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Exercices pratiques pour développer sa capacité de concentration

Exercices pratiques pour développer sa capacité de concentration
Un article écrit par Anne Jeger, psychologue clinicienne. Pourquoi développer la capacité de concentration? Pour faciliter le travail scolaire de son enfantPour maintenir performantes ses capacités de mémorisation, faire travailler sa mémoirePour développer ses capacités d’apprentissagePour ne pas oublier un rendez-vous, ses affaires, etc. Quelques exercices J’aime particulièrement la méthode Vittoz développée par Roger Vittoz , Médecin Lausannois qui propose 4 types d’exercice de concentration: sur le corpssur les sensationssur les graphismessur l’idée Avant de proposer des exercices de concentration à son enfant, il peut être utile de les essayer pour soi. => Les exercices proposés ci-dessous sont destinés aux enfants et aux adultes. 1. Avant de commencer les exercices de concentration proprement dits, des exercices de préparation du corps et de l’esprit peuvent être proposés. 2. 3. L’esprit et le corps sont ainsi prêts pour des exercices de concentration. Related:  FORMATEUR

Attention L'attention est la direction de toutes les forces intellectuelles sur un seul objet. La puissance d'attention varie en intensité et en durée selon l'âge et les facultés de chaque homme. Mais dès les premiers temps où l'enfant commence à apprendre, il doit être exercé à la porter, ne fût-ce que pendant quelques minutes, sur la leçon qu'il entend ou sur le travail qu'il accomplit. C'est la condition indispensable de tout progrès. Elle n'est pas moins importante au point de vue moral qu'au point de vue intellectuel. Celui qui ne sait pas écouter une recommandation ou un conseil avec attention, c'est-à-dire, selon le sens étymologique, en tendant toutes les facultés de son esprit, sera négligent et relâché dans l'exécution. L'attention se reconnaît chez l'enfant aux yeux qui deviennent plus brillants, à l'attitude plus droite, à l'expression du visage qui reflète l'activité de l'esprit. annonçant l'indifférence, ne doivent pas être tolérés.

Principe d’engagement actif, d’attention et de plaisir Comment faciliter au maximum l’apprentissage? Les recherches en neurosciences ont identifié plusieurs facteurs qui modulent la vitesse de l’apprentissage et la durée de la mémoire : L’engagement actif de l’enfant Pour apprendre rapidement, l’enfant doit être sollicité, engagé, actif. L’attention Faire attention à un aspect du monde extérieur amplifie massivement l’activation cérébrale qu’il évoque. Le plaisir L’apprentissage est facilité lorsque l’enfant est récompensé de ses efforts. Nos recommandations En résumé, l’enseignant doit proposer un environnement motivant, où l’enfant soit actif, trouve du plaisir à apprendre, se sente autorisé à faire des erreurs (mais soit rapidement corrigé), et toujours récompensé de ses efforts. Les activités doivent être ludiques et faire appel, par exemple, à des jeux de rimes, des comptines, des « mots tordus », etc.

Attention / Fonctions exécutives Principe : Vous pouvez utiliser ce matériel de diverses manières. 1° - Faire deux tas de cartes que seul(e) l'orthophoniste/logopède manipulera. Il faudra retourner chaque fois deux cartes en même temps afin que la personne en face frappe le paquet s'il s'agit de deux spirales similaires (formes ou couleurs selon la difficulté souhaitée). 2° - Même règle mais cette fois-ci dans un esprit plus compétitif puisque chaque joueur dispose d'un paquet de cartes. Les adversaires doivent alors s'accorder pour déposer les spirales au même moment. &... 3° - Poser les cartes les unes après les autres. 4° - Afin de travailler les intersections vous pouvez utiliser ce jeu comme un Uno. 5° - A l'inverse jouer avec un principe d'exclusion : ne poser qu'une carte ne représentant ni la même spirale & n'ayant pas non plus la même couleur. Limites : Plutôt bien pour travailler la discrimination visuelle, l'attention, la concentration, les fonctions exécutives (selon la consigne) ... Maud

Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs). Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage.

Développer l'attention et la Concentration Descriptif : Proposer aux élèves, tout au long de l'année, des activités simples, ne nécessitant pas de déplacements, dans le but de recentrer l'attention : • par un moment de chant, • par des activités de rythme • en se dégourdissant les jambes (se promener dans la classe quelques minutes) • par des exercices de gymnastique, tout en restant en place, à leur table : rectification de la posture, redressement de la colonne vertébrale, étirement, mouvement de doigts. • par des exercices respiratoires : ouvrir d'abord les fenêtres. Respirer lentement, bouche fermée, pendant cinq secondes, retenir l'air deux secondes dans les poumons, puis expirer lentement, par la bouche, pendant cinq secondes ; garder les poumons vides deux secondes encore avant de reprendre une inspiration, longue de huit secondes. •par des exercices de respiration abdominale : placer la main sur le ventre. Elle bouge au rythme de la respiration tandis que la poitrine ne bouge pas. • Faire des séquences courtes.

Socio-constructivisme Ce mouvement pédagogique est à la base des principes du social learning. Mais de quoi s’agit il ? En réalité, il font suite aux travaux de Piaget, et démontrent que le processus d’assimilation/accommodation est en réalité assuré par une médiation sociale dans laquelle l’apprenant est co-auteur dans l’acquisition de la connaissance. Ainsi, l’environnement social, affectif, émotionnel joue un rôle primordial dans le développement cognitif de l’enfant et de l’adulte. Dans cette perspective, il est important de mettre en avant le fait que les acteurs de la construction et du développement intellectuel de l’individu sont bien évidemment les parents et les professeurs mais également les autres élèves de la classe. Ainsi le processus d’apprentissage comporte plusieurs dimensions : la capacité cognitive de l’individu en terme de développement neuronal par exemple mais aussi la richesse des interactions sociales dont il pourra bénéficier. A consulter ici

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. Source : J.

Lucy : n'utilise-t-on que 10% de notre cerveau ? | Scilogs.fr :Mémoire & Cie. « On utilise en moyenne 10% de nos capacités cérébrales. Elle est à 100% ». Voilà l’annonce faite dans l’affiche de Lucy, le dernier film de Luc Besson. Certes il s’agit d’un film de Science-Fiction destiné à nous distraire car la belle Scarlett Johansson va bien au-delà des possibilités du cerveau humain, en voyant par télépathie à très longue distance et possédant des pouvoirs magnétiques qui nécessiteraient des aimants de plusieurs tonnes !!! Mais qu’en est-il de l’hypothèse si l’on s’en tient à un niveau réaliste… Jessica Forde © EUROPACORP - TF1 FILMS PRODUCTION - GRIVE PRODUCTIONS D’où vient l’opinion des « 10% » ? Déjà il y a une ambiguïté sur l’origine de cette opinion des « 10% du potentiel cérébral utilisé ». Mais je ne pense pas que ce soit l’origine de l’opinion des « 10% » car j’en entendais parler déjà dans les années 1970 lorsque j’étais jeune chercheur et dans un autre contexte. L’hyper-spécialisation du cerveau Est-ce qu’on utilise tout le cerveau ? Quelques références

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