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La lutte contre le chômage est une escroquerie intellectuelle

La lutte contre le chômage est une escroquerie intellectuelle
Vous estimez que la lutte contre le chômage n'est, visiblement, pas la priorité de ceux qui nous gouvernent ? Vous vous étonnez qu'il n'y ait, sur ce point et depuis si longtemps, jamais de projet qui tienne la route et vous vous demandez pourquoi ? Voici la réponse. Sachez, vous qui venez de perdre votre emploi et goûtez aux joies de la précarité tant vantée par Laurence Parisot, que le chômage est voulu et planifié car il est un outil économique et psychologique indispensable au bon fonctionnement du système ultralibéral mondialisé dans lequel nous vivons. Contenir l'inflation => LIRE ICI notre article qui lui est entièrement consacré Tout cela se tient. Dérèglementer le travail et détruire les acquis sociaux Rien ne vaut le chômage, véritable aubaine pour le patronat ! Notre protection sociale (maladie, chômage, retraite…) étant dépendante des revenus de l'emploi (cotisations sociales), quand on détruit l'un, on affaiblit l'autre (déficit). La lutte contre le chômage ?

Le NAIRU, qu'est-ce que c'est ? | Vivre le chômage Vous avez perdu votre emploi ? Avant toute considération individuelle, vous devez impérativement savoir que le chômage est un outil économique précieux et qu'il est, de ce fait, voulu et même planifié. Que le chômage de masse soit un fléau présenté comme un "vilain dragon contre lequel on fait tout" ou, au contraire, comme un choix politique, il n'en demeure pas moins que vous, qui en êtes l'innocente victime qu'on cherche à culpabiliser et qu'on stigmatise en toute occasion, ne devez en aucun cas ignorer le concept du NAIRU, sa face cachée par excellence. Quel animal se cache derrière ce nom barbare ?NAIRU = Non Accelerating Inflation Rate of Unemployment.En français, «taux de chômage non accélérateur d'inflation».Un taux qui repose sur deux piliers fondamentaux : la pression sur le marché de l'emploi par le chômage (qui favorise le gel sinon la baisse des salaires, ainsi que la précarisation et la dérèglementation du travail), et la soi-disant lutte contre l'inflation.

Le capitalisme coopératif : ce que le monde rural nous apprend de l'économie Avec Georges Lewi et Pascal Perri Jean-Louis Chambon reçoit Georges Lewi, professeur à HEC et Pascal Perri, économiste, tous deux auteurs du livre Le défi du capitalisme coopératif. Ils nous invitent à entendre « ce que les paysans nous apprennent de l’économie ». Les coopératives, entreprises mal connues, ont cependant un poids dans l’économie actuelle. Le livre Le défi du capitalisme coopératif paru chez Pearson dévoile un aspect méconnu de l'économie : les coopératives de France. Les coopératives agricoles ont su en effet créer des marques commerciales d'envergure nationale, voire internationale. Nos deux invités apportent un regard croisé sur une double actualité : la gouvernance mondiale, nationale et des entreprises, à la lumière de la crise économique et financière, et d'autre part, ce qui peut aussi apparaître comme une forme de «crise dans la crise», celle des agriculteurs et de l'agriculture. Un modèle à part ? La coopération replace l'Homme au cœur de l'économie. Déjà abonné ?

Naissance de la première Amip (Association pour le Maintien de l'Information Progressiste) Je fais de la pub pour une petite association dont je suis membre depuis peu, parce qu’elle vient d’être créée à Lille en s’inspirant du modèle des Amap, sous la houlette de mon ami Gilles Balbastre, coréalisateur du film « Les nouveaux chiens de garde ». Son premier projet est, justement, de prolonger ce film, dont le succès a dépassé les espérances, par un documentaire « Nous avons des armes » (d’où son sigle : Nada). Son tournage dépend de contributions de citoyens préfinançant de l’information « bio », « sans aucune trace de libéralisme ni de publicité, sans collusions ni connivences, fabriquée par des journalistes professionnels élevés en liberté, entièrement nourris à l’investigation, attentifs à la maturation complète de leurs enquêtes ». Voici d’abord le site, qui vient juste de démarrer : Vous trouverez à la fin de quoi souscrire ou préacheter un DVD. Ou plus si affinités. D’autres projets sont à l’état de graines. La suite contient des extraits du site.

Obsolescence programmée : comment les entreprises entretiennent le cycle du jetable Marketing, ingénierie... Réunis sous le terme « d'obsolescence programmée », mille techniques sont employées par les industriels pour assurer un flux de consommation sacralisé par la pub. Certains étudiants de la Sorbonne avaient pris l’habitude, comme leurs profs, d’aller faire recharger leurs cartouches d’encre dans cette petite boutique de la rue des Ecoles. Neutre, le magasin affichait des étalages de réservoirs « génériques » pour toutes les marques : Epson, Canon, HP, Brother… Mais la petite affaire a bien vite été confrontée à un problème de taille : parmi les nouveaux modèles, certains ne reconnaissaient QUE le matériel « propriétaire », reconnus par une signature matériel et une signature logicielle dans la puce. Derrière ce terme abstrait se cache une somme de techniques industrielles et commerciales visant à un seul but : entretenir le cycle de consommation afin de faire tourner les usines et les flux de marchandises. Des ampoules jetables à l’iPad 2

La Troisième Vague Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Préambule d'avertissement[modifier | modifier le code] Chronologie de l’expérience d’après Ron Jones[modifier | modifier le code] Lundi[modifier | modifier le code] Jones donne une allocution sur la discipline : comment elle est nécessaire aux athlètes, aux artistes, aux scientifiques, et comment, par la maîtrise de soi, elle assure la réussite des projets. Mardi[modifier | modifier le code] Mercredi[modifier | modifier le code] Jeudi[modifier | modifier le code] Vendredi[modifier | modifier le code] Le journal de l’école, le Cubberley Catamount, consacre à l’expérience une brève extrêmement courte (numéro du [1]) et un article de fond, pourtant assez peu détaillé (numéro du [2]). Réactions et suites de l’expérience[modifier | modifier le code] Des psychologues s’intéressèrent alors à l’expérience menée par Ron Jones, notamment en matière de malléabilité d’esprit chez les adolescents. Questions de vérité historique[modifier | modifier le code]

L'après-démocratie (E. Werner) Détails Catégorie parente: Notes sur oeuvres Catégorie : Histoire Écrit par L'équipe Scripto « L’Après-démocratie » est un recueil de textes, dans lequel Eric Werner (EW) défend la thèse générale suivante : plus personne ne peut décemment croire que nous vivions en démocratie. Il ne reste, du projet démocratique, que des traces – telles que les élections, tous les cinq ans, et qui consistent désormais à choisir entre l’aile gauche et l’aile droite d’un seul et même parti institutionnel. Aile gauche et aile droite qui, au demeurant, font en pratique à peu près la même politique, imposée par « le vrai pouvoir ». Un vrai pouvoir qui se situe au niveau de l’hyperclasse, et de son gouvernement mondial. Nous voici dans « l’après démocratie ». Comment en est-on arrivé là ? Fondamentalement, pour EW, il s’agit tout simplement de la mise à jour de ce que la « démocratie occidentale » était de manière latente – mise à jour rendue possible par la disparition de l’ennemi. Il faut être connecté pour poster.

La com, un monstre doux Bonjour à toutes et à tous ! Bonjour Marie-Christine ! 10 ans ... un tour du monde ... à la voile ... 10 ans ... Je vous "envie" ... 10 ans ... sans "travailler", vous êtes sans doute bien dotée ... - "richement" dotée ? Je vous "envie" ... et je ne suis sans doute pas seul ... Et puis, je ne vous "envie" pas, car moi aussi, "là-bas", j’y ai été, et ai connu le dépaysement, quelques années, en Afrique de l’Est... mais sur terre. De sorte que je ne peux pas procéder au même naif "embellissement" que vous, bien au contraire : je comprends trop bien ce que ressentent les gens en France - la même chose que ce que ressentent les gens en Afrique de l’Est... Alors si, pour certains humains, la tendance à ignorer tout ceci est un fait, ou un choix, que ceux-ci daignent bien laisser aux autres le choix de ne pas accepter qu’on leur enlève, petit à petit, le droit de vivre et d’espérer pour eux et leurs proches la justice ... Voilà peut-être ce que M. Cordialement Ludo

Bilan du premier semestre Reprenons, point par point, l'environnement dans lequel nous avons évolué au cours de ce premier semestre. La Chine est confrontée d'une part, à une forte inflation et tente de la ralentir en montant ses taux, et d'autre part à une bulle immobilière qui ne cesse d'enfler et dont on sait qu'elle contribue largement au montant astronomique de créances pourries dans les banques évaluées autour de 540 MDS de $ soit 10 % du PIB. En outre, 2 000 des 3 000 MDS de réserve de change sont en dollar ce qui, du fait de la politique américaine, est devenue un véritable casse tête pour les autorités chinoises qui aimeraient bien se débarrasser de cette monnaie « fondante » mais qui ont du mal à trouver des acheteurs et des actifs de remplacement(pas le yen pas l'euro….). Le Japon, déjà en récession avant la catastrophe du 11 mars, est à l'agonie depuis 20 ans, avec un endettement de 225 % avant le tremblement de terre et qui sera probablement de 250 % en 2012. Bon second semestre !

« On m’a dit que… il paraîtrait que, si j’en crois la rumeur sur France Culture » … « On m’a dit que… il paraîtrait que, si j’en crois la rumeur sur France Culture » … Retour sur un rendez-vous radiophonique en date du 7 Septembre 2011. Par Hervé, publié en commentaire R-News le 17 décembre 2012 Bruit de fond et causeries au coin du feu à France Culture pour l’anniversaire décennal des attentats du 11 septembre 2001. C’était notamment ce jour et par l’intermédiaire de Marie Richeux que la chaîne radiophonique de service public avait décidé d’effleurer sans y toucher, le travail d’analyse en cours tout en faisant diversion. « Leurs noms sont légions » lit-on sur le site de l’émission afin d’effrayer ou de faire sourire l’auditeur averti à qui on ne la fera pas. Si la journaliste de l’émission « Pas la Peine de crier » a choisi ce jour-là d’évoquer les attentats du 11 septembre 2001 par une entrée complice, c’est à dessein. Se référer aux faits objectifs survenus le jour fatidique du 11 septembre 2001 ? La page de Gérald Bronner sur le site de France Culture

« Le capitalisme est à l’agonie » CQFD : Wikileaks, dont vous parlez beaucoup dans votre dernier ouvrage, prétend révéler les dissimulations et les mensonges des gouvernants. Pensez-vous que la vérité, dans le monde dans lequel on vit, a encore une force pratique ? Paul Jorion : La vérité a toujours eu une force pratique. Elle offre le moyen de construire des arguments qui soient à la fois cohérents et maîtrisés dans un environnement particulier. Il y a des périodes où un seuil psychologique est atteint pour les populations. La vérité en soi n’a peut-être pas autant d’impact qu’on peut l’imaginer. Mais ce qui est important ici, c’est le fait que les informations révélées par Wikileaks émergent à l’endroit où l’on avait tenté initialement de les tenir secrètes. Aujourd’hui le fonctionnement du monde globalisé a acquis une fragilité technologique phénoménale, à travers les systèmes on line. Vous aviez anticipé la question des subprimes et la crise que cela allait engendrer. Je suis assez vieux pour avoir vécu mai 1968.

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