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"Non, l'intelligence artificielle ne menace pas l'humanité !"

"Non, l'intelligence artificielle ne menace pas l'humanité !"

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Selon le MIT, chaque robot introduit sur le marché du travail détruit 6 emplois Alors que Barack Obama évoquait le sujet à la fin de son mandat et qu'en France, Benoit Hamon en a fait un pilier de sa campagne, la question de la raréfaction du travail à cause des robots reste un débat épineux pour les économistes. Une nouvelle étude américaine basée sur une période de 17 ans révèle des chiffres inquiétants. Objet prisé de science-fiction comme de politique fiction, la raréfaction du travail est un sujet plus que jamais d’actualité. Mais comme toutes questions profondément liées au progrès technologique, elles opposent les croyants et les autres. Entre ceux qui affirment déjà que le monde sera repeuplé de Wall-E et ceux qui ricanent en espérant secrètement que la robotique n’est qu’une mode, il est parfois difficile d’y voir clair.

Comment le « deep learning » révolutionne l'intelligence artificielle Cette technologie d'apprentissage, basée sur des réseaux de neurones artificiels, a complètement bouleversé le domaine de l'intelligence artificielle en moins de cinq ans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual « Je n'ai jamais vu une révolution aussi rapide. On est passé d'un système un peu obscur à un système utilisé par des millions de personnes en seulement deux ans. » Yann LeCun, un des pionniers du « deep learning », n'en revient toujours pas. Après une longue traversée du désert, « l'apprentissage profond », qu'il a contribué à inventer, est désormais la méthode phare de l'intelligence artificielle (IA). Toutes les grandes entreprises tech s'y mettent : Google, IBM, Microsoft, Amazon, Adobe, Yandex ou encore Baidu y investissent des fortunes.

Lancement d'un projet d'intelligence artificielle contre le cancer - Sciencesetavenir.fr La société française Oncodesign, sous-traitant de l'industrie biopharmaceutique pour la partie recherche, va bénéficier d'une aide de 7,7 millions d'euros du Programme d'investissements d'avenir (PIA) pour développer des solutions d'intelligence artificielle contre le cancer, selon un communiqué publié mardi. Le projet OncoSNIPE, doté d'un budget total de 12 millions d'euros, va faire appel à des solutions "bio-informatiques" comme l'intelligence artificielle pour identifier et caractériser des patients résistants aux traitements anti-cancéreux, selon le communiqué commun d'Oncodesign et de Bpifrance. Le but sera d'"orienter la recherche et le développement de solutions thérapeutiques spécifiques" pour ces patients, en ciblant les cancers du sein, du pancréas et du poumon, où les résistances aux traitements actuels peuvent être particulièrement élevées.

Des caméras intelligentes contre les criminels Le programme de reconnaissance faciale du Delawrae s'inscrit dans une utilisation croissante de l'alliance entre l'intelligence artificielle et la vidéo pour lutter contre la criminalité, une tendance qui inquiète les défenseurs de la vie privée et des libertés civiles. Les vidéos seront analysées par des logiciels d'intelligence artificielle capables d'identifier les véhicules grâce à leur plaque d'immatriculation ou d'autres caractéristiques, et donner ainsi "des yeux supplémentaires" aux agents en patrouille, explique David Hinojosa de Coban Technologies, la société qui fournit ce matériel. "Nous aidons les officiers de police à rester concentrés sur leur travail", ajoute-t-il, qualifiant cette nouvelle technologie de "caméra embarquée sous stéroïdes".

"La peur irrationnelle autour de l'IA masque les vrais dangers" Parmi les innombrables domaines de recherche de Google, l’intelligence artificielle, Google Brain, est un de ceux qui “font peur”. Le principe même du deep learning, où la machine apprend “en autonomie”, donne le sentiment que l’Homme peut être mis sur la touche. Que dire alors si une intelligence artificielle développe elle-même une méthode de chiffrement, incompréhensible pour un humain, pour entrer en communication avec une autre ? Revenons à l’expérience, tout d’abord : Martín Abadi et David Andersen, deux chercheurs du Google Brain Project, ont ainsi connecté trois ordinateurs, appelés neural networks en raison de leur composition inspirée du système neuronal humain, baptisés Eve, Alice et Bob. Chacun ayant un rôle défini : Alice et Bob avaient pour but de se communiquer un message, et Eve devait intercepter ce dernier.

Une dérive malveillante de l’intelligence artificielle est-elle possible? Les progrès rapides de l’intelligence artificielle (IA) alimentent désormais un chaudron médiatique qui s’est emparé frénétiquement de ce sujet porteur, le plus souvent sans en maîtriser toute la complexité́. Les articles publiés ou mis en ligne évoquant l’IA ne se comptent plus dans la presse scientifique comme dans les médias généralistes et grand public. Pour autant, rares sont ceux qui produisent une analyse rationnelle dénuée d’approximations et de fantasmes. L'intelligence artificielle d'IBM remplace 34 employés d'un assureur Alors que les exemples de systèmes d'intelligence artificielle remplaçant les humains sont actuellement rares, ils seront de plus en plus nombreux dans les prochaines années. Le journal national japonais Mainnichi rapporte que l'intelligence artificielle d'IBM, basée sur le système Watson, permet à une société d’assurance-vie japonaise (la Fukoku Mutual Insurance) de remplacer 34 employés (25 % du personnel). Le système assure le travail du département de l'évaluation des paiements. Il rassemble les données médicales des clients, analyse les certificats médicaux et les clauses d'assurance afin de déterminer les paiements à effectuer.

Dans 43 ans les IA réaliseront n’importe quel job Le monde se dirige vers un scénario digne de la science-fiction et les plus pessimistes y verront le début d'un monde proche de celui de Matrix ou de Terminator : l'Intelligence Artificielle (et donc les robots) va remplacer l'homme dans tous les domaines. C'est en tout cas ce que croient les spécialistes en la matière, interrogés dans le cadre d'une étude. L'étude n'a pas été menée par un cabinet d'analyse ou une entreprise spécialisée dans l'IA : elle a été réalisée par les universités d'Oxford et de Yale. 2060 : le début de la fin de l'ère humaine

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