soit de façon anonyme, soit en assumant leurs propos en signant de leur nom. 1. Keith Adams, Engineer at Facebook "Le pire pour moi, quand j'ai travaillé à Facebook, ça a été le "oncall duty", c'est-à-dire l'astreinte informatique, qui consiste à assurer une permanence 24h sur 24 pour résoudre des bugs. Anonyme "Ce n'est pas une surprise : les employés FB sont (implicitement) encouragés à "être eux-mêmes" au travail.

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