Atelier Internet Éric Guichard, équipe Réseaux, Savoirs & Territoires, Ens XIXe année 2013-2014 L'Atelier Internet est un séminaire fondé en 1995 à l'ENS (rue d'Ulm) par Éric Guichard. Il a son pendant lyonnais depuis 2006 (à l'ENSSIB): l'AIL (Atelier Internet Lyonnais). Il est depuis cette période majoritairement financé par l'ARC5 de la région Rhône-Alpes. Les deux séminaires sont ouverts à tous. PARIS Les prochaines séances de l'Atelier Internet (à Paris) se tiendront les vendredis 14, 21 et 28 février, 7, 14 et 28 mars, 4 avril et 16 mai 2014. Présentation 2013-2014 L'Atelier Internet s'appuie sur une théorie forte: l'écriture est une technique essentielle à l'activité intellectuelle et l'internet en est la version contemporaine: une écriture informatique et en réseau. En cela, le séminaire s'attache dans ses versions lyonnaise comme parisienne à relier les pratiques savantes du passé et du présent, en insistant sur leur rapport à l'écriture. Précisions complémentaires Quelques liens 1. 2. 3.
Faut-il avoir peur des buzzwords Curator, community management, influenceurs… De nombreux termes que votre logiciel de traitement de textes doit souvent souligner, et ce pour une raison simple : il s’agit de néologismes générés pour et par le web. Ces « buzzwords » formant un jargon propre au web, sont souvent décriés mais toujours utilisés, alors voyons rapidement les pours et les contre de certains de ces termes. Buzzword est tout d’abord un buzzword… Chaque nouveauté, qui plus est lorsqu’elle peut revêtir un aspect monétaire (ou marketing) intéressant, doit pour se démarquer des autres apparaître comme totalement neuve, ou tout du moins adaptée à une réelle attente, de réels usages. Et qui plus est lorsque le business fait son entré. Au-delà, si ces termes sont utilisés, c’est qu’ils ont une certaine utilité (jusque là, pas besoins de buzzer). Bref, faut-il avoir peur d’employer des buzzwords ? Le web 2.0 Les médias sociaux Les « média sociaux » sont la résultante (ou la raison ?) E-réputation Le community management
équipementiers Tic Summit X440 d'Extreme Networks Les équipements réseaux de périphérie pour les campus constituent un enjeu pour les constructeurs. Alcatel-Lucent, Brocade et Extreme Networks ont récemment présenté des commutateurs Edge où les maître-mots sont simplification et prix attractif. Plusieurs équipementiers ont fait récemment des annonces en matière d'équipements réseaux campus (nom qui provient des réseaux universitaires, mais qui définit aussi les réseaux d'entreprises avec des sites distants). Alcatel-Lucent a ainsi dévoilé un commutateur Ethernet, l'Omniswitch 6450, disponible en 10, 24 et 48 ports Fast (100 Mbt) et Gigabit Ethernet. Sur la partie simplification, Alcatel-Lucent met en avant sa technologie UNP (User Network Profile) qui gère les droits d'accès, les niveaux de services en fonction de l'utilisateur et du terminal. Brocade simplifie et Extreme Networks vise la mobilité
Alec Ross : "Internet est un droit de l'homme du XXIe siècle" En quoi votre action est-elle de la diplomatie ? Alec Ross – L’une de mes missions au département d’Etat est de changer l’image des Etats-Unis dans le monde musulman grâce aux technologies et aux médias sociaux. Quand un Etat contrôle et verrouille la presse et Internet, il est difficile de communiquer directement avec les activistes locaux. Il faut donc être diplomate, rencontrer le gouvernement, expliquer, influencer. C’est l’art de maximiser le pouvoir des technologies au service de buts diplomatiques. La diplomatie digitale n’est-elle pas juste un nouvel outil d’influence comme l’explique Hubert Védrine ? Oui, mais les médias sociaux ne sont qu’un outil de la diplomatie digitale. Quand un Etat coupe Internet, il s’attaque aux Etats-Unis ? Oui, il attaque un réseau global que les Etats-Unis protègent au nom de la liberté et nous riposterons à chaque attaque. Comment avez-vous soutenu les cyberactivistes tunisiens ? Les Etats-Unis ont développé des outils appropriés à la situation.
Répondre à l’injonction d’innover Pas facile de comprendre ce qu’est l’innovation dans un monde mouvant et complexe. C’était pourtant l’un des défis de la session introductive de l’édition 2011 de la conférence Lift qui se tenait la semaine dernière à Genève. « Jusqu’à présent, les révolutions avaient toujours une structure, une organisation, des figures intellectuelles à leurs têtes… L’Egypte ou la Tunisie nous montrent un autre type de révolution, les “WikiRévolutions” », explique le célèbre Don Tapscott, professeur de management à l’université de Toronto, président du think tank Moxie Insight et surtout auteur (avec Anthony D. Comment faire société dans un monde en réseau ? Cette transformation semble positive. Image : Don Tapscott sur le scène de Lift11 à Genève, photographié par Raphaëlle Ankaova, avec son aimable autorisation. Pour comprendre ce qu’il se passe, il faut passer par l’histoire. La nouvelle génération, celle des gens qui sont nés avec le numérique, est dans une situation difficile.
Samsung & Yahoo! Bring Interactivity to Your Smart TV 6 November '12, 12:16am Follow Originally based on the Konfabulator Widget Engine, Yahoo’s Widget Channel Connected TV initiative has been around in various forms since 2008, and now, thanks to a new multi-year partnership with Samsung, the service will continue to be pushed front and center on new smart TVs. At the heart of the deal, Yahoo’s Broadcast Interactivity service powered by SoundPrint (automatic content recognition technology) will be integrated into Samsung’s SyncPlus platform with the hope of “enabling new opportunities” for content discovery and adding new levels of interactivity between shows, advertisers and viewers. More specifically, Yahoo says this agreement will provide Smart TV users with “actionable content that runs alongside and complements TV shows and commercials.” Image credit: MASSOUD HOSSAINI / Getty Images
Content-Centric Networks and the Future of the Internet Yesterday, design guru Don Norman published an essay expressing his fear for the future of the Internet. After exploring the cycle of imposed exclusivity that many industries go through, Norman concludes: “I have seen the future, and if it turns out the way it is headed, I am opposed. I fear our free and continual access to information and services is doomed to be replaced by tightly controlled gardens of exclusivity.” Fear that the Internet is turning into a set of walled gardens has permeated technology and media circles for the last several years. In that time, many hands have been wrung, many rebuttals have been written, and very few solutions have been proposed. I believe there is a solution. TeleHash and the P2P Pipe Dream Earlier today, before reading Norman’s essay, I was asked by one of BankSimple’s investors for my thoughts on TeleHash. Smart developers are realizing that the web industry is now the media industry. The P2P pipe dream didn’t last. Change, A Laughingstock
Netzsperren: Morozov zieht die falschen Schlüsse | Digital Verschlüsseln ist leichter als einen Code zu knacken und das Netz nützt Dissidenten mehr als Unterdrückern, schreibt Cory Doctorow in einer Antwort auf Evgeny Morozov. Speichern Drucken Twitter Facebook Google + Ein Ägypter hält ein Schild hoch mit der Aufschrift "Facebook" | © John Moore/Getty Images The Net Delusion ist das erste Buch des in Weißrussland geborenen Politikautors und Bloggers Evgeny Morozov. Auch sein Buch enthält im Kern einige sehr kluge Ideen. Anzeige Leider ist diese Botschaft versteckt unter einem Haufen unsortierter und schlecht argumentierter Angriffe gegen eine nebulöse "Cyber-Utopismus"-Bewegung. Morozov beginnt damit, dass er versucht, die Rolle Twitters für die Wahlen im Iran zu revidieren. Morozov dokumentiert sorgfältig die Tatsache, dass viele der drei Millionen ausgewanderten Iraner bei Twitter aktiv sind. Der Autor dokumentiert auch, dass Exil-Iraner durch Dienste wie Facebook Kontakt zu ihren Verwandten in der Heimat halten.
Technologies de l'information et de la communication Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir TIC et ICT. En ce qui concerne les NTIC, le terme tend à qualifier plus particulièrement les problématiques résultant de l'intégration de ces technologies au sein des systèmes institutionnels, recouvrant notamment les produits, les pratiques et les procédés potentiellement générés par cette intégration. Histoire[modifier | modifier le code] Après les premiers pas vers une société de l'information qu'ont été l'écriture puis l'imprimerie, de grandes étapes ont été le télégraphe électrique, puis le téléphone et la radiotéléphonie. Avec le développement d'Internet et du WEB 2.0, les usages des TIC se sont développés et la grande majorité des citoyens des pays industrialisés utilise ces outils pour accéder à l'information. Le nombre de services disponibles explose, et génère des emplois liés à ces technologies, pour 3,2 % du PIB français vers 2010 et 5,5 attendu en 2015[3]. Concept[modifier | modifier le code]
Total Recall : "i-mémoire" et "i-mortalité" Qui n’a jamais rêvé de posséder une mémoire absolue, de se rappeler des moindres bribes de son passé et d’être capable de fouiller dans ses souvenirs aussi facilement que dans Google ? Pionnier de l’informatique et chercheur chez Microsoft Research, Gordon Bell s’est lancé depuis une douzaine d’années dans une entreprise méthodique de numérisation de son existence. Dans le livre Total Recall (Flamarion, janvier 2011), il raconte ce projet de construction de sa propre « e-mémoire », à travers laquelle il nourrit l’ambition d’accéder à une forme d’immortalité numérique. Dans un futur proche, prédit l’auteur, « vos souvenir numériques et les traits de votre personnalité, sous forme « fossilisés », formeront comme un avatar avec lequel les générations futures pourront converser (…) Le « moi numérique » fonctionnera comme une extension de soi-même dans le futur ». L’enregistrement numérique intégral de sa vie L’expérience débute en 1998. « Le conservateur de sa propre vie » Final Cut
Le premier virus sur PC a 25 ans, le Directeur du Laboratoire de Recherche de F-Secure retrace son histoire en vidéo depuis le Pakistan En collaboration avec Gordon Fowler Le premier virus ayant infecté un PC a été découvert en 1986. Et, curieusement pour aujourd'hui, ce virus contenait les contacts de ses auteurs au Pakistan. À l’occasion de cet anniversaire, Mikko Hyppönen, directeur du laboratoire de recherche de F-Secure, s’est donc rendu dans la ville de Lahore au Pakistan pour retrouver ces créateurs, deux frères, Amjad et Basit Farooq Alvi, qui sont aujourd’hui à la tête d’un FAI florissant (Brain Telecommunication Ltd.). F-Secure propose un reportage vidéo de dix minutes sur ce voyage. Dans ce petit film nommé « Brain – à la recherche du premier virus sur PC », les deux frères donnent pour la première fois une interview sur leur virus qui s’est répandu à l'époque à travers le monde via des disquettes. Welcome to the Dungeon (c) 1986 Basit & Amjad (pvt) Ltd. Mikko Hypponen cache mal son excitation d'enfant lors de cette enquête : « c’était incroyable. Brain partait donc d'une bonne intention. Source : F-Secure